Pause estivale
Je souhaite que l’été qui s’amorce vous donne le goût de rêver. Parce que sans rêve, la vie perd son sens.
Si ma dernière chronique a pu laisser croire que l’auteur de ces lignes était « au bord de la dépression », ma résidence au contraire s’y trouva en plein cœur, mardi dernier! La pauvre fut la cible en effet de la colère du ciel, comme une bonne partie de la portion sud de la Vallée du Richelieu. Voilà qui explique mon silence de la semaine dernière. Une brève pause qui fut accidentellement le prélude à une autre ...