McKinsey & Company : des organismes internationaux, sociétés étatiques, ONG’s…
Les remous à la FIFA, et notamment les critiques qui visent son président, Sepp Blatter, font ressurgir une vieille affaire et éclaboussent indirectement McKinsey. En 2000, Sepp Blatter avait engagé McKinsey, sans dévoiler les détails du contrat aux autres membres de la FIFA. Or à l’époque, le neveu de Sepp Blatter était partner chez McKinsey en Suisse. Interrogé par Bloomberg News, McKinsey a refusé de commenter, selon son habitude dès qu’il est question de l’un de ses clients. Le porte-parole a tout de même précisé que le neveu de Sepp Blatter avait quitté le cabinet en 2005. Du côté de la FIFA, on rétorque qu’il n’était pas en charge de la mission.
McKinsey avait été engagé en 2000 pour réorganiser la FIFA. La mission de deux ans avait été facturée 12 millions de francs suisses. Les dirigeants de la FIFA ont d’ailleurs précisé qu’ils ne critiquent en rien le travail de McKinsey.
Le scandale de la FIFA éclabousse McKinsey
https ://www.consultor.fr/articles/le-scandale-de-la-fifa-eclabousse-mckinsey
JO : Quand McKinsey conseillait Paris 2024
En amont de la désignation de Paris en tant que ville-hôte des Jeux Olympiques 2024, le cabinet de conseil a épaulé la capitale française.
- Affaire Gaza : le BCG s’enfonce dans la crise
- Révélations sur les missions pro bono du BCG et de Roland Berger pour l’Élysée
- Neom, la ville du futur qui vire au fiasco… sauf pour McKinsey
- Lufthansa : délestage des consultants en vue
- Enquête : plongée dans la clientèle de McKinsey en Cœur
- Le destin hors norme d’une consultante McKinsey, double médaillée aux Jeux paralympiques 2024
- Nouvelle-Zélande : une mission de McKinsey pour la compagnie ferroviaire publique ‘stupéfie’ la ministre des Finances
- Irak : Oliver Wyman locomotive de la « Route du développement » du Golfe à la Turquie
https ://www.consultor.fr/articles/jo-2024-quand-mckinsey-conseillait-la-candidature-francaise
McKinsey & Company et la mafia bureaucratique à l’ONU
La firme McKinsey a participé à l’écriture d’un important rapport des Nations unies sur le financement de la lutte contre le changement climatique. Elle envoie des délégations dans les COP sur le climat, commandite la « Climate Week » à New York, et ses analyses sont utilisées par plusieurs gouvernements qui souhaitent parvenir à la carboneutralité. Toutefois, cette firme de consultants conseille également les plus grands pollueurs de la planète, ce qui soulève des inquiétudes quant aux conflits d’intérêts potentiels.
Le 1er décembre 2022, quelques jours avant la tenue de la COP15 sur la biodiversité à Montréal, le Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE) a publié un communiqué de presse qui indiquait que le financement de solutions basées sur la nature devra atteindre 484 milliards de dollars par année d’ici 2030 si les États veulent limiter le réchauffement climatique à 1,5 degré Celsius.
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Climat : l’influence de McKinsey à l’ONU inquiète
La société de conseil McKinsey s’est imposée comme un acteur incontournable du débat climatique. Pour le chercheur Édouard Morena, elle contribue à présenter le capitalisme vert comme « unique horizon bas carbone possible ».
Le plus grand cabinet de conseil au monde, McKinsey, s’est servi de son influence dans les préparatifs de la COP28 pour défendre les intérêts de ses clients pétrogaziers, comme les compagnies Aramco ou ExxonMobil. Selon l’Agence France-Presse (AFP), la firme a fourni aux organisateurs émiratis des scénarios sur l’avenir du secteur énergétique mondial qui contredisent les objectifs climatiques que le cabinet affiche lui-même. Ils intègrent aussi des investissements continués dans les énergies fossiles. D’après une source citée par l’AFP, ayant assisté à des réunions confidentielles avec les hôtes du sommet, McKinsey « appelle ouvertement et sans vergogne à abaisser les ambitions sur l’élimination du pétrole au sein même de la présidence de la COP28 ».
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« McKinsey présente le capitalisme vert comme unique horizon »
https://reporterre.net/McKinsey-presente-le-capitalisme-vert-comme-unique-horizon
McKinsey & Company : l’<< arnaque >> de la Taxe carbone des imposteurs gouvernementaux Trudeau-Carney
McKinsey & Company a développé son propre tarif carbone interne (environ $50 la tonne) depuis janvier 2023 pour réduire les émissions de ses déplacements professionnels
et a investi dans des projets de compensation carbone. Le cabinet a également analysé l’impact économique de la transition vers le « zéro émission nette » à l’horizon 2050, tout en faisant la promotion des crédits carbone auprès de ses clients, y compris ceux des secteurs des énergies fossiles. (Aperçu généré par IA)
Compte tenu des pratiques douteuses et mal gérées de McKinsey que mes collègues conservateurs et moi avons dénoncées depuis le printemps, j’ai une question simple à poser aux ministres Anand et Duclos :
Pourquoi McKinsey n’est-elle PAS interdite de soumissionner pour des contrats avec le gouvernement du Canada ? Stéphanie Kusie
Carbon Tax Carney and McKinsey??
