Suite de l’article intitulé Comment McKinsey & Company est devenu le Pouvoir géo-cleptocrate mondial* (3 de 5)

Pour les parties 1 et 2 de 5, veuillez consulter les liens insérés ici-bas

Tribune libre

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1. https://vigile.quebec/articles/suite-de-l-article-intitule-comment-mckinsey-company-est-devenu-le-pouvoir-g


2. https://vigile.quebec/articles/suite-de-l-article-intitule-comment-mckinsey-company-est-devenu-le-pouvoir-g


 


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Capture d'écran réalisée le 09/12/2020 sur le site de l'Institut de virologie de Wuhan


Le site web du WIV ne contient aucune mention d'une quelconque participation d'une entreprise étrangère. Il dépend de la CAS, qui dépend du gouvernement chinoisLe site de GSK en Chine ne mentionne pas non plus une quelconque participation à la WIV. Il indique que GSK est implanté en Chine dans les villes de Shanghai, Pékin et Tianjin. 


L'AFP a contacté l'Académie chinoise des sciences, mais n'avait pas reçu de réponse au moment de la publication de cet article


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Une vue aérienne du laboratoire P4 de Wuhan, en Chine, le 27 mai 2020 (AFP / Hector Retamal)


Glaxo ne possède pas Pfizer 


"Glaxo, qui par coïncidence possède Pfizer (vaccin Covid-19)", poursuit la publication. Le groupe pharmaceutique américain Pfizer a développé le vaccin contre le Covid-19 actuellement utilisé au Royaume-Uni. 


Selon CNN Business, Pfizer est majoritairement contrôlé par The Vanguard Group, qui possède une participation de 7,67% dans le laboratoire américain. La multinationale américaine BlackRock, mentionnée dans cette publication, fait également partie de ses actionnaires. 


Mais la société Glaxo ne figure pas dans la liste des actionnaires de Pfizer. 


Contacté par l'AFP, un porte-parole de Pfizer a confirmé que l'affirmation selon laquelle GSK est propriétaire de la société pharmaceutique n'est "pas correcte". "Pfizer n'appartient PAS à Glaxo! Pfizer est une société cotée à la bourse de New-York", a déclaré la porte-parole Dervila Keane à l'AFP dans un mail reçu le 7 décembre 2020.


En décembre 2018, GSK et Pfizer ont annoncé la fusion de leurs activités de médicament sans ordonnance au sein d'une entreprise commune ("joint-venture"), créant ainsi en 2019 GSK Consumer Healthcare, une alliance pour la commercialisation de produits tels que le Voltaren, le Panadol et l'Advil. Il ne s'agissait toutefois pas d'une opération de rachat d’une entreprise par une autre. Dans le secteur pharmaceutique, les deux entreprises restent concurrentes. 


Confusions dans les liens entre BlackRock, AXA, Winterthur et Allianz


Les publications Facebook affirment ensuite que le laboratoire Pfizer "est lié aux finances de BlackRock", qui "par coïncidence gère les finances" du réseau de fondations Open Society Foundations créé par l'Américain George Soros, qui "est par coïncidence proche" de la société d'assurances française AXA et de la société suisse Winterthur "qui a construit ce laboratoire". 


L'homme d'affaires et philanthrope George Soros, il fait régulièrement l'objet de fausses informations, vérifiées par l'AFP. Entre autres, il a été faussement présenté comme ayant été arrêté en Suisse puis plus tard à Philadelphie pour ingérence électorale après la présidentielle américaine et il aurait déclaré vouloir "faire tomber les Etats-Unis en finançant des groupes de haine noirs"


Certaines publications mentionnent par ailleurs "Larry Flynt",  le désignant comme le propriétaire du gestionnaire d'actifs BlackRock. Elles confondent Larry Flynt, fondateur et patron du magazine pornographique américain Hustler, et Larry Fink, ancien trader et PDG de BlackRock. 


BlackRock est le premier gestionnaire d'actifs au monde, et à ce titre possède des participations dans des milliers d'entreprises, dont Pfizer. Il compte également des milliers d'investisseurs, dont le magnat George Soros, parmi ses nombreux portefeuilles. 


Le site des Open Society Foundations ne fait cependant aucune mention de la compagnie d'assurances française Axa, à l'exception d'un document dans lequel sont évoquées, à titre d'exemple, des poursuites engagées par Axa contre des particuliers coupables de fausses déclarations d'assurance. 


Quant à Winterthur, la compagnie d'assurances suisse a été rachetée par Axa en 2006. L'AFP n'a trouvé aucune trace d'une construction d'un laboratoire à Wuhan par le groupe. 


Selon ces publications, le laboratoire P4 de Wuhan aurait également été "acheté accidentellement" par l'assureur Allianz. Ce qui n'a pas de sens puisque, plus haut, les mêmes publications affirment que le laboratoire appartient à Glaxo. Allianz indique sur son site qu'elle possède des bureaux à Pékin, à Shanghai et à Guangzhou, mais pas à Wuhan. L'entreprise ne mentionne pas non plus la présence d'un laboratoire en Chine. 


Bill Gates n'est pas un grand actionnaire de Pfizer


Le message relie également BlackRock à Bill Gates, qui n'est pas nommé mais désigné comme "un actionnaire de Pfizer", "un grand actionnaire de Microsoft et Gates", "actuellement le premier parrain de l'OMS". Comme George Soros, Bill Gates est la cible de nombreuses fausses informations depuis le début de la pandémie de Covid-19. 


Le laboratoire Pfizer a en effet reçu de l'argent du Fonds d'investissement stratégique de la Fondation Bill et Melinda Gates. La fondation a investi dans la société pharmaceutique pour élargir l'accès à Sayana, un contraceptif injectable, aux pays en développement, explique-t-elle sur son site. Elle a également annoncé en septembre 2020 qu'elle collaborerait avec plusieurs des entreprises travaillant au développement d'un vaccin Covid-19. Cependant, la Fondation Bill et Melinda Gates ne compte pas parmi les principaux actionnaires de Pfizer. 


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Principaux actionnaires de Pfizer. Capture d'écran réalisée sur le site marketscreener.com, le 8 décembre 2020


La Fondation Bill & Melinda Gates est bien l'un des plus grands contributeurs de l'OMS, contribuant à hauteur de 11,65% du budget de l'Organisation Mondiale de la Santé. Elle se situe juste derrière le gouvernement allemand, qui fournit 12,18% du budget. 


En conclusion, rien ne prouve que Wuhan WIV soit la propriété de la société GlaxoSmithKline, et il n'est pas vrai non plus que la société possède Pfizer. Il n'y a pas non plus de trace de l'implication des compagnies d'assurances Winterthur et AXA dans le WIV. En revanche, le gestionnaire de fonds BlackRock, qui détient une partie des actions de Pfizer, a George Soros comme investisseur, ainsi que de nombreuses autres fortunes mondiales. En outre, Bill et Melinda Gates ont investi dans Pfizer pour le développement de projets spécifiques mais ne sont pas des actionnaires importants.



