<< Le patriotisme, c'est aimer son pays. Le nationalisme, c'est détester celui des autres. >> Charles de Gaulle
<< L'amour, c'est gagner la guerre, sans commencer la guerre. >> Charles de Leusse
Deux assassinats politiques comme parallélisme de faits historiques, révélant un constat asymétrique aux objectifs pervers des idéologies contraires aux intérêts nationaux : celui du patriote-nationaliste José Calvo Sotelo, provoquant le 18 juillet le commencement de la Guerre Civile Espagnole 1936-1939(1) ; cet autre de Charlie Kirk renforçant la force de l’union des patriotes américains contre la nébuleuse woke-anarchiste-socialo-communiste, ses financiers et mercenaires médiatiques(2) anti-USA-Trump avec la complicité du Parti Démocrate << hors la loi >>.
Ce qui suit est l’historique de ces deux cas de magnicides prouvant ce parallélisme des assassinats politiques évoqués dans le but de détruire la nation par l’action du terrorisme intérieur, son financement par des escrocs et prédateurs de fonds publics, par la division de la société nationale avec le grand objectif de ruiner l’économie, accroitre l’endettement de l’État, le saccage des richesses nationales, ainsi que provoquer la dynamique anarchisante issue des affrontements sociétaux menant à la guerre civile :
Joseph Staline (le boucher de Géorgie) et la Guerre Civile Espagnole
l'Union soviétique a fourni une aide matérielle et des conseillers militaires à la République espagnole pendant la guerre civile espagnole, notamment à travers l'organisation et le financement des Brigades internationales par le Komintern. Les « Rouges » désignaient la faction républicaine, et l'URSS a envoyé du matériel militaire et des conseillers, recevant en échange des réserves d'or espagnoles.
Dans les nombreux forfaits et coups tordus de Staline, l'un d'entre eux reste encore assez méconnu, même s'il s'agit sans doute de l'un des plus gros hold-up entre nations dans l'histoire du XXe siècle : la mainmise du dictateur sur 500 tonnes d'or de la jeune république qui tentait de résister face au franquisme… Les faits se déroulent en pleine guerre civile qui secoue l'Espagne dans les années 1930, rappelle l'historien François Kersaudy dans un livre salutaire, Dix Faces cachées du communisme, qui explore et révèle avec précisions les sombres dédales du communisme mondial.
En 1936, l'insurrection nationaliste contre la république espagnole prend de court Staline, qui se voit obligé de soutenir les républicains, mais ne souhaite en aucun cas déclencher une confrontation directe avec Hitler, engagé derrière Franco : il n'est pas prêt, l'URSS pourrait y laisser sa peau… Mais ses agents envoyés sur place rapportent l'existence d'un colossal trésor – louis d'or, souverains, dollars, joyaux, trésors des églises – entreposé dans les caves de la Banque d'Espagne à Madrid, qui tomberait à point nommé pour consolider l'économie soviétique. Or, les troupes républicaines ont besoin d'armes face à l'offensive franquiste qui, elle, peut compter sur les tanks et les canons allemands, italiens et portugais. Les agents russes promettent beaucoup – de l'aide, des tanks, des spécialistes – si bien que le gouvernement républicain de Largo Caballero décide en octobre 1936 de confier 500 tonnes d'or aux bons soins de l'Union soviétique.
(…).
Comment Staline a raflé l’or espagnol pendant la guerre civile de 1936
Dans les « Dix Faces cachées du communisme », l’historien François Kersaudy revient sur l’incroyable hold-up communiste sur les tonnes d’or des républicains espagnols.