https ://stephaniekusiemp.ca/carbon-tax-carney-and-mckinsey/
Le rapport détaille les progrès mesurables de McKinsey vers l’accélération d’une croissance durable et inclusive conformément à ses aspirations-catalyser la décarbonation, construire des économies, des institutions et des effectifs inclusifs, et établir la norme en matière de responsabilité et de conformité
McKinsey & Company a publié son rapport ESG 2022, « Créer un avenir plus durable, inclusif et en croissance pour tous ». Le rapport décrit comment McKinsey s’est associé à ses clients et à ses communautés pour susciter des changements positifs et durables et mesurer son impact dans le monde entier.
McKinsey & Company publie son rapport ESG 2022
by Actualités ESG • Le 14 juin 2023
https ://esgnews.com/fr/la-soci%C3%A9t%C3%A9-mckinsey-publie-son-rapport-esg-2022/
Le prix du carbone a chuté de plus de 30% depuis février ...
Le décret signé par le Président Trump, concernant le retrait de l'Accord de Paris a affaibli la demande de droits d'émission et a donc fait baisser les prix. Ce déclin est inattendu, car le marché du carbone était censé voir son prix augmenter. Alors, ledit décret contre l’<< arnaque >> de la Taxe carbone font dégringoler le prix de la tonne négociée en bourse :
24 juill. 2025 — Sans tambour ni trompette, le prix du carbone au Québec et en Californie a chuté de 36% depuis son sommet historique enregistré en février 2024. (information partielle fournie par l’IA)
McKinsey & Company et le Parti Démocrate américain Obama-Biden et ses complices anti-USA
McKinsey et l’Administration de la Ville de New York
McKinsey a travaillé avec l’administration de la Ville de New York sur divers projets, comme un système de classification des détenus, mais a également fait l’objet de critiques, notamment en raison du coût et des résultats jugés insatisfaisants pour le système de classification des détenus. La ville a cessé d’utiliser ce système et a cessé de recourir aux services de McKinsey dans ce domaine spécifique, bien que le cabinet continue de servir de nombreux clients dans la ville.
● Projet de classification des détenus : La ville de New York a engagé McKinsey pour développer un système de classification des détenus, mais a mis fin à ce contrat en mai 2022 après que le projet a coûté 27,5 millions de dollars à la ville pour des résultats insatisfaisants.
● Critiques : McKinsey a été critiqué pour avoir falsifié ses chiffres sur la réduction des violences, un point que le cabinet a démenti.
McKinsey et Gavin Newsom, le gouverneur de la Californie du Parti Démocrate
Le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, a des liens étroits avec le cabinet de conseil McKinsey & Company, notamment par le biais de contrats de conseil et de la nomination d’un ancien cadre de McKinsey à un poste clé au sein de son administration.
Points clés de la relation :
● Contrats de conseil : L’administration Newsom a attribué plusieurs contrats à McKinsey pour des conseils sur divers sujets, notamment l’amélioration du service au Département des véhicules motorisés (DMV) et des projets éducatifs. En janvier 2020, il a été signalé que Newsom avait eu recours à la firme au moins quatre fois l’année précédente pour un total de plus de 2 millions de dollars.
● Crise de la COVID-19 : Pendant la pandémie, la Californie a continué à travailler avec McKinsey, qui a notamment fourni 250 000 dollars de services pro bono pour aider à gérer l’impact économique de la crise et a contribué à la stratégie de tests de l’État. Cependant, l’attribution d’un contrat sans appel d’offres à McKinsey pour la diffusion d’informations sur les vaccins a suscité des critiques.
● Lenny Mendonca : Un partenaire principal émérite de McKinsey, Lenny Mendonca, a été le conseiller économique et commercial principal de Gavin Newsom et le président de la California High-Speed Rail Authority (Autorité californienne des trains à grande vitesse). Mendonca a fondé la pratique de conseil pour le secteur public local et étatique de McKinsey aux États-Unis. Il a démissionné de son poste en avril 2020 pour des raisons de santé mentale, ce qu’il a rendu public par la suite. (information fournie par IA).
L’étude de McKinsey que le Pentagone a cachée sous le tapis
Le Washington Post révèle que le Pentagone a sciemment caché une étude de McKinsey concernant un gaspillage de son budget. D’après une analyse du cabinet de conseil en stratégie remise en janvier 2015, le département de la défense pourrait économiser pour 125 milliards de dollars en frais administratifs sur cinq ans.
Face à l’ampleur du gaspillage mis à jour, l’état major du Pentagone, pourtant commanditaire de l’étude, a choisi de ne pas révéler son contenu. Les militaires craignaient que le Congrès américain ne profite de ce prétexte pour couper drastiquement dans le budget de la défense. Sur les quelque 580 milliards de dollars alloués au Pentagone chaque année, un quart serait utilisé pour des fonctions administratives et de support.