Publié le 15/07/2025 à 10:22


Non, une nouvelle étude ne prouve pas un lien entre vaccination contre le Covid-19 et infertilité


 



Publié le 19/05/2025 à 11:12


L'ivermectine, un traitement miraculeux ? Attention à cette fausse liste d'usages du médicament


Le ministre belge de la Santé pas vacciné contre le Covid ? Cet article de presse est un faux


Non, Robert Kennedy Jr n'a pas gagné un procès reconnaissant que les vaccins contre le Covid-19 "ne sont pas des vaccins"


Cette cascade de liens supposés entre le laboratoire de Wuhan et des géants pharmaceutiques, Gates ou Soros est incorrecte


https://factuel.afp.com/cette-cascade-de-liens-supposes-entre-le-laboratoire-de-wuhan-et-des-geants-pharmaceutiques-gates-ou


Fondation


L'Institut de virologie de Wuhan n'est pas le premier, en Chine, à posséder une plate-forme de recherche avancée en virologie. L'Institut de recherche vétérinaire de Harbin en possède déjà un depuis de nombreuses années , qui acquiert le label P4 en 2018. Officiellement, en 2015, l'institut ouvre le premier laboratoire P4 de Chine, pour un coût de 300 millions de yuans (44 millions de dollars). Sa conception, démarrée en 2003, s'est faite en collaboration avec la France. Une partie du personnel s'est notamment formée au laboratoire P4 Jean Mérieux à Lyon[3],[4],[5],[6],[7]. Selon Le Figaro, les relations entre la France et la Chine ont connu des problèmes sur ce projet à partir de 2014. En 2014, lors d'une visite officielle, le président chinois au lieu d'atterrir à Paris pour rencontrer son homologue atterrit à Lyon pour rendre visite à la société BioMerieux[8]. Les entreprises chinoises ont tenu, d’abord, à assurer l’essentiel de la construction du P4 alors qu'elles n'en avaient a priori pas les compétences. En 2015, déçu que la coopération franco-chinoise ne se concrétise pas, Alain Mérieux quitte la présidence de la commission bilatérale[Quoi ?]. Les 50 chercheurs français qui devaient travailler au P4 de Wuhan pendant 5 ans ne sont jamais partis[9]. La société Technip a refusé de certifier le laboratoire[10].


En février 2017, le Premier ministre français Bernard Cazeneuve, accompagné de la ministre française des Affaires sociales et de la Santé Marisol Touraine, ainsi que d'Yves Lévy, président de l'INSERM, participe à la cérémonie d'accréditation du laboratoire[11],[12]. L'ambassade de France en Chine rappelle alors que ce projet doit permettre « à la Chine, en partenariat pionnier avec la France, de mieux comprendre et prévenir les épidémies et les pandémies y compris les plus dangereuses comme la grippe aviaire, pour protéger la population chinoise et la santé mondiale »[13].


Une spécialité du laboratoire P4 de l'établissement est la recherche sur les coronavirus transmis par les chauves-souris[14],[15]. En 2017, il est accrédité pour étudier le virus Ebola et l’Henipavirus[13]. Le laboratoire entretient par ailleurs des liens étroits avec le Laboratoire national de Galveston (en) de l'université du Texas[14].


Selon l'anthropologue Frédéric Keck, ce laboratoire « permet de repérer précocement de nouvelles pandémies passant des animaux aux humains », et « joue ainsi pour le SRAS le rôle qu’a joué Hong Kong pour la grippe aviaire »[6]. Selon le biologiste moléculaire américain Richard H. Ebright (en), « l'Institut de virologie de Wuhan est un institut de recherche de classe mondiale qui effectue des recherches de renommée mondiale en virologie et en immunologie »[14].


Antoine Izambard, journaliste de Challenges, s'interroge sur le délai de réalisation du projet, lancé au lendemain de l'épidémie du syndrome respiratoire aigu sévère de 2003, ce qu'il explique par les soupçons des services de renseignement français et américains à l'égard du manque de transparence de la Chine et de leur crainte que la Chine ne vise à créer des armes biologiques[13]. Il est notamment établi que la Chine a caché la construction d'autres laboratoires P4 sur son territoire, notamment un laboratoire spécialisé dans l'étude des virus qui se transmettent au sein du règne animal, à Harbin, alors qu'elle s'était engagée à ne construire que celui de Wuhan[13].


Spéculations et investigations autour de la Covid-19


Cette section est liée à un événement en cours.


Les informations peuvent manquer de recul ou changer suivant l'évolution des événements et de l'actualité.


Article détaillé : Origine du SARS-CoV-2.


Le vendredi 20 novembre 2015, soit, quatre ans avant le début de la pandémie du Covid-19, paraît un article dans la revue Nature impliquant une équipe internationale de virologues parmi lesquels Shi Zhengli, spécialiste des coronavirus, qui a activement lutté contre l'épidémie du SRAS en 2002-2004. En utilisant le système de génétique inverse SARS-CoV2[Quoi ?][Information douteuse], l'équipe annonce avoir généré un virus chimérique (virus hybride conçu artificiellement) en utilisant un coronavirus de chauve-souris SHC014 et un SARS-CoV. Ce virus chimérique aurait été expérimenté sur une souris. Les résultats indiquent que ce type de virus peut se répliquer efficacement dans les cellules des voies respiratoires humaines primaires. Des expériences in vivo démontrent la réplication de ce virus dans le poumon de souris avec une pathogenèse notable[16]. C'est dans un laboratoire de l'université de Caroline du Nord aux États-Unis que cette équipe a opéré, même si Shi Zhengli (considérée comme une héroïne du SRAS-2002[17]) exerce aujourd'hui son activité de virologue dans la capitale du Hubei.


Fin janvier 2020, des théories commencent à circuler sur Facebook et Twitter, selon lesquelles le SARS-CoV-2 se serait échappé accidentellement du laboratoire, voire y aurait été conçu pour nuire[18],[13],[19]. Le journaliste Antoine Izambard souligne qu'« au vu des éléments dont on dispose, les théories qui circulent sur l’émergence du coronavirus dans le laboratoire P4 à Wuhan sont complotistes », en l'absence d’« éléments concrets à ce stade qui iraient en ce sens »[13]. La direction générale de la Santé française déclare qu'« aucun élément ne permet d’accréditer les allégations liant la crise sanitaire en cours à l’existence à Wuhan d’un laboratoire P4 »[13].


Une étude en pré-publication de chercheurs de l’Indian Institute of Technology de New Delhi relève, le 31 janvier 2020, sur le site bioRxiv « une similarité étrange », « qui a peu de chances d’être fortuite », entre certaines séquences de l’ARN du SARS Covid-2 et celui du VIH[20]. Cette étude en prépublication, très contestée par les spécialistes notamment parce que nombreux virus partagent cette courte séquence, est par la suite retirée par ses auteurs[21]. Le professeur Luc Montagnier s'appuie toutefois sur elle pour arguer d'une possible manipulation humaine[20].


Deux articles publiés en février 2020 dans The Lancet[22] et en mars 2020 dans Nature Medicine[23] privilégient l'hypothèse d'une origine animale et rejettent l'idée d'une manipulation, hypothèse admise lors d’une conférence de presse, organisée le 21 avril 2020 par Fadéla Chaib, la porte-parole de l'Organisation mondiale de la santé[24].


En 2020, la biologiste moléculaire Alina Chan, principalement active sur les médias sociaux, figure parmi les rares voix scientifiques à remettre publiquement en question le consensus dominant sur les origines du virus[25]. Elle affirme que l'hypothèse d'un accident de laboratoire doit être examinée avec plus de sérieux.


Le 13 mai 2021, dix-huit scientifiques dont Ralph S. Baric publient, dans la revue Science, un article appelant à examiner plus sérieusement l’hypothèse d’un accident de laboratoire comme origine de la pandémie[26].


La Chine affirme que le virus a été importé sur le marché de Wuhan par de la viande et des fruits de mer surgelés en provenance de l'étranger. L'OMS estime cette hypothèse peu plausible, sans étude préalable sur la transmission du virus sur des produits congelées[27].


Allégations de négligence


Plusieurs mois auparavant, le quotidien américain Washington Post rapporte que « l’ambassade des États-Unis à Pékin, après plusieurs visites à l’institut, avait alerté en 2018 les autorités américaines sur des mesures de sécurité apparemment insuffisantes dans un laboratoire qui étudiait les coronavirus issus de chauves-souris »[28].


(…).


Laboratoire P4 de Wuhan https://fr.wikipedia.org/wiki/Institut_de_virologie_de_Wuhan


NEW YORK. June 3, 2015 — The Open Society Foundations today announced Sean Hinton as the director of the new Economic Advancement Program and chief executive officer of the Soros Economic Development Fund. From September 2015, Hinton will lead the Foundations’ economic advancement agenda, which aims to encourage sound economic policies and wise financial investment that drive shared, equitable growth. Hinton will start in Open Society’s New York office and will be based in the London office from the second quarter of 2016.