L’intervention du patriote Général Francisco Franco Bahamonde face aux mouvements insurrectionnels prosoviétiques et séparatistes en Espagne, ainsi que le saccage évoqué antérieurement par URSS de Joseph Staline, l’exterminateur des anti-communistes russes, fait que l’Espagne soit sauvée de la tyrannie anarchiste-socialo-communiste :
Le 17 juillet 1936, Franco, relégué aux îles Canaries par le gouvernement du Front populaire, se rallia à la dernière minute, à la suite du meurtre de José Calvo Sotelo, à la conspiration militaire en vue de réaliser un coup d’État. Celui-ci, qui eut lieu le 18 juillet 1936, échoua mais marqua le début de la guerre civile espagnole. À la tête des troupes d’élite marocaines, le général Franco réussit à briser le blocus républicain du détroit de Gibraltar et avec l’aide allemande et italienne, débarqua en Andalousie, d’où allait débuter sa conquête de l’Espagne. La Junte de défense nationale, comité collégial hétéroclite des différents chefs militaires de la zone nationaliste, le nomma au poste de généralissime des armées, c’est-à-dire de commandant suprême militaire et politique, en principe pour la seule durée de la guerre civile. Bénéficiant de l’appui des dictatures fascistes et de la passivité des démocraties, l'armée nationaliste remporta la victoire, proclamée fin mars 1939 après la chute de Barcelone et celle de Madrid. Le bilan est lourd (entre 100 000 et 200 000 morts) et la répression s'abattit sur les vaincus (270 000 prisonniers, 400 000 à 500 000 exilés).
(…).
Général Francisco Franco Bahamonde
https://fr.wikipedia.org/wiki/Francisco_Franco
Un désastre épouvantable, aujourd’hui inconcevable pour le peuple espagnol que l’actuelle coalition gouvernementale antipatriote en Espagne soutenant l’imposteur premier ministre Pedro Sánchez Pérez-Castejón (conseillé par son mentor et supporteur financier George Soros)(3), étant aussi président de l’Internationale Socialiste(4), est l’aboutissement des tractations entre terroristes de l’ETA, communistes, socialistes et séparatistes des régions gouvernées par des antiespagnols. Autre coalition gouvernementale comme celle qui avait provoqué la Guerre Civile Espagnole 1936-1939.
Par rapport à l’assassinat politique de Charlie Kirk l’on doit affirmer qu’il a été perpétré parce que ce jeune de 31 ans était le rempart du mouvement patriote dénommé MAGA. En ce sens le 45-47ème Président des États-Unis vient d’honorer le travail acharné de Kirk en prenant cette décision historique de responsabilité étatique afin de préserver la Démocratie, la Liberté et la Prospérité des Américains :
Donald Trump a signé lundi un décret désignant officiellement comme « organisation terroriste » le mouvement « Antifa », qui rassemble des groupes se réclamant de l'antifascisme, au lendemain d'une cérémonie d'hommage au militant ultraconservateur assassiné Charlie Kirk.
Le mouvement Antifa, pour antifasciste, s'apparente davantage à une mouvance qu'à un groupe organisé. C'est un terme généralement associé à une frange de l'extrême gauche, souvent évoqué par la droite et l'extrême droite à propos des violences dans les manifestations.
Après l'assassinat de Charlie Kirk le 10 septembre, et sans en connaître immédiatement le mobile, la droite trumpiste avait rapidement désigné la gauche américaine comme responsable du climat de violence politique qui règne dans le pays et parlé de << terrorisme intérieur de gauche >>.
<< Le problème de la violence vient de la gauche. C'est pour cela que Donald Trump vient de classer Antifa, un réseau de terroristes de gauche radicale qui vise à renverser le gouvernement par la violence [...], comme une organisation terroriste nationale >>, a expliqué lundi la Maison-Blanche dans un communiqué.
(…).
Trump classe officiellement le mouvement « Antifa » comme « organisation terroriste »
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2194446/trump-mouvement-antifa-organisation-terroriste
La désinformation des mercenaires médiatiques anti-USA-Trump dès 2020 face à la réalité en septembre 2025 :
SUMMARY
Antifa is a terror organization operationalized and functionally created by the deep state. One of the front group NGOs that funnels money to Antifa is ‘Democracy Alliance’, which has Kamala Harris, George Soros, Tom Steyer, BLM Corporation, and many more, as members or backers. BLM Corporation is heavily financed by George Soros.