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https://www.consultor.fr/articles/etude-de-mckinsey-que-le-pentagone-a-planquee
McKinsey & Company, : Macron, Ursula von der Leyen, Présidente de la Commission Européenne (UE) et L’optimisation fiscale (évasion fiscale légalisée)
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Des élites unies par l’idéologie mondialiste
Que David von der Leyen, fils d’Ursula, ait été associé du cabinet McKinsey n’est pas un crime en soi. De même que Victor Fabius soit également associé de ce même cabinet, cabinet qui a inspiré la stratégie vaccinale du gouvernement français, validée par le Conseil constitutionnel dont le président est son père Laurent Fabius ne démontre pas qu’il y ait eu autre chose que de faibles interférences. Mais cela démontre de façon éclatante et spectaculaire, la proximité idéologique qui existe entre tous ces différents acteurs.
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[Tribune] McKinsey, un outil à trahir l’intérêt de la Cœur
Au-delà des soupçons d’évasion fiscale qui pèsent sur McKinsey, l’eurodéputée RN Virginie Joron dénonce l’emprise tentaculaire des cabinets de conseil étrangers sur le quinquennat d’Emmanuel Macron.
https ://www.valeursactuelles.com/politique/tribune-mckinsey-un-outil-a-trahir-linteret-de-la-cœur
INTERNATIONAL – McKinsey & Company accusé de double jeu. Le cabinet de conseil américain, déjà épinglé en Cœur pour son implication dans les campagnes électorales d’Emmanuel Macron, est désormais soupçonné de conflit d’intérêts en cœur pour avoir travaillé en même temps avec le ministère allemand de la Défense et des entreprises russes.
C’est le quotidien Die Zeit qui a révélé cette affaire, reprise en français par Courrier International ce mardi 3 janvier. Entre 2016 et 2018, McKinsey aurait conseillé plusieurs entreprises dont Gazprom et des entreprises d’armement proches du Kremlin, comme Rostec, tout en travaillant en Cœur pour le ministère de la Défense dirigé alors par Ursula von der Leyen, désormais présidente de la Commission européenne.
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McKinsey au cœur d’une polémique en Cœur, après la Cœur
Le cabinet de conseil américain est soupçonné de conflit d’intérêts après avoir travaillé à la fois avec des entreprises russes et le ministère allemand de la Défense.
Clarisse Magnin, directrice générale de McKinsey en France, était l'invitée de Laure Closier dans Good Morning Business, ce mardi 4 mars. Elles ont abordé l'impact des décisions de l'administration Trump au niveau des entreprises, les stratégies à adopter face à la guerre commerciale, les prédictions de McKinsey pour l'Europe et la politique de l'UE face à Donald Trump.
Le Grand entretien : Les prédictions de McKinsey pour l'Europe
https://www.youtube.com/watch?v=-3G1aJ4ALRM
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Gêne des autorités françaises, surtout depuis que le rôle du cabinet dans l'accompagnement du ministère de la Santé sur le déploiement de la campagne vaccinale a été rendu public. « Lors de la candidature au marché, cette société a fourni les attestations prouvant qu’elle est en règle avec l’administration fiscale française », et les missions pour l’État sont dûment facturées à Paris, assure au Monde, le cabinet d’Amélie de Montchalin, la ministre de la Transformation et de la Fonction publique (dont le compagnon est un ancien partner du Boston Consulting Group, relire notre article). Son ministère a la tutelle Direction interministérielle de la transformation publique (DITP). Cette unité (relire notre article à son sujet) est logée au 20 de l’avenue Ségur dans le 7e arrondissement de Paris, là où tous les services du Premier ministre ont été réunis au début du quinquennat d’Emmanuel Macron.
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Après la Norvège, l'optimisation fiscale de McKinsey dans le viseur en France
L'information est donnée par Le Monde dans son magazine hebdomadaire du 6 février 2021 : le siège social de McKinsey and Company France Inc est domicilié non pas au 90 avenue des Champs-Élysées où le cabinet a ses bureaux parisiens, mais à Wilmington, dans le comté de New Castle, dans l'État du Delaware aux États-Unis.
McKinsey & Company, d’autres cabinets conseil, la géopolitique du secteur militaro-industriel et la reconstruction de l’Ukraine
Les cabinets de conseil en stratégie sont-ils (in)compétents en risque géopolitique ?
La réponse de Siméo Pont, co-auteur de l’étude « La fabrique du risque. Les entreprises face à la doxa géopolitique » de l’IFRI.
Boston Consulting GroupMcKinsey
Par Barbara Merle Publié le 24 Jui. 2025
Consultor : Votre analyse du travail de ce que vous appelez les « acteurs du marché du risque géopolitique », notamment les cabinets de conseil, est sans appel. Dans cette étude, vous affirmez dans l’introduction : « La déformation du triangle stratégique États-Unis/Chine/Russie crée de nouvelles dynamiques auxquelles les entreprises ne peuvent se soustraire. Elles sont confrontées au risque géopolitique, sans forcément s’y être préparées. Leurs dirigeants ne peuvent plus l’ignorer. Ils bénéficient d’une doxa géopolitique produite par les acteurs du “marché du risque géopolitique” : banques d’affaires, pure players et cabinets de conseil en stratégie ou en audit. ». En quoi la production des cabinets de conseil sur le risque géopolitique est-elle linéaire, dépersonnalisée et partielle ?