“Sean Hinton’s leadership will help my foundations create opportunities for people and businesses where the need for socially sound investment is greatest,” said George Soros, founder and chair of the Open Society Foundations. “The countries we work in need not only aid but also investment.”


Hinton joins Open Society from Terbish Partners, a strategic and investment advisory firm that he founded in 2007. His focus has been on the energy and minerals sector in China, Mongolia, and Africa. Hinton has 26 years of experience in Asia, particularly in Mongolia, where he has been deeply involved in economic development, working with the government, local communities, and global and national companies. He has been a longterm senior advisor to Goldman Sachs Asia and the Rio Tinto group, and was formerly a consultant with McKinsey & Company.


Chris Stone, president of the Open Society Foundations, said: “Sean will lead an all-sectors strategy for economic advancement, working with government, business, and civil society worldwide. The Economic Advancement Program will have the widest array of tools at its disposal, giving Sean the ability to make equity and debt investments alongside more traditional grants, the ability to sponsor research, advise governments, and advocate for sensible economic policies.


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The Open Society Foundations Name Head of Economic Advancement Program


Director will oversee innovative approach to the challenges of economic inequality


https://www.opensocietyfoundations.org/newsroom/open-society-foundations-name-head-economic-advancement-program


Participation à des campagnes de financement internationale, rencontres avec des cadres de l'industrie pharmaceutique, avec des chefs de gouvernement : telles sont quelques-unes des démarches entreprises par le fondateur de Microsoft, qui estime avoir un rôle clé à jouer dans le développement des vaccins à l'échelle planétaire, a-t-il indiqué au New York Times (voir l'article du quotidien de novembre 2020). Ces démarches l'ont aussi amené à avoir recours aux services du cabinet McKinsey en 2020, et ce pour plusieurs millions de dollars.


C'est l'une des très nombreuses missions, pro bono et rémunérées, assumées par le cabinet en réponse à la gestion de la pandémie de coronavirus. Le cabinet est par exemple intervenu auprès de plusieurs États fédéraux américains (relire notre article), mais aussi de pays européens, à l'instar de la France (où le cabinet est devenu un temps un point d'actualité générale, relire notre dernier article sur le sujet) ou plus récemment de l'Italie (relire notre article).


Vaccin covid : l'activisme de Bill Gates passe par la case McKinsey


Bill Gates, le milliardaire américain bien connu, ne ménage pas ses efforts philanthropiques en faveur de l'accès au plus grand nombre au vaccin contre la covid-19. 


https://www.consultor.fr/articles/vaccin-covid-l-activisme-de-bill-gates-passe-par-la-case-mckinsey


Lorsque le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus a pris la direction de l'Organisation mondiale de la Santé en juillet 2017, son premier discours au siège de Genève a été accueilli par un auditoire plein d'espoir. Le personnel de l'OMS avait vu se succéder plusieurs dirigeants, chacun porteur d'un plan pour redynamiser et transformer l'organisation. Les réformes entreprises par ces dirigeants impliquaient souvent le recours à des cabinets de conseil en management, tels que McKinsey, l'un des cabinets les plus influents et les plus discrets au monde. Mais toutes ces tentatives avaient finalement échoué à résoudre les problèmes les plus épineux – et anciens – de l'OMS , comme sa structure de financement problématique et les déficits de financement chroniques qui en découlent .


Tedros, comme on le surnomme, a laissé entendre que les choses seraient différentes cette fois-ci. Il semblait percevoir la lassitude du personnel face aux réformes et sa méfiance envers les consultants externes, et a rassuré ses collaborateurs : « Tout changement durable à l’OMS viendra du personnel lui-même. Je ne crois pas aux réformes perpétuelles, et je pense que le personnel de l’OMS est déjà saturé de réformes. »


(…).


Comment McKinsey a infiltré le monde de la santé publique mondiale


La Fondation Gates a injecté des milliards de dollars dans le secteur — et une éthique favorable aux entreprises que les consultants ont pu exploiter.


https://www.vox.com/science-and-health/2019/12/13/21004456/bill-gates-mckinsey-global-public-health-bcg


L'argent servira à financer les traitements et la convalescence afin de sauver des vies.


Ottawa (Ontario) —  L’honorable Pierre Poilievre, chef du Parti conservateur du Canada et de l’Opposition officielle, a publié la déclaration suivante annonçant qu’un gouvernement Poilievre poursuivra les grandes entreprises pharmaceutiques et leurs consultants pour leur rôle dans l’épidémie d’opioïdes :


Après huit ans de gouvernement de Justin Trudeau, les Canadiens souffrent. Depuis 2016, 32 000 Canadiens sont décédés des suites d’une surdose d’opioïdes et 33 000 autres ont été hospitalisés. L’approche néo-démocrate-libérale a échoué. Elle a inondé nos rues de drogues, engendrant davantage de dépendances, de décès et de désespoir.


« Alors même que le Canada est en proie à une crise des opioïdes, Trudeau refuse de s'opposer aux compagnies pharmaceutiques avides qui ont cyniquement commercialisé des médicaments créant une forte dépendance comme analgésiques. La crise des opioïdes trouve son origine dans l'invention de l'Oxycontin par Purdue Pharma en 1995. L'Oxycontin a fait l'objet d'une promotion agressive et a été surprescrit, entraînant une augmentation massive de la dépendance aux opioïdes. Les ordonnances d'opioïdes étaient distribuées à tort et à travers, sans aucune considération pour les risques. En tant que cabinet de conseil en gestion, McKinsey a conseillé aux grands groupes pharmaceutiques de rendre leurs clients dépendants, notamment en leur suggérant d'offrir des primes et des rabais aux vendeurs en fonction du nombre de surdoses dans leur région. Tout cela se déroulait alors que Dominic Barton, un ami de Justin Trudeau, était leur associé directeur. »


La Colombie-Britannique a intenté un recours collectif contre les fabricants et distributeurs d'opioïdes en raison des coûts engendrés pour le système de santé canadien. Le gouvernement fédéral n'a pas encore annoncé s'il se joindra à ces poursuites. Un gouvernement Poilievre se joindrait à la procédure en tant que demandeur.


« Mais cela ne suffit pas. L’épidémie d’opioïdes a ravagé nos communautés, détruit des vies et dévasté des familles. Nous devons exiger justice pour les victimes de la dépendance. Aujourd’hui, j’annonce qu’un gouvernement Poilievre ira plus loin dans la recherche de la justice pour notre peuple. »



  • Un gouvernement Poilievre se joindra activement et publiquement à la poursuite intentée par la Colombie-Britannique contre les grandes entreprises pharmaceutiques et leurs consultants pour couvrir les coûts des soins de santé.

  • Un gouvernement Poilievre intentera une poursuite fédérale massive contre les grandes entreprises pharmaceutiques et leurs consultants afin de couvrir les coûts de l'épidémie liés à la sécurité de nos frontières, aux tribunaux, au système de justice pénale, aux programmes autochtones, aux pertes de recettes fiscales fédérales et à l'expansion massive des programmes de traitement.

  • Le montant total réclamé dans le cadre des deux poursuites s'élève à 44 milliards de dollars. Ce montant comprend la part fédérale des coûts estimés des soins de santé (3,9 milliards de dollars), les fonds fédéraux dépensés pour lutter contre la crise des opioïdes (3 milliards de dollars), les coûts du système de justice pénale fédéral (10,2 milliards de dollars) et le manque à gagner fiscal (27 milliards de dollars).

  • Les fonds obtenus grâce à cette importante poursuite serviront à financer des programmes de traitement et de rétablissement pour les personnes aux prises avec une dépendance. Nous veillerons à ce que tous les Canadiens aient accès à ces programmes. 