RESPONSE
Recurring narrative on the US protests being organised by George Soros and the Democrat party to take power away from Donald Trump illegally. There is no evidence to suggest that the protests in the US broke out through “top-down mobilisation,” or that someone is financing them. More globally, this narrative portrays any spontaneous disorders and civil uprisings in other states, very often the former Soviet republics, as Western-funded "colour revolutions". Black Lives Matter is not a corporation, but a movement advocating racial justice in the US. George Soros and the Open Society Foundations have supported the struggle for racial justice in the United States since 1990s, but it is misleading to claim that Black Lives Matter is sponsored by George Soros. The more extensive debunk from ADL. The widespread protests against racial injustice and police brutality broke out in the US after the death of George Floyd(opens in a new tab) in police custody in Minneapolis on the 25 May 2020. The protests followed several high-profile incidents involving African Americans and the police, invoking debates about racism in the US.
Black Lives Matter is a corporation financed by George Soros
https://euvsdisinfo.eu/report/black-lives-matter-is-a-corporation-financed-by-george-soros/
De plus, pour en finir avec George Soros, l’escroc et prédateur de fonds publics à travers l’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID) :
President Donald Trump is pressing for Democratic megadonor George Soros and his son, Alexander, to face federal racketeering charges, he said in a social media post Wednesday, the latest attempt from the president to leverage federal power against his political enemies.
“George Soros, and his wonderful Radical Left son, should be charged with RICO because of their support of Violent Protests, and much more, all throughout the United States of America,” Trump wrote on Truth Social.
(…).
Trump calls for George Soros and son to face federal charges
The president has ramped up legal threats against his political opponents in recent weeks.
https://www.politico.com/news/2025/08/27/trump-george-soros-investigation-threat-00530314
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Jean-Louis Pérez-Martel
_________________
*. Assassinat de José Calvo Sotelo
https://fr.wikipedia.org/wiki/Assassinat_de_Jos%C3%A9_Calvo_Sotelo
**. Assassinat de Charlie Kirk
https://fr.wikipedia.org/wiki/Assassinat_de_Charlie_Kirk
En outre, il faut tenir compte qu’en 2010 Charlie Kirk fondait son organisation patriote Turning Point USA afin de dénoncer les politiques anti-USA de destruction nationale des États-Unis décrétées par l’imposteur-apostat et traître Barack Hussein Obama durant ces deux mandats présidentiels néfastes (2008-2016) :
The Great Destroyer: Barack Obama's War on the Republic
https://www.amazon.ca/-/fr/Great-Destroyer-Barack-Obamas-Republic/dp/1596987774
1. Guerre d'Espagne https://fr.wikipedia.org/wiki/Guerre_d%27Espagne
2. Parmi des centaines de mercenaires médiatiques anti-USA-Trump, Jimmy Kimmel, autre des complices << auliques >> de la mafia politique du Parti Démocrate << hors la loi >> :
L'émission Jimmy Kimmel Live – suspendue la semaine dernière après des menaces de l'administration Trump, outrée par des propos de l'humoriste en lien avec l'assassinat de Charlie Kirk – sera de retour à la télévision mardi soir, a annoncé Disney.
Nous avons passé les derniers jours à avoir des conversations réfléchies avec Jimmy et après ces discussions, nous avons pris la décision de reprendre l'émission mardi, a indiqué le groupe, propriétaire de la chaîne ABC, dans un communiqué.
Dans ce communiqué, Disney explique que la décision de suspendre temporairement l'émission avait été prise afin d'éviter d'aggraver une situation tendue à un moment émotionnel pour notre pays.
(…).
L’animateur américain Jimmy Kimmel de retour en ondes dès mardi soir
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2194373/jimmy-kimmel-emission-retour-charlie-kirk-abc
3. Le président du gouvernement espagnol, Pedro Sanchez, a rencontré à La Moncloa [palais madrilène, siège du gouvernement] le magnat et philanthrope américain George Soros. La réunion n’a pas été rendue publique, selon ce qu’indique le journal en ligne OK Diario. La Moncloa n’a ni confirmé ni démenti la rencontre. […]
Selon ce média, Sanchez et Soros ont commencé la réunion à sept heures du soir le 27 juin. La rencontre a duré environ une heure et demie. […]
«Nous ne pouvons confirmer avec quelles personnes s’entretient le président sauf lorsque cela figure à l’ordre du jour officiel», ont déclaré des sources gouvernementales. Il semble que l’objectif de Soros était de se renseigner de première main sur les politiques que prévoit d’appliquer le nouvel exécutif socialiste.