Siméo Pont : La littérature de ces cabinets offre du positif, une capture d’écran de l’état d’esprit du monde corporate à un moment T. Le risque géopolitique est aujourd’hui omniprésent.
Toutes leurs analyses sont fondées, chiffrées, sourcées, ancrées dans le concret, mais il y a des ellipses. Linéaire, parce qu’elle s’appuie sur les « méga trends », la démographie, l’urbanisation, et elle suppose que la mondialisation continue malgré les crises.
L’analyse est dépersonnalisée, parce que l’intentionnalité des acteurs n’est pas prise en compte, réduisant les dynamiques internationales à des indicateurs abstraits, en occultant les acteurs, leurs intentions et les récits politiques. Pendant longtemps, le comportement du monde de l’entreprise était uniquement guidé par l’« économisme », aujourd’hui elle l’est par les rapports bruts entre États.
Enfin, partielle, parce qu’il y a des sujets qui ne sont pas abordés, ou des géographies qui sont lues sous un certain angle, car elle vise d’abord à rassurer les investisseurs, plutôt qu’à anticiper les ruptures stratégiques. Ainsi, un certain nombre de rapports parle déjà de « Greater China » pour ne pas avoir à mentionner Taïwan. Tout cela produit une image très lisse de la mondialisation. Avec l’impression que c’est la continuation des échanges économiques qui est la caractéristique principale du système mondial.
Enfin, nous avons observé, par ailleurs, que les flux illicites ne sont pas du tout pris en considération. Or cela a-t-il un sens de faire du risque géopolitique sur un pays comme le Cœur, par exemple, sans prendre en compte le poids des cartels ?
Votre étude a été élaborée à partir d’études de cabinets de conseil en stratégie (McKinsey et le BCG) et les Big Four (KPMG, EY, Deloitte, PWC). Pourquoi, selon vous, McKinsey et le BCG induisent-ils une doxa géopolitique, c’est-à-dire des opinions et préjugés, plutôt qu’une réelle analyse ?
Parce que les grands cabinets de conseil ont contribué à façonner la mondialisation à travers la compréhension qu’en avait le monde corporate. Les cabinets de conseil induisent une doxa géopolitique structurée autour d’un postulat central : « Malgré les turbulences, la mondialisation perdurera » ; une vision qui repose sur une carte mentale rassurante et qui présente les crises comme des perturbations temporaires dans un ordre global fondamentalement stable. Pour eux, les systèmes économiques semblent toujours devoir surplomber l’intentionnalité politique. Les acteurs de ce marché ont souvent une lecture rassurante standardisée de la lecture du monde qui repose sur le fait que le système économique mondial sera capable d’absorber le choc et la mondialisation pourra continuer à suivre son cours.
La géopolitique n’est jamais figée, elle est tout le temps en mouvement. Il faut passer d’une conduite automatique à une conduite manuelle. La mondialisation est en train de changer de cours, ce qui oblige les entreprises à s’adapter.
Quelles sont les forces et faiblesses des cabinets sur ces questions géopolitiques ?
La force des cabinets réside avant tout dans leur capacité à traiter de grandes quantités de données et à produire des prévisions de long terme, souvent synthétisées sous forme de graphiques. Leur proximité avec l’ensemble du monde corporate leur permet également de capter et d’analyser le ressenti des entreprises, notamment en ce qui concerne leur état d’esprit face aux mutations globales. Ce sont d’ailleurs ces cabinets qui publient régulièrement les résultats d’enquêtes et de sondages menés auprès des dirigeants, comme le CEO Survey annuel de PwC, réalisé auprès de 4 700 chefs d’entreprise à travers le monde.
Cependant, pour rester compétent, il faut faire partie de l’écosystème, comprendre son fonctionnement et apprendre à y naviguer. Cet écosystème est composé du monde académique, des think tanks, des organisations internationales, de leaders d’opinion de relais sur les marchés visés. Les chefs d’entreprises doivent sans cesse travailler leur jugement grâce à une appréciation continue du risque et des opportunités. Cela implique de construire un dispositif à sa main, inséré dans un écosystème qui ne se limite pas au monde du conseil, finalement assez uniforme.
Le lien de l’étude : https ://www.ifri.org/fr/etudes/la-fabrique-du-risque-les-entreprises-face-la-doxa-geopolitique
Les cabinets de conseil en stratégie sont-ils (in)compétents en risque géopolitique ?
La réponse de Siméo Pont, co-auteur de l’étude « La fabrique du risque. Les entreprises face à la doxa géopolitique » de l’IFRI.
McKinsey analyse l'impact de la guerre en Ukraine sur l'économie mondiale, notamment par le biais de rapports sur les perturbations des chaînes d'approvisionnement et les conséquences sur les marchés de l'énergie et des produits alimentaires. Le cabinet de conseil travaille également avec des entités comme BlackRock et JPMorgan pour aider à la reconstruction de l'Ukraine, notamment en matière de gouvernance et d'investissement, tout en publiant des analyses sur le rôle de l'innovation et de la défense dans ce contexte.
