À la défense de Martine Ouellet
Une cabale odieuse !
Ainsi donc les vautours ont pris leur envol. Du haut des airs, ils vocifèrent et crachent leur fiel aux quatre vents. Ils abandonnent précipitamment les épinettes rabougries poussant au milieu du champ de ruines où ils s’étaient piteusement réfugiés à l’issue des tempêtes passées. Pour mieux s’élancer maintenant, leurs becs crochus et leurs serres acérées droit devant, vers une proie qu’ils croient potentielle.