(…).
Juan Antonio de Castro a récemment publié un ouvrage sur l'action de George Soros en Espagne, à travers son soutien financier aux indépendantistes catalans : "Soros: Rompiendo España".
Suite au rapport de l'ECLJ sur les ONG et les juges de la CEDH, nous vous proposons une discussion libre sur les enjeux européens de l'action de l'Open Society Foundation.
(…).
George Soros https://fr.wikipedia.org/wiki/George_Soros
4. Cet extrait, parmi tant d’autres, du parcours de l’imposteur, corrompu et traître premier ministre espagnol Pedro Sánchez Pérez-Castejón, révèle l’exécrable comportement mafieux de la politique gouvernementale, mené par l’actuel président de l’Internationale Socialiste et porte-étendard de la mouvance mondialiste anti-USA-Trump (Forum Économique Mondial, George Soros, PCC, UE, Big Pharma, …)(5) :
(…).
Enquêtes judiciaires visant des proches (concernant l’imposteur premier ministre Pedro Sánchez)
En juin 2025, l'opposition appelle à sa démission, alors que des enquêtes judiciaires visant des proches du président du gouvernement se multiplient depuis des mois et « que la liste des dossiers qui l'éclaboussent ne cessent de s'allonger. » Outre l'affaire concernant son ex-bras droit et ex-ministre des Transport José Luis Ábalos et son épouse Begoña Gómez, son frère David Sanchez, ex-responsable du spectacle vivant à Badajoz, est accusé de trafic d'influence. Des dizaines de milliers de personnes se rassemblent à Madrid le 8 juin, lors d'une manifestation organisée par le Parti populaire, principal parti d'opposition conservateur, accusant le Parti socialiste de corruption[359].
Le 12 du même mois, le numéro 3 du Parti socialiste et député Santos Cerdán, mis en cause dans une affaire de corruption, présente sa démission de toutes ses responsabilités[360]. Fragilisé par cette mise en cause, Pedro Sánchez présente des excuses mais exclut des élections anticipées[361].
Controverses
Thèse de doctorat
Le 13 septembre 2018, le journal ABC et le journal en ligne Okdiario accusent Pedro Sánchez d'avoir plagié sa thèse de doctorat en sciences économiques[362]. La directrice de cette thèse Isabel Cepeda[363] ainsi que l'économiste Carlos Ocaña réfutent cette accusation[364]. L'université communique pour sa part n'avoir détecté aucune irrégularité dans les processus d'évaluation du travail réalisé par Pedro Sánchez[365].
La présidence du gouvernement ainsi que plusieurs médias soumettent le texte de la thèse à l'analyse de deux logiciels anti-plagiat, trouvant 13 % de similitudes avec Turnitin et 0,96 % avec PlagScan[366],[367],[368],[369]. Si la Moncloa affirme que ce sont « des taux normaux », le directeur de Turnitin pour l'Espagne explique que le pourcentage en lui-même n'a pas de réelle signification et que le contenu des textes repris doit être examiné précisément[370].
Alliance avec les héritiers d'ETA
L'Association des victimes du terrorisme (AVT) boycotte depuis 2019 l'hommage annuel aux victimes des attentats d'ETA. Elle accuse en effet Pedro Sánchez de « gouverner avec ceux qui sont les représentants d'ETA dans les institutions », en référence au fait que la formation politique Euskal Herria Bildu est un des soutiens les plus fréquents du gouvernement au Parlement espagnol. De même, le Collectif des victimes du terrorisme (COVITE) qu'il est « cynique » de saluer la mémoire des victimes au Congrès, « une institution où siègent des partis politiques qui justifient l'existence d'ETA et ne condamnent pas la violence terroriste ». Pendant la campagne des élections de 2023, Pedro Sánchez se défend d'avoir conclu « un accord de gouvernement ou d'investiture avec Bildu », évoquant « une dynamique parlementaire pour appuyer des avancées dans le domaine social »[371].
(…).