En mars dernier, la Banque Mondiale était formelle : pour rebâtir son économie après la guerre, l’Ukraine aura besoin d’au moins 411 milliards de dollars. Et avec le lancement récent de la contre-offensive ukrainienne, cette somme risque encore d’augmenter.
C’est pour faire face à ce problème que le gouvernement a annoncé faire appel aux branches conseil de BlackRock et de JPMorgan Chase, ainsi qu’aux stratèges de McKinsey : les trois entreprises vont devoir travailler de concert pour mettre en place un « fonds de reconstruction », visant à guider les capitaux publics dans un sens qui attirerait d’autres milliards d’investissements privés.
Cette approche par le financement mixte, « meilleur moyen de relever un grand nombre de défis actuels à long terme – dont celui-ci fait partie », selon Philipp Hildebrand, vice-président de BlackRock, n’en est encore qu’au stade de planification. Si beaucoup d’investisseurs, privés comme publics, déclarent vouloir aider le gouvernement ukrainien, la plupart d’entre eux restent frileux à l’idée d’engager leur capital pour une économie encore en guerre : en plus de l’incertitude qui règne, certains se méfient de l’instabilité politique et financière du gouvernement – qui pêche également par manque de transparence.
Engagé par Volodymyr Zelensky depuis novembre, BlackRock a rapidement été rejoint par JPMorgan, investisseur historique en Ukraine. La banque américaine a en effet aidé le pays à rembourser plus de 25 milliards de dollars de dette souveraine depuis 2010, et à restructurer sa dette à hauteur de 20 milliards en 2022.
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Ukraine : BlackRock, McKinsey et JPMorgan Chase au premier plan de la reconstruction
Les trois entreprises conseillent le gouvernement ukrainien pour mettre en place un fonds d’investissement consacré à la reconstruction du pays.
McKinsey & Company : le secteur militaro-industriel mondial, Carney-Legault va-t-en-guerre et l’origine du conflit armé Russie-Ukraine
Le SAAB de l’armement serait-t-il un autre << Northvolt >> cherchant de subventions provenant de fonds publics ? :
La ministre canadienne de l'Industrie, Mélanie Joly, effectue cette semaine une visite en Suède où elle doit rencontrer la ministre suédoise de l'Économie, Ebba Busch, ainsi que le ministre de la Défense, Pål Jonson, dans le but de renforcer les liens entre les deux pays. Selon des sources citées par le quotidien canadien The Globe and Mail, Mélanie Joly doit également s'entretenir avec des représentants du groupe Saab.
Le Canada réévalue actuellement son projet d'acquisition de 88 chasseurs américains F-35, après une envolée des coûts, désormais estimés à 190 milliards de couronnes suédoises. Le Saab Gripen, ainsi que d'autres avions européens, sont mentionnés comme alternatives potentielles.
D'après le journal Dagens industri, le Gripen était arrivé en deuxième position lors de l'appel d'offres canadien remporté par le F-35.
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La ministre canadienne de l'Industrie rencontre Saab lors de sa visite en Suède
Par la suite de ladite visite de la mercenaire politique << pluri-ministérielle >> du PLC des gouvernements Trudeau-Carney :
Il y aura le roi de Suède, la vice-première ministre et une soixantaine de représentants du gratin industriel du pays nordique, dont la famille Wallenberg, qui compte parmi les plus riches au monde.
Du 18 au 20 novembre, une mission suédoise se rendra à Ottawa et à Montréal pour tenter de mettre la main sur une part des 82 milliards en nouvelles dépenses militaires canadiennes. La visite servira aussi à renforcer une alliance au cœur de la stratégie géopolitique du gouvernement Carney.
Le gouvernement canadien a activement nourri ce rapprochement avec la Suède cette année, notamment en ravivant l’idée d’acheter des avions de chasse fabriqués par la firme suédoise Saab, qui pourraient être assemblés au Canada par Bombardier.
Les deux pays arctiques, partenaires au sein de l’OTAN depuis l’adhésion de la Suède l’an dernier, ont resserré leurs liens et multiplié les rencontres entre dirigeants et entrepreneurs cette année.
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La Suède sort les gros canons pour obtenir des contrats militaires au Canada
Le roi Carl XVI Gustaf dirigera une visite d’État à Ottawa et à Montréal qui mettra en lumière les liens croissants entre Saab et Bombardier.
McKinsey travaille avec le secteur militaro-industriel, fournissant des services de conseil en stratégie, transformation numérique et opérations critiques. Le cabinet a notamment mené des missions pour des ministères de la défense et des entreprises du secteur, comme la restructuration de la société Défense Conseil International (DCI) ou le développement d'outils d'intelligence artificielle pour la marine canadienne. Ces activités s'inscrivent dans le rôle de McKinsey en tant que conseiller auprès de clients publics et privés dans le domaine de la défense. (information fournie par l’IA)
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Les entreprises des industries aérospatiales et de défense doivent aussi innover en permanence pour conserver le leadership sur des marchés à forte concurrence internationale. Dans cette optique, nous aidons les centres de R&D à améliorer l'efficacité de leurs processus de développement et à réduire la durée de leurs projets tout en augmentant leur niveau de qualité, afin que l'innovation qu'ils génèrent arrive plus rapidement sur le marché.