« Nous transformerons la douleur en espoir et nous rendrons justice aux Canadiens. »


Le gouvernement Poilievre va intenter une action en justice de 44 milliards de dollars pour obliger les grandes entreprises pharmaceutiques à payer pour avoir causé l'épidémie d'opioïdes.


https://www.conservative.ca/a-poilievre-government-will-launch-44-billion-lawsuit-to-make-big-pharma-pay-for-causing-opioid-epidemic/


McKinsey & Company : les autres cabinets-conseils et le phénomène de la << consultocratie >> dans le monde de la néo-aristocratie gouvernante


L'influence des cabinets-conseils


Les gouvernements se tournent vers des firmes de consultants privées pour gérer des crises et autres enjeux alors qu'ils disposent de fonctionnaires qualifiés. Des cas récents au Canada illustrent à quel point ces firmes ne font pas que du conseil.


https://ici.radio-canada.ca/info/dossier/1009365/linfluence-cabinets-conseils


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D’anciens cadres reviennent comme consultants externes


Linda Bambonye, une ex-gestionnaire de Centre hospitalier de St. Mary, a réalisé quatre contrats comme consultante pour son ancien employeur, le CIUSSS de l’Ouest-de-l’Île-de-Montréal. Depuis cinq ans, elle a ainsi empoché 218 000 $. Chaque fois, on lui a remis la charge du plan clinique de son ancien hôpital.


L'an dernier, l'ancien directeur adjoint des ressources humaines du CISSS Montérégie-Est, Guy Bouffard, a été payé par le CIUSSS de l'Ouest-de-l'île-de-Montréal comme « consultant dans la rétention des infirmières ». Un contrat de 30 000 $.


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À peine partie du CIUSSS Centre-Ouest-de-l’île-de-Montréal, à l’automne 2022, l’ex-PDG adjointe Francine Dupuis a conclu un contrat de 252 000 $ avec l’établissement pour un mandat d’une année comme consultante pour la direction générale. Le contrat a toutefois été annulé. Le CIUSSS évoque une erreur découlant d’un bris de communication entre deux services.


Le mois dernier, le CIUSSS a conclu un contrat de 70 000 $ avec une consultante enregistrée sous le nom Services Experts DF inc. Au registre des entreprises, on voit qu’une certaine Francine Dupuis en est la présidente.


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Enquête


La firme McKinsey et une formation en humour pour aider les cadres du CHUM


Les gestionnaires de la santé du Québec sont « accros » aux consultants externes depuis la pandémie.


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2027636/mckinsey-chum-gestionnaires-sante-consultants-prives-quebec


Quand j’ai appris sur le site de Radio-Canada que le CHUM offrait une formation de l’École nationale de l’humour (ENH) à des cadres de l’établissement, je me suis dit que c’était un poisson d’avril en novembre. Voyons donc! Comme si le système de santé avait les moyens de se payer une rigolade en pleine crise. Comme si des gestionnaires en santé avaient besoin d’apprendre à rire! Mais là où j’ai vraiment déchanté, c’est quand j’ai vu le titre de la formation: «AT-CHUM: Parce que l’humour, c’est contagieux». Atchum? La pognez-vous? Misère, le CHUM a payé 60 000$ de votre argent pour ÇA? De l’humour de niveau cégep? Mais qui se moque de nous ici?


(…).


On rit de vous au CHUM!


https://www.journaldemontreal.com/2023/11/21/on-rit-de-vous-au-chum


Au Québec, s’avérerait-t-il un autre système de corruption de fonctionnaires concernant les octrois des gouvernements Legault au sujet de l’informatisation des ministères concernées ? :


Le gouvernement Legault a été pressé de questions à l’Assemblée nationale, mercredi, au sujet des nombreuses erreurs qui ont plombé le projet informatique de Système d’information des finances et de l’approvisionnement (SIFA) en santé, après que Radio-Canada a révélé le contenu d’un rapport d’audit du ministère de la Cybersécurité et du Numérique écorchant le ministère de la Santé.


<< Sommes-nous en train de revivre le fiasco SAAQclic? >> a demandé la leader parlementaire libérale Michelle Setlakwe en ouverture de la période de questions au gouvernement.


L'opposition officielle demandait depuis des semaines que le gouvernement rende public ce rapport d’audit, mais il refusait.


Le document confidentiel relève une série d’erreurs et d’irrégularités ainsi que des << lacunes importantes >> qui ont << considérablement augmenté les risques >> pour le gouvernement avec ce projet informatique, en plus de faire exploser son coût de développement de près de 200 %.


<< Le ministère de la Santé a contrevenu à ses obligations et a abandonné ses responsabilités. >> -- Michelle Setlakwe, leader parlementaire libérale, citant le rapport d'audit


<< On est d’accord qu’il y a un problème avec ce contrat >>, a admis François Legault.


Le premier ministre demande aux partis d'opposition d'attendre les conclusions de l'enquête de l’Autorité des marchés publics (AMP).


<< Dans le ministère de la Santé, il y a des milliers d'employés. Est-ce qu'un, deux, trois employés ont fait des choses qui ne sont pas acceptables? C'est ce que l'AMP est en train de regarder. >>


-- François Legault, premier ministre du Québec


(…).


SIFA : « On est d’accord qu’il y a un problème avec ce contrat », dit Legault


Le projet informatique a fait l'objet d'un audit jugé « dévastateur » pour le ministère de la Santé du Québec.


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2207251/sifa-probleme-contrat-legault-audit-sante


Différents États clients 


Les États et gouvernements sont très friands de ce genre de structures. Elles leur permettent de mettre au point leur stratégie de développement. Des dizaines de structures de ce type conseillent les différents gouvernements, McKinsey, PWC, KPMG, Boston Consulting Group par exemple, qui sont des groupes internationaux, mais il y a aussi des cabinets locaux qui opèrent sur le continent africain. D'ailleurs, au niveau mondial, le secteur connait une croissance annuelle d'au moins 10 %. 


(…).


Les limites des cabinets de conseil, illustration en Afrique du Sud


McKinsey va payer une amende de plus de 122 millions de dollars pour mettre fin à une enquête sur un système de corruption de fonctionnaires en Afrique du Sud. L’occasion de nous pencher sur la présence de ce type de structures sur le continent. Décryptage.


https://www.rfi.fr/fr/podcasts/aujourd-hui-l-%C3%A9conomie/20241212-les-limites-cabinets-de-conseil-illustration-afrique-du-sud-mckinsey


McKinsey & Company en Chine et l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC)


McKinsey, la Chine et l'OMC sont liés par des enjeux de conseil, d'adhésion et de tensions commerciales. McKinsey a conseillé la Chine, notamment via des contrats avec des collectivités locales et des entreprises d'État pour l'élaboration de plans stratégiques, un travail qui a suscité des interrogations en raison des relations tendues entre la Chine et les États-Unis, tandis que l'adhésion de la Chine à l'OMC en 2001 a transformé le commerce mondial et a mené à des différends commerciaux actuels impliquant la Chine et d'autres membres de l'OMC, rapporte CEPIIWorld Trade OrganizationSelect Committee on the CCPAsialyst, Les Echos, et Bloomberg Law News. (information fourni par l’IA)


McKinsey & Company sur les politiques d’immigrations en Occident


McKinsey est impliqué dans des politiques migratoires en Occident, à la fois par le biais de recherches et de conseils aux gouvernements, ce qui a suscité des débats sur son influence. La firme publie des analyses sur l'impact économique de la migration, tout en conseillant des gouvernements sur des aspects comme les seuils d'immigration et l'intégration des immigrés. Des controverses ont émergé concernant des contrats coûteux passés avec des gouvernements, comme celui du Canada, où il a été allégué que McKinsey avait un rôle influent dans la fixation des objectifs d'immigration. (information fournie par l’IA)


Sur les réseaux sociaux, le hashtag McKinseygate n’en finit plus de grimper. « Le gouvernement a sûrement fait appel à McKinsey pour étouffer le scandale McKinsey ! » lance, à la cantonade, un twittos anonyme. Des photos de campagne détournées montrent un candidat Président dont on a pour partie changé le nom : Emmanuel Mackinsey. La syllabe commune tombe mal. Pour certains, par comparaison, le Penelopegate ressemblerait à une bluette provinciale : pensez, près d’un milliard d’euros, selon l’évaluation du Sénat, versé à une batterie de cabinets de conseil, le nom McKinsey donné à cette affaire étant une synecdoque.