Pedro Sánchez https://fr.wikipedia.org/wiki/Pedro_S%C3%A1nchez
Comme évoqué antérieurement l’actuel premier ministre d’Espagne Pedro Sánchez est aussi le président de l’Internationale Socialiste https://fr.wikipedia.org/wiki/Internationale_socialiste
Dans l’histoire des relations internationales, l’Internationale Socialiste a été l’enjeu essentiel des conflits politiques, économiques, géostratégiques… :
Les droits de douane annoncés la semaine dernière, puis suspendus par le président américain Donald Trump, pourraient inciter l'Union européenne à intensifier ses échanges avec la Chine.
La Chine appelle les pays occidentaux à soutenir le multilatéralisme et la coopération ouverte, a déclaré le président Xi Jinping au premier ministre espagnol Pedro Sánchez, alors que Pékin tente de rallier des alliés à sa lutte tarifaire croissante avec les États-Unis.
"Les deux parties devraient promouvoir la construction d'un système de gouvernance mondiale juste et raisonnable, maintenir la paix et la sécurité dans le monde et promouvoir le développement et la prospérité communs", a déclaré Xi Jinping à Pedro Sánchez, qui effectue une tournée dans deux pays d'Asie, à Pékin.
Cette visite intervient à un moment complexe pour l'Europe et la Chine.
Les droits de douane annoncés la semaine dernière, puis suspendus par le président américain Donald Trump, pourraient inciter l'Union européenne à intensifier ses échanges avec la Chine, troisième marché de consommation au monde après les États-Unis et l'Union européenne.
(…).
Xi appelle à une gouvernance mondiale équitable
5. Le 45-47 Président-humaniste des États-Unis(6) contre la mafia Big Pharma et les fabricants chinois des réactifs (85 % de la production mondiale) servant à produire des vaccins tueurs et médicaments provocant des maladies irréversibles :
Aux côtés de son secrétaire à la Santé, Robert F. Kennedy Jr., le président américain, Donald Trump, a livré un véritable réquisitoire contre le Tylenol, lundi, liant l'autisme à la prise de ce médicament pendant la grossesse. Cette théorie a rapidement été critiquée par la communauté scientifique.
Le message adressé aux femmes enceintes et aux mères pendant la conférence de presse, lundi, était clair et appuyé lourdement : << Ne prenez pas de Tylenol, battez-vous pour ne pas en prendre >>, a intimé à de nombreuses reprises le président américain, qui n'a aucune formation scientifique. Il a aussi déconseillé aux mères d'en donner aux nouveau-nés.
Il a indiqué que l'agence fédérale qui réglemente notamment les produits pharmaceutiques, la FDA émettait de nouvelles recommandations sur l'acétaminophène, l'ingrédient actif du Tylenol qui agit comme analgésique et réducteur de fièvre.
(…).
Trump lie le Tylenol à l’autisme sans preuves probantes
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2194284/trump-kennedy-autisme-acetaminophene-tylenol-leucovorin
6. Qui peut douter aujourd’hui de sa condition de Président-humaniste de la première puissance mondiale et de sa résilience pour faire accepter par ses adversaires va-t-en-guerre son Nouvel Ordre Mondial :
Devant l’hémicycle des Nations unies, le président américain Donald Trump a critiqué l'institution, affirmant avoir mis fin à des guerres pendant que l'ONU avait les bras croisés.
Le président américain est venu exposer sa vision du monde lors d'un discours de près d'une heure devant la 80e Assemblée générale des Nations unies, sa première apparition à cette tribune depuis 2020. Il a abordé un large éventail de sujets, de l'âge d'or des États-Unis sous sa gouverne, aux guerres, au désastre de l'immigration incontrôlée, et au canular des changements climatiques.
Donald Trump a reproché à l'ONU de ne pas l'avoir aidé dans ses diverses entreprises de paix. J'ai mis fin aux guerres à la place des Nations unies, a-t-il lancé.
J’ai arrêté sept guerres et je n’ai jamais reçu un coup de fil, s'est moqué Donald Trump. Tout ce que j'ai eu des Nations unies, c'est un escalier mécanique brisé et un télésouffleur défectueux, a ironisé le président, sous les rires de l'audience, en référence à des problèmes techniques avant son intervention au micro.
(…).
« J’ai mis fin aux guerres à la place des Nations unies », dit Trump devant l’ONU
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