Notre pôle de compétences Aérospatiale et Défense compte plus de 500 consultants expérimentés au niveau mondial et plus de 100 experts ayant travaillé dans le secteur avant de rejoindre McKinsey. Nous accompagnons plus de 75 % des 25 plus grandes groupes d’aérospatiale et de défense au niveau mondial.
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Aérospatiale et Défense
https://www.mckinsey.com/fr/our-work/aerospace-and-defense
De la filière batterie à la défense, la « nouvelle vision économique » de François Legault
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2206164/nouvelle-vision-economique-francois-legault
Legault veut prioriser neuf projets en défense de 11 à 16 milliards $
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2206722/legault-projets-defense-milliards-quebec
« La défense fait maintenant partie de nos priorités », dit la ministre Fréchette
Spectre d’un conflit armé: «il ne faut rien exclure», avertit Legault
La Révolution orange survenue en Ukraine en 2004 constitue un événement singulier qui permet de comprendre l’évolution géopolitique de cette société post-soviétique. Cette révolution révèle des rivalités politiques intérieures qui définissent aussi la géopolitique ukrainienne, treize ans après son indépendance. Avant d’analyser les événements ukrainiens, il est nécessaire de définir l’approche géopolitique proposée ici qui consiste à « analyser des rivalités de pouvoirs sur des territoires, en confrontant les points de vue des différents protagonistes et en accordant une attention précise à l’idée qu’ils se font chacun de leur propre nation et de leur territoire » (Lacoste, 2006, p.4). Plus précisément, l’analyse géopolitique est composée de plusieurs étapes : l’identification des acteurs, l’étude des rivalités entre eux, la définition des représentations qu’ils se font d’eux-mêmes et de leurs rivaux, et, enfin, la présentation des scénarios du déroulement de la rivalité géopolitique.
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La Révolution orange en tant que phénomène géopolitique
https://shs.cairn.info/revue-herodote-2008-2-page-69?lang=fr
La firme McKinsey possède des antennes dans plus de 65 pays, et fait souvent l’objet de controverses. Le Journal a recensé certains dossiers où l’influence de la firme a soulevé des questions et déclenché des enquêtes.
• McKinsey & Company : nos élus séduits malgré un lourd passé
• Firme McKinsey : QS veut une enquête parlementaire à Québec
• La Caisse de dépôt s’est elle aussi entichée de McKinsey
Un expert dénonce l'influence de la « pieuvre tentaculaire » McKinsey sur le gouvernement Trudeau
Un expert dénonce l'influence de la « pieuvre tentaculaire » McKinsey sur le gouvernement Trudeau ... Étant donné que Trudeau n'a pas la capacité intellectuelle ...
Gouvernement Trudeau
Dominic Barton, directeur général mondial de McKinsey entre 2009 et 2018, en août 2021, à Dandong, en Chine. M. Barton était, à cemoment, ambassadeur du Canada en Chine. Il avait été nommé à ce poste par le premier ministre Justin Trudeau (en médaillon). Photos d’archives, AFP
Le gouvernement libéral de Justin Trudeau a accordé des contrats d’une valeur de plus de 84 millions $ à la firme de consultants McKinsey depuis mars 2021. C’est 30 fois plus que ce qui a été accordé par les conservateurs pendant tout le règne de Stephen Harper, selon Radio-Canada et La Presse canadienne. C’est la raison pour laquelle les partis d’opposition aux communes veulent forcer la tenue d’une enquête parlementaire sur les contrats octroyés par le gouvernement fédéral à McKinsey. Par ailleurs, un comité formé par Ottawa en 2016 et présidé par Dominic Barton, alors directeur général mondial de McKinsey, recommandait d’augmenter les seuils d’immigration au Canada. M. Barton est un des cofondateurs de l’Initiative du siècle, un groupe de pression qui souhaite faire passer à 100 millions la population du Canada d’ici 2100. Rappelons que Dominic Barton a, en 2019, été nommé ambassadeur du Canada en Chine par le gouvernement Trudeau. Il a occupé ce poste jusqu’en 2021. Sa fin de mandat a été marquée par la crise diplomatique provoquée par l’arrestation, à Vancouver, de la numéro 2 du géant chinois Huawei, Meng Wanzhou.
(…).
McKinsey & Company : des controverses ici et ailleurs
https ://www.journaldemontreal.com/2023/01/14/mckinsey–company-des-controverses-ici-et-ailleurs
« Certains nous ont demandé si nous allons continuer à donner la priorité à la diversité dans notre méritocratie. La réponse est oui : nous allons continuer à le faire, car ces deux choses – notre méritocratie diverse -, c’est ce qui fait notre force depuis 100 ans. » Bob Sternfels est clair : McKinsey, la légende américaine du conseil qu’il dirige, ne mettra pas fin à sa politique diversité, égalité et inclusion (DEI).