« Ce n’est pas moi qui signe les contrats. Je vous invite à regarder le code des marchés publics. Le président de la République n’autorise aucune dépense », a déclaré Emmanuel Macron, légèrement Ponce Pilate, lors d’un déplacement à Dijon, lundi dernier. On doit donc comprendre que tout s’est fait dans son dos. Qu’il ignorait tout, qu’il ne savait rien. Tel Don Salluste dans La Folie des grandeurs : « Ce n’est pas moi, j’étais là, je priais. »


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Ce que cache l’affaire McKinsey ? Le Grand Remplacement de la fonction publique


L’idée, dit-on, est de rendre la fonction publique plus « opérationnelle ». Elle ne le serait donc pas aujourd’hui, ce qui expliquerait l’appel incessant à de la ressource externe ?


https://www.bvoltaire.fr/ce-que-cache-laffaire-mckinsey-le-grand-remplacement-de-la-fonction-publique/


Le recours du gouvernement à ce cabinet américain, surnommé « La Firme », pour l’épauler dans la politique de vaccination contre le Covid-19 avait déjà fait débat en janvier 2021.


Des perquisitions ont été menées mardi 13 décembre dans les locaux du cabinet de conseil et au siège du parti présidentiel Renaissance. La justice s’intéresse aux comptes de campagne d’Emmanuel Macron depuis mars 2022, dans la foulée d’un rapport du Sénat


McKinsey et les comptes de campagne d’Emmanuel Macron : la chronologie de l’affaire


https://www.sudouest.fr/politique/emmanuel-macron/mckinsey-et-les-comptes-de-campagne-d-emmanuel-macron-la-chronologie-de-l-affaire-13377790.php


Afin de comprendre l’ampleur de la Dette publique de 3 800 milliards d’Euros de la France provoquée par la corruption institutionnalisée, collusion, saccage systémique, lobbyisme, privatisation de biens publics… :


LES LIENS TROUBLES ENTRE MACRON ET MCKINSEY


https://www.youtube.com/watch?v=oyTmA_nxRbU


[L'ENQUÊTE DU MONDE SUR MCKINSEY]


https://www.lemonde.fr/m-le-mag/article/2021/02/05/de-la-creation-d-en-marche-a-la-


McKinsey & Company à l’ONU


Le Secrétaire général des Nations Unies, Kofi Annan, a annoncé aujourd'hui la nomination de Rajat Kumar Gupta au poste de Conseiller spécial chargé de la réforme de la gestion de l'Organisation.


« Le Secrétaire général exprime sa gratitude à Rajat Kumar Gupta qui a accepté de l'aider à faire avancer le programme de réforme ambitieux issu du sommet mondial de septembre dernier », indique un message transmis aujourd'hui par son porte-parole.


« Dans ses nouvelles fonctions, Rajat Kumar Gupta aura pour tâches de conseiller personnellement le Secrétaire général sur la stratégie globale à mettre en place et prendra également part au Comité de coordination du suivi du Sommet de la Vice-Secrétaire générale ».


Au sein de ce Comité, il devra s'assurer que le programme général de réforme de la gestion est conforme à la meilleure pratique en matière de gestion au niveau mondial. Il fournira également une assistance ciblée et spécialisée sur les questions clefs en la matière.


Homme au parcours brillant et doté d'une profonde connaissance des questions concernant la réforme de la gestion, M. Gupta est Associé principal et ancien Directeur de gestion de l'entreprise mondiale de Conseil McKinsey & Company, indique le communiqué.


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Un associé de McKinsey nommé Conseiller spécial pour la ...


2 nov. 2005 — Un associé de McKinsey nommé Conseiller spécial pour la réforme de gestion de l'ONU ... Le Secrétaire général des Nations Unies, Kofi Annan, a ...


Un associé de McKinsey nommé Conseiller spécial pour la réforme de gestion de l'ONU


https://news.un.org/fr/story/2005/11/82302


McKinsey & Company aux États-Unis d’Amérique


Aux États-Unis, McKinsey est une nouvelle fois sur la sellette. Les républicains demandent d’exclure la firme des contrats fédéraux, en raison de son rôle – supposé – dans un groupe de réflexion ayant œuvré auprès des autorités chinoises. McKinsey dément catégoriquement. Une affaire qui se déroule à 9 mois de l’élection présidentielle américaine.


Décidément, le Congrès américain laisse peu de répit à McKinsey*. Alors que la sous-commission permanente des enquêtes du Sénat, menée par le démocrate Richard Blumenthal, investigue sur le rôle de plusieurs grands cabinets de conseil américains – dont McKinsey – auprès du Fonds souverain saoudien (PIF), les républicains remettent en cause la loyauté de la firme à leur tour, dans le cadre de ses activités en Chine il y a plusieurs années.


Fusion PGA/LIV : le BCG et McKinsey dans le viseur du Sénat américain


Le BCG et McKinsey font l’objet d’une enquête quant à leurs activités de conseil auprès du Fonds public d’investissement saoudien (PIF) dans l’univers du sport et dans d’autres secteurs d’activités aux États-Unis. Le Sénat les somme de partager des documents clés.


Un rôle actif dans l’élaboration du plan quinquennal 2016-2020 du gouvernement chinois ?


Concrètement, le vice-président de la commission sénatoriale du Renseignement, Marco Rubio, et le président de la commission des Affaires étrangères de la Chambre des représentants, Michael McCaul – tous deux républicains –, s’intéressent au rôle de McKinsey au sein de l’Urban China Initiative.


Selon un rapport publié par le Financial Times, l’Agence centrale de planification du gouvernement chinois avait chargé un groupe de réflexion, l’Urban China Initiative (UCI), piloté par McKinsey, de produire des recherches pour le 13e plan quinquennal de Pékin (2016-2020). Les travaux de l’UCI avaient abouti à la rédaction d’un livre de 310 pages en 2015 : une coopération renforcée entre l’armée et les entreprises chinoises y était préconisée, ainsi que l’éloignement des entreprises étrangères des secteurs considérés comme sensibles. Il comportait par ailleurs des recommandations relatives à 14 technologies pour aider la Chine à réaliser des « augmentations spectaculaires de productivité ».


Par ailleurs, l’avant-propos du livre était signé Lola Woetzel, une associée historique de McKinsey basée à Shanghai, qui a fondé l’Urban China Initiative en 2011 et l’a coprésidée. L’UCI a également été domiciliée à l’adresse de McKinsey à Pékin.


Dans un communiqué de presse daté du 23 février 2024, le géant du conseil américain a précisé que l’UCI était « une initiative à but non lucratif cofondée en 2011 avec l’Université de Columbia et l’Université Tsinghua ». Le cabinet de conseil souligne que « l’Urban China Initiative n’est pas McKinsey et [qu’elle] n’a pas effectué de travail au nom de McKinsey ». Selon le cabinet de conseil, « [McKinsey] n’a été rémunéré pour aucune recherche ou initiative liée à l’UCI ».


L’associé directeur monde de McKinsey, Bob Sternfels, avait précédemment déclaré devant le Congrès qu’à sa connaissance « l’entreprise n’avait jamais travaillé pour le gouvernement central chinois ». Une version mise à mal par le Financial Times le 28 février 2024, lequel a pu accéder à un ancien site de McKinsey Chine (fermé en 2019) où le cabinet indiquait… l’avoir fait. Sachant que McKinsey a seulement reconnu, jusqu’à présent, avoir parmi ses clients « des gouvernements locaux et des entreprises publiques ».


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Chine/USA : McKinsey menacé d’exclusion des contrats publics à 9 mois de l’élection présidentielle américaine


https://www.consultor.fr/articles/chine-usa-mckinsey-menace-d-exclusion-des-contrats-publics-a-9-mois-de-l-election-presidentielle-americaine


Publié le 05 mars 2024 à 11:00 par Magazine En-Contact


En 2015, comme l’indique et le révèle The Financial Times,  McKinsey a collaboré avec le PCC, le parti communiste chinois, via un think tank dénommé Urban China Initiative. “Mc Kinsey website touted its advice to Chinese government ministries”. 