L’annonce a été faite aux salariés dans un mémo daté du 3 février et déniché par Bloomberg, peu après la décision de Donald Trump de mettre la pression sur les entreprises travaillant pour l’administration américaine pour qu’elles reviennent en arrière sur le sujet DEI.
Dans le cadre de sa chasse aux sorcières, le nouveau président des Etats-Unis a même demandé à son administration de lui fournir une liste de neuf entreprises pratiquant des politiques « illégales » en la matière, prélude à des poursuites judiciaires. L’Amérique du Nord pèse environ la moitié du chiffre d’affaires de McKinsey, qui fait partie de la liste des partenaires officiels de Washington.
Guerre des talents
Résistant anti-Trump, McKinsey ? Face au chantage présidentiel, le cabinet de conseil oscille entre le besoin de donner des gages à la vague conservatrice aux Etats-Unis (il ne faut pas se mettre hors des clous), et les nécessités de la guerre des talents.
Si le camp Trump martèle urbi et orbi que ces politiques rognent la méritocratie, les avocats de la DEI affirment le contraire. Pour eux, ces programmes élargissent le vivier de candidats prometteurs et donc les performances de l’entreprise.
« C’est notre force depuis 100 ans » : McKinsey maintient sa politique diversité et inclusion
Fidèle à sa tradition de recrutement – la méritocratie quel que soit le profil -, McKinsey ne veut pas abandonner sa politique diversité, égalité et inclusion. Et se place ainsi en opposition avec les désirs de la Maison-Blanche.
En effet, McKinsey & Company est une sorte de << toile d’araignée >> tissée au cours de son existence mouvementée depuis un siècle formée par des points cardinaux concentriques stratégiques constituant ainsi une cartographie planétaire de 136 cabinets-conseils dans 60 pays ou États et 45 000 salariés-associés. Dans cette << toile d’araignée >>(11) ceux qui se font attrapés auront la plus des grandes difficultés pour s’en sortir comme explicité tout au long du présent document. Le phénomène de ce Pouvoir géo-cleptocrate mondial est presque identique à celui dont les conséquences pour les << victimes >> ayant été attrapées dans ce piège les seront de manière pérenne ou occasionnelle pour être spoliés au fur et à mesure de la stratégie mise en place selon les circonstances socioéconomiques, politiques, financières, endettements publics, conflits armés, sanitaires, écologiques...
Replay McKinsey, une firme au cœur du pouvoir – Cash investigation
https ://www.youtube.com/watch?v=QOYDi-u0g4M
McKinsey & Company, la Chine, le Parti Travailliste du RU et le M15 du contre-espionnage
Les relations entre McKinsey, la Chine et le Parti travailliste britannique sont complexes et principalement axées sur la stratégie politique et économique du Royaume-Uni vis-à-vis de la Chine. McKinsey est confronté à des pressions pour réévaluer ses activités en Chine en raison des tensions géopolitiques, et ses liens avec le gouvernement chinois ont été soulevés dans des contextes de sécurité nationale aux États-Unis, mais pas encore au Royaume-Uni. Le Parti travailliste, bien qu'ayant adopté une ligne plus souple ces dernières années, est toujours confronté à des défis pour élaborer une politique cohérente envers la Chine, qui englobe des questions de droits de l'homme, de sécurité et d'opportunités commerciales (information fournie par l’IA)
Un contresens qui s’est avéré une réalité du rôle joué par le cabinet-conseil cité dans le monde entre des pouvoirs géostratégiques antagonistes :
Avant les élections, la position du Parti travailliste vis-à-vis de la Chine était sans équivoque. Le parti s'était engagé à qualifier de génocide la répression systématique des Ouïghours, minorité musulmane, par la Chine. Ses députés s'étaient unis pour soutenir un amendement relatif au génocide dans le cadre d'une loi commerciale de 2021, votant avec les députés conservateurs dissidents et ne manquant la victoire que de 11 voix.
Mais la semaine dernière, les accusations mutuelles ont fusé suite à l' abandon des poursuites contre deux Britanniques accusés d'espionnage au profit de la Chine . Le refus du gouvernement de qualifier la Chine de menace pour la sécurité nationale a conforté le Parti travailliste dans son attitude plus conciliante envers Pékin et a recentré l'attention sur la figure centrale de cette position : le conseiller à la sécurité nationale de Keir Starmer, Jonathan Powell.
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L’assouplissement de la position du Parti travailliste à l’égard de la Chine est renforcé par l’abandon des poursuites pour espionnage.
Dans cette disjonctive mckinseo-sino-britannico-socialiste, le M15 vient de révéler les intentions d’infiltration du néo-impérialisme communiste chinois au Parlement de Westminster(13) :
Le service britannique de renseignement intérieur (MI5) a alerté mardi les parlementaires sur des tentatives d'espionnage de la Chine à leur encontre, une menace fermement démentie par Pékin, mais que le gouvernement travailliste entend contrer avec de nouvelles mesures.
Depuis son arrivée au pouvoir, en juillet 2024, le premier ministre Keir Starmer s'efforce de réchauffer les relations avec la Chine, en particulier économiques, tout en devant gérer les craintes croissantes d'une menace de Pékin sur la sécurité nationale.