Le cabinet de consultants McKinsey est au centre d’une polémique de plus. L’ouvrage « McKinsey, pour le meilleur et pour le pire », titré dans sa version originale When McKinsey comes to town documente déjà de nombreux scandales et conflits d’intérêts liés aux activités du cabinet : des opioïdes, à General Steel en passant par Disney. Chaque année apporte pourtant son lot de révélations houleuses. Le millésime 2024 commence fort avec une accusation de collaboration entre des consultants de McKinsey et le parti communiste chinois, que certains représentants américains assimilent à de la trahison.


Outre-Atlantique, les Etats-Unis, qui sont pourtant le siège des MBB (McKinsey, BCG, Bain), on grince des dents. Le cabinet McKinsey est épinglé ces derniers jours après une révélation du Financial Times de sa collaboration avec la Chine en 2015. Sous le couvert d’un Think Tank intitulé « Urban China Initiative », les consultants de McKinsey ont rédigé un document intitulé « Scientific and Technological Revolutions » conseillant le gouvernement chinois sur de nombreux points, notamment concernant l’expansion de son industrie de l’armement et des pratiques commerciales contraire aux intérêts américains.


Les contrats entre le cabinet McKinsey et la Food and Drug Administration sont déjà suspendus depuis le scandale des opioïdes dans lequel le cabinet a trempé. Des sénateurs américains, parmi lesquels Marco Rubio et Michael McCaul, tous deux chargés de missions liées au renseignement et aux affaires étrangères, appellent désormais à ce que les consultants McKinsey ne puissent plus collaborer avec une organisation fédérale américaine.


« Il reste à conclure que la vraie mission de McKinsey est de faire de l’argent, même si cet argent provient de communistes génocidaires. Les entreprises comme McKinsey qui aident le PCC dans sa quête pour détruire la dignité individuelle et le leadership mondial américain ne devraient pas recevoir l’argent des contribuables. ». Mike Gallagher, à la tête du comité de la chambre des représentants sur la compétition stratégique entre la Chine et les Etats-Unis.


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Des sénateurs américains républicains demandent aux autorités fédérales de cesser les collaborations avec McKinsey


https://en-contact.com/des-senateurs-americains-republicains-demandent-aux-autorites-federales-de-cesser-les-collaborations-avec-mckinsey


Décidément, le Congrès américain laisse peu de répit à McKinsey*. Alors que la sous-commission permanente des enquêtes du Sénat, menée par le démocrate Richard Blumenthal, investigue sur le rôle de plusieurs grands cabinets de conseil américains – dont McKinsey – auprès du Fonds souverain saoudien (PIF), les républicains remettent en cause la loyauté de la firme à leur tour, dans le cadre de ses activités en Chine il y a plusieurs années.


Chine/USA : McKinsey menacé d’exclusion des contrats publics à 9 mois de l’élection présidentielle américaine


Aux États-Unis, McKinsey est une nouvelle fois sur la sellette. Les républicains demandent d’exclure la firme des contrats fédéraux, en raison de son rôle – supposé – dans un groupe de réflexion ayant œuvré auprès des autorités chinoises. McKinsey dément catégoriquement. Une affaire qui se déroule à 9 mois de l’élection présidentielle américaine.


https://www.consultor.fr/articles/chine-usa-mckinsey-menace-d-exclusion-des-contrats-publics-a-9-mois-de-l-election-presidentielle-americaine


Le président John Moolenaar (R-MI), membre de la commission spéciale de la Chambre des représentants sur le Parti communiste chinois, et les sénateurs américains Marco Rubio (R-FL) et Joni Ernst (R-IA) ont révélé aujourd'hui de nouvelles preuves de la collaboration du cabinet de conseil américain McKinsey & Company avec l'armée et le Parti communiste chinois. Les parlementaires expliquent comment McKinsey a omis de déclarer ses activités de conseil pour le gouvernement chinois et a semblé falsifier les informations relatives à ces activités sous serment, tout en percevant plus de 480 millions de dollars pour des missions de conseil auprès de l'armée américaine depuis 2008. Dans un document de près de 17 pages, les parlementaires détaillent le travail de McKinsey visant à promouvoir le Parti communiste et l'armée chinois, son rôle dans l'élaboration des plans quinquennaux du Parti communiste chinois pour surpasser les États-Unis, et son manquement à l'obligation légale de déclarer ses activités en Chine. 


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McKinsey a fourni des équipements au principal adversaire des États-Unis et a présenté de manière mensongère son travail pour l'armée chinoise sous serment.


https://selectcommitteeontheccp.house.gov/media/investigations/mckinsey-equipped-americas-foremost-adversary-and-misrepresented-work-chinese#:~:text=During%20its%20long%20tenure%20in,Beijing's%20national%20objectives%20to%20enhance


 Bien que McKinsey se promeuve comme un chantre du service public, dans les faits, la firme pipe les dés très lourdement en faveur du pouvoir et de l’argent » : voilà l’un des souvenirs que conserve Garrison Lovely, un diplômé de Cornell, dont le premier job à la sortie des études fut comme consultant chez McKinsey


Un métier qu’il n’a pas conservé longtemps, tant la désillusion fut importante à son entrée dans le cabinet. « Je me souviens d’un de mes managers en charge du staffing qui m’avaient appris que si je voulais me mettre au service d’un client dans le secteur associatif, je devrais accepter une baisse de salaire de 25 % pendant toute la durée de la mission », écrit-il dans un témoignage publié à la Une de l’hebdomadaire américain The Nation.


Étudiant, actif sur le sujet de la réforme du système pénitentiaire, c’est pourtant une mission que le cabinet conduit pour la prison Rikers Island à New York (10 000 détenus en moyenne répartis dans divers centres pénitentiaires), et les engagements de l’entreprise à intervenir en faveur de l’intérêt général, qui lui donnent l’envie de rejoindre le cabinet.


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McKinsey : les confessions d’un lanceur d’alerte


Aux États-Unis, un ancien consultant de la firme devenu journaliste fait le récit au vitriol de son passage par le cabinet et de sa participation à des missions dans le milieu carcéral et au sein de l’agence américaine en charge des migrations.


https://www.consultor.fr/articles/mckinsey-les-confessions-d-un-lanceur-d-alerte


McKinsey & Company : Moyen-Orient, l’Iran du régime théocratico-terroriste-nucléaire


Les relations entre McKinsey et l'Iran sont liées à deux aspects distincts : les activités d'un ancien consultant de McKinsey, Mahmoud Reza Banki, qui a été reconnu coupable de violation des sanctions américaines contre l'Iran, et la présence du cabinet de conseil en Iran, malgré les tensions géopolitiques. De plus, il existe des analyses de presse concernant des enjeux comme la possibilité qu'un dirigeant franco-iranien soit à la tête de McKinsey monde, ainsi que des analyses militaires et stratégiques provenant de l'ancien commandant du CENTCOM, Général Kenneth McKenzie, qui a abordé la question des relations entre l'Iran et les États-Unis (information fournie par l’IA)


Kevin Sneader, 54 ans, CEO depuis 2018 (ici), en lice pour un deuxième mandat, est pourtant sur la sellette. Il fait, en effet, face à une succession de crises qui mettent à mal la réputation du cabinet de conseil et qui lui coûtent cher (près de 778 M$ sur trois ans d’après nos calculs).


Cette semaine, selon le Financial Times, ce sont donc encore dix candidats qui sont en lice pour lui succéder, dont le finaliste de 2018, Bob Sternfels, senior partner basé à San Francisco, mais aussi le patron du bureau de Paris, Homayoun Hatami, en poste depuis 2017 (relire ici ), ex-administrateur du MIT, qui a également été basé à Boston. Le boss du bureau de Paris de McKinsey, un expert de la transfo digitale, du marketing et de l’innovation appliqués aux stratégies de croissance, a fait exploser son partnership depuis deux ans : 44 partners en janvier 2019, 68 en janvier 2021 (relire notre article ici). 


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Un Franco-Iranien à la tête de McKinsey monde ?


Les 650 seniors partners de McKinsey & Company à travers le monde sont en train de voter pour élire le n° 1 du cabinet pour les trois ans à venir.


https://www.consultor.fr/articles/un-franco-iranien-a-la-tete-de-mckinsey-monde#:~:text=Le%20boss%20du%20bureau%20de,Cr%C3%A9dit%20photo%20:%20LinkedIn.


L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a appelé l'Iran à l'autoriser à vérifier ses inventaires de matières nucléaires « dès que possible », et en particulier ses réserves d'uranium hautement enrichi.


Dans un rapport confidentiel consulté par l'AFP mercredi, l'AIEA souligne avoir perdu la continuité de ses connaissances sur les inventaires précédemment déclarés depuis la guerre de 12 jours déclenchée le 13 juin par une attaque d'Israël contre l'Iran. Elle juge crucial de pouvoir vérifier ces inventaires dès que possible afin de dissiper ses préoccupations.


Le gendarme onusien du nucléaire rappelle qu'à la date correspondant au début de la guerre, le total des réserves iraniennes d'uranium enrichi à 60 %, — seuil proche des 90 % nécessaires pour fabriquer une arme nucléaire —, s'élevait à 440,9 kg, soit une hausse de 32,3 kg par rapport au 17 mai.


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L’AIEA appelle l’Iran à l’autoriser à vérifier ses inventaires de matières nucléaires


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2207322/aiea-iran-verification-matieres-nucleaires


McKinsey est une société de conseil et l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) est une organisation intergouvernementale. Les deux entités ont des liens dans le secteur du nucléaire, McKinsey apportant des expertises en stratégie et en gestion, tandis que l'AIEA est une autorité de réglementation mondiale. L'un des points de connexion est le développement de l'intelligence artificielle (IA) pour optimiser le recrutement dans le secteur nucléaire, avec McKinsey menant des études sur le sujet. (information fournie par l’IA)


McKinsey & Company et KPMG au Vatican de l’<< antipape >> François


Le pape François veut accélérer la réforme des institutions administratives et financières du Vatican, engagée par son prédécesseur Benoît XVI, notamment pour les adapter aux normes internationales anticorruption et antiblanchiment. Et surtout, s’assurer que ses activités sont « en harmonie » avec la mission de l’Eglise catholique. Pour l’aider dans cette quête, le Vatican a retenu à nouveau jeudi deux grands cabinets internationaux. Le premier, le cabinet d’audit KPMG, l’assistera pour adapter ses procédures comptables et financières; le second, McKinsey, l’aidera à moderniser sa communication et ses relations médias.


KPMG a remporté l’appel d’offres attribué par une commission internationale de sept experts laïcs, formé en juillet par le nouveau pape pour l’aider réparer de fâcheuses erreurs apparues sous Benoît XVI. Ses équipes sont chargées « d’élaborer les réformes des institutions du Saint-siège pour simplifier la façon dont ils travaillent, améliorer la gestion des finances et améliorer la transparence dans l’achat de bien et de services (...) et de mettre les procédures comptables de tous les organismes du Saint-Siège aux normes internationales », a annoncé jeudi un communiqué officiel.


De son côté, un second cabinet de conseil, celui de l’américain McKinsey (voir encadré) aura la charge d’élaborer « en stricte collaboration avec les organismes intéressés, un plan intégré pour rendre l’organisation des moyens de communication fonctionnelle, moderne et efficace », précise le communiqué.


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Le Vatican demande conseil à KPMG et à McKinsey


Le Vatican a sélectionné jeudi deux grands cabinets internationaux. Le premier, KPMG pour moderniser ses procédures comptables et financières. Le second, le cabinet de conseil américain McKinsey l’aidera à moderniser sa communication et ses relations médias.


https://www.lesechos.fr/2013/12/le-vatican-demande-conseil-a-kpmg-et-a-mckinsey-348519


François, l’« antipape » propulseur de << la théologie de la libération >> dans les années 1960-1970 menant au chaos socioéconomique, à des narco-États et terrorisme des bandes de rues en l’Amérique Latine :


«Aujourd’hui, nous les vieux, rions en pensant à quel point nous étions inquiets au sujet de la théologie de la libération», a déclaré le pape François devant une trentaine de ses confrères jésuites. Le compte-rendu de la séance de questions-réponses entre le pontife et les membres de la Compagnie de Jésus a été publié quelques semaines plus tard dans la Civilta Cattolica, en italien, espagnol, anglais et français.


Pionniers de la lutte sociale chrétienne


Parmi d’autres questions des novices réunis dans le cadre des Journées mondiales de la jeunesse (JMJ), l’attention a été portée sur ce que pouvait apporter à l’Eglise universelle le témoignage qui a caractérisé la Compagnie de Jésus en Amérique centrale. «En Amérique, vous avez été des pionniers dans les années de luttes sociales chrétiennes», a souligné le pape. S’il a reconnu que certains théologiens de la libération avaient, à l’époque, commis des erreurs, il a regretté la condamnation générale du mouvement.


Méfiance envers le marxisme


La théologie de la libération a émergé en Amérique latine dans les années 1960 et 1970. Ses adeptes puisaient dans l’Evangile les principes et l’inspiration pour libérer les peuples des conditions de vie injustes dans lesquelles ils se trouvaient. Durant les années 1980, la Congrégation pour la doctrine de la foi (CDF), alors dirigée par le cardinal Joseph Ratzinger, futur pape Benoît XVI, a publié deux documents majeurs sur la théologie de la libération. Tout en saluant la préoccupation du mouvement pour les pauvres et la justice, ils condamnaient une tendance prétendument exagérée à se référer au marxisme dans son analyse de la société. Parmi les théologiens de la libération les plus célèbres, on compte Mgr Hélder Camara, Mgr Oscar Romero, Leonardo Boff, ou encore Gustavo Gutierrez.


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Le pape confirme un changement de regard sur la théologie de la libération


La théologie de la libération, autrefois «diabolisée» par certains dans l’Eglise, bénéficie aujourd’hui d’un autre regard. Un constat confirmé par le pape François lors des JMJ de Panama, fin janvier 2019, lors d’une conversation avec des jésuites, publiée le 14 février par la revue «Civilta Cattolica».


https://www.cath.ch/newsf/le-pape-confirme-un-changement-de-regard-sur-la-theologie-de-la-liberation/


Pourquoi autre des pays de l’Amérique Latine sera libéré de la mafia socialo-communisme l’ayant ruiné et rendu dans l’anarchie par la mouvance marxiste de la << théologie de la libération >> :


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<< L'insécurité est totale. Ce qu'on a vu dernièrement, on ne l'avait jamais vu auparavant. On a besoin de quelqu'un qui impose de la fermeté, confie à l'AFP Jacqueline Ruz, une habitante de Santiago de 56 ans.


Cette violence inédite a éclipsé les aspirations de changement qui avaient porté au pouvoir en 2022 le président de gauche Gabriel Boric et sa promesse, finalement avortée, d'une nouvelle Constitution pour remplacer celle héritée de Pinochet.


L'inquiétude de la population découle notamment de l'arrivée de formes de criminalité organisée jusque-là inconnues dans le pays, comme les assassinats commandités, note Gonzalo Müller, directeur du Centre d'études politiques du Chili.


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Le Chili aux urnes sur fond d’insécurité et de poussée de l’extrême droite


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2207898/elections-chili-extreme-droite


Le monde secret du Vatican | Documentaire Français


https://www.youtube.com/watch?v=PgAiHXckNpg


McKinsey & Company, l’arnaque du réchauffement climatique, COP2016-2030 et le Président Trump contre les spoliateurs de fonds publics


McKinsey & Company a participé activement à des initiatives liées à l'Accord de Paris, comme des rapports pour des villes et des gouvernements, des délibérations lors des COP, et des conseils aux entreprises. Cependant, l'entreprise a été critiquée pour son rôle, certains la soupçonnant d'un « double jeu ». Des rapports de l'entreprise ont été jugés par certains comme favorisant l'industrie des combustibles fossiles, tandis que d'autres soutiennent que McKinsey aide ses clients à naviguer dans la transition énergétique.(information fournie par l’IA)


McKinsey, plus grand cabinet de conseil au monde, se sert de son influence dans les préparatifs de la COP28 pour défendre les intérêts de ses clients pétrogaziers, sapant les efforts pour sortir des énergies fossiles, selon plusieurs sources et documents consultés par l'AFP.