<< Un peu plus tôt aujourd'hui [mardi], le MI5 a émis une alerte espionnage >> à destination des parlementaires, << pour les avertir du ciblage en cours de nos institutions démocratiques par des acteurs chinois >>, a déclaré le ministre responsable de la Sécurité, Dan Jarvis, devant les députés à la Chambre des communes.
Des agents chinois tentent de << recruter et de cultiver des relations avec des individus ayant accès à des informations sensibles sur le Parlement et le gouvernement >>, par exemple en se faisant passer pour des << chasseurs de têtes >> externes, a-t-il détaillé.
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La Chine accusée d’avoir tenté d’espionner le Parlement britannique
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2208343/chine-espionnage-m15-parlement-britannique
Comment McKinsey & Company s’est était établi dans le réseau hospitalier public au Royaume-Uni avec la quiescence des gouvernements antipatriotes :
Ambulances devant le Guy’s Hospital, l’un des plus grands établissements médicaux de la capitale britannique, Londres
En 1970, après deux décennies d’existence, le NHS (National Health Service) doit se réorganiser. Alors que McKinsey avait mis un pied solide au Royaume-Uni, comme d’autres pays européens, le NHS était resté jusqu’alors vierge de consultants.
Ce ne sera plus le cas, racontent les deux journalistes dans leur récent livre.
McKinsey aide alors à établir The Grey Book, un programme de fusion des soins primaires (consultations généralistes, pharmacies, soins dentaires et ophtalmologie) des hôpitaux et des soins plus locaux, tels que ceux d’infirmerie.
Ces conseils n’ont depuis plus cessé, cinq décennies durant. Les années de pouvoir de Margaret Thatcher ? Du pain béni. « Ce fut “open-bar” pour eux », dit dans le livre Andrew Sturdy, un professeur à l’université de Bristol.
De même sous le gouvernement travailliste de Tony Blair ou de Gordon Brown (cumulativement au pouvoir de 1997 à 2010, ndlr), surtout dans le contexte de l’après-crise de 2008.
En mars 2009, McKinsey remit une présentation de 123 slides où il proposait d’économiser 20 milliards de livres sterling en réduisant les effectifs de la NHS de 140 000 personnes, soit 10 %.
McKinsey avait, par exemple, calculé que 1,7 % du temps de travail des médecins était perdu à des pauses thé, et estimait que 400 millions de livres pourraient être épargnés si les fournisseurs de soin les moins performants parvenaient à « travailler à un rythme standard ».
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Comment l’hosto britannique est devenu McKinsey addict
C’est l’une des révélations de Walt Bogdanich et Michael Forsythe, deux journalistes du New York Times, auteurs de When McKinsey Comes To Town sorti le 4 octobre 2022 : la place prépondérante prise par McKinsey au sein de l’hôpital public britannique.
https://www.consultor.fr/articles/comment-l-hosto-britannique-est-devenu-mckinsey-addict
McKinsey & Company, le néo-impérialisme chinois, le gouvernement britannique des égarés, le << canular >> des chinois sur le réchauffement climatique>>(14), le Président-patriote Trump et le secteur sidérurgique du Royaume-Uni en ruine
McKinsey & Company a conseillé le gouvernement britannique sur la sidérurgie, notamment pour la restructuration de British Steel et des analyses de rentabilité, se concentrant sur la réduction des coûts et l'amélioration de l'efficacité. Ces missions s'inscrivent dans un contexte de défis plus larges pour l'industrie sidérurgique européenne, comme l'obsolescence des installations et la pression environnementale. McKinsey & Company a conseillé le gouvernement britannique sur la sidérurgie, notamment pour la restructuration de British Steel et des analyses de rentabilité, se concentrant sur la réduction des coûts et l'amélioration de l'efficacité. Ces missions s'inscrivent dans un contexte de défis plus larges pour l'industrie sidérurgique européenne, comme l'obsolescence des installations et la pression environnementale. (information fournie par l’IA)
Le complément d’information suivant clarifie davantage ce contexte multifactoriel décrit :
La dernière grande usine sidérurgique qui restait au Royaume-Uni risque de devoir fermer, son propriétaire chinois, le groupe Jingye, jugeant insuffisant le soutien public à hauteur de 500 millions de livres destiné à assurer la transition du site. Le secteur perd beaucoup d'argent depuis des années et les nouveaux droits de douane imposés par l'administration Trump arrivent au pire moment, justifie le groupe.
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Acier : les derniers hauts fourneaux britanniques menacés de fermeture
La sidérurgie britannique est en risque de perdre sa dernière grande usine avec les deux hauts fourneaux de Scunthorpe, dans l'est de l'Angleterre, et ce dès le mois de juin. Un coup dur pour la souveraineté économique du pays et un paradoxe au moment du retour des industries de défense européennes.
L’acier britannique vit ses dernières heures
https://www.steelonthenet.com/media/press-coverage/l'acier-britannique-vit-ses-dernieres-heures.pdf
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Jean-Louis Pérez-Martel











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