En coulisses, l'américain McKinsey & Company a fourni aux organisateurs émiratis de la 28e conférence sur le climat des Nations unies des scénarios sur l'avenir du secteur énergétique mondial qui sont en contradiction avec les objectifs climatiques que le cabinet affiche publiquement, révèle l'enquête de l'AFP.


Un récit de la transition énergétique, rédigé par le cabinet et consulté par l'AFP, prévoit une réduction de la consommation de pétrole de seulement 50 % d'ici 2050, et évoque des milliers de milliards de dollars d'investissements annuels dans le pétrole et le gaz d'ici là.


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Des lanceurs d’alerte accusent McKinsey de jouer double jeu en matière de climat


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2025370/mckinsey-climat-petrole-energie-pollution


Chaque année, McKinsey réunit des dirigeants du monde des affaires, des gouvernements et de la société civile en marge de la Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques (COP) afin d'accélérer l'action climatique et de transformer les ambitions en actions concrètes.


Lors de la COP30 à Belém, au Brésil, qui se tiendra du 10 au 21 novembre 2025, nous organiserons une série d'événements réunissant des dirigeants de haut niveau issus de différents secteurs. Nos discussions porteront sur l'accélération de la transition énergétique, le déploiement à grande échelle des technologies climatiques, la protection du capital naturel et l'investissement dans des solutions d'adaptation au changement climatique et de résilience.


Nous savons que le développement durable est un processus complexe. Nos rencontres lors des COP s'inscrivent dans l'engagement de longue date de McKinsey  à aider les entreprises à déployer rapidement leurs solutions performantes, à stimuler leur croissance tout en réduisant leurs émissions de carbone et à faire du développement durable un avantage concurrentiel et un facteur de résilience. En amont de la COP30, nous partagerons de nouvelles perspectives sur les thèmes prioritaires, collaborerons avec nos clients pour mettre en œuvre des solutions et réunirons un écosystème mondial d'institutions afin d'aider les dirigeants à agir dès aujourd'hui pour bâtir le monde durable de demain.


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McKinsey à la COP30


Faites aujourd'hui ce qui façonnera demain


https://www.mckinsey.com/capabilities/sustainability/how-we-help-clients/cop/overview


L’imposture à son comble du pouvoir corrompu de la néo-aristocratie mondialiste, ses complices prédateurs de fonds publics et de sondeurs manipulateurs :


Mark Carney a confirmé un soutien à un nouveau projet d'oléoduc et a lié ce projet à une vision de «pétrole vert» par la décarbonation, bien que les grandes banques se retirent d'initiatives climatiques, ce qui soulève des inquiétudes sur l'alignement entre les objectifs de carboneutralité et le financement des énergies fossiles. L'approche de Carney suggère de combiner l'exploitation des sables bitumineux avec des technologies de capture et de stockage du carbone.


Un oléoduc au Québec?


Les dirigeants de l’Ontario, du Nouveau-Brunswick et de l’Alberta font pression sur François Legault afin que le Québec accepte de faire passer un oléoduc sur son territoire. 


Le premier ministre québécois avait définitivement fermé la porte à cette idée en 2018, qualifiant le pétrole albertain d’«énergie sale».


Jusqu’à récemment, M. Legault affirmait également qu’il n’y avait pas d’acceptabilité sociale pour ce type de projet dans la province.


Mark Carney et François Legault Mark Carney et François Legault


Mark Carney et François Legault


Mais voilà qu’un sondage SOM effectué en février révèle que 51% des Québécois sont désormais favorables à la relance de tels projets en raison de la guerre tarifaire déclenchée par Donald Trump.


M. Legaul, lui aussi, a changé son fusil d’épaule. 


Il se dit maintenant ouvert à la construction d’un oléoduc en territoire québécois, à condition que les retombées économiques soient «intéressantes» pour la province. 


Cette semaine, il a même évoqué la construction d'un pipeline qui passerait au nord du Québec et déboucherait au port de Sept-Îles.


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Le Canada rêve d’oléoducs: les projets envisagés par Carney, Legault et les autres politiciens


https://www.24heures.ca/2025/06/04/le-canada-reve-doleoducs-les-projets-evoques-par-carney-legault-et-les-autres-politiciens#:~:text=Du%20p%C3%A9trole%20vert%2C%20c'est,On%20a%20besoin%20de%20vous!


Un groupe bancaire mondial lancé par Mark Carney en 2021 pour lutter contre le changement climatique a voté pour sa propre dissolution.


Un porte-parole de l'Alliance bancaire Net Zéro, soutenue par l'ONU, a déclaré que ses membres avaient voté pour mettre fin à la structure par adhésion et utiliser plutôt les directives climatiques élaborées par le groupe comme référence.


À la suite de ce vote, l'Alliance cesse immédiatement ses activités.


L'actuel premier ministre du Canada a lancé le groupe en tant qu'envoyé spécial des Nations unies pour le financement de l'action climatique, en amont de la conférence des Nations unies sur le climat à Glasgow, en Écosse, en 2021.


L'Alliance bancaire était un pilier de l'Alliance financière de Glasgow pour la carboneutralité, qui visait à associer le secteur financier aux efforts climatiques.


À ce moment, M. Carney avait déclaré qu'elle servirait de forum stratégique pour assurer une transition plus large, plus profonde et plus rapide vers une économie carboneutre.


À son apogée, l'Alliance bancaire comptait plus de 140 banques mondiales, dont les six grandes banques canadiennes, toutes engagées à fixer des objectifs de décarbonation à court et à long terme afin d'accélérer la réduction des émissions.


La pression politique soutenue de républicains américains a conduit de grandes banques américaines à quitter l'Alliance après l'élection de Donald Trump en novembre dernier.


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L’alliance bancaire mondiale sur le climat lancée par Carney cesse ses activités


De grandes banques américaines larguent une initiative climatique portée par Mark Carney


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2196894/alliance-bancaire-mondiale-climat-mark-carney#:~:text=%C3%80%20ce%20moment%2C%20M.,a%20d%C3%A9clar%C3%A9%20le%20porte%2Dparole.


Climat Donald Trump


 


Lors de l'assemblée générale des Nations unies, Donald Trump a répété que le changement climatique était « la plus grande arnaque jamais menée contre le monde ».


Lors de l'assemblée générale des Nations unies, Donald Trump a répété que le changement climatique était « la plus grande arnaque jamais menée contre le monde ».


Ce devait être un tremplin pour se projeter de plain-pied dans la COP30 qui doit se tenir en novembre au Brésil. Mais l'assemblée générale de l'ONU et le sommet sur le climat, qui lui est conjoint à New York cette semaine, n'auront été qu'une modeste étape, voire un retour en arrière pour certains Etats.


Fidèle à ses vindictes habituelles contre le réchauffement climatique, Donald Trump n'aura pas déçu ses soutiens mardi avec son discours. Il a répété que le changement climatique était « la plus grande arnaque jamais menée contre le monde » et que le concept d'empreinte carbone n'était autre qu'« une supercherie inventée par des gens aux intentions malveillantes ». Les Etats-Unis n'ont d'ailleurs pas pris part à ce sommet sur le climat.


Fragiles avancées


Les diplomates onusiens le savaient déjà, mais cette prise de parole, véritable gifle envoyée aux Nations unies, leur a confirmé qu'il n'y avait rien à attendre des Etats-Unis sur le plan climatique, et même que leur vive hostilité allait vraisemblablement percuter de plein fouet les fragiles avancées obtenues depuis la signature de l'accord de Paris il y a dix ans.


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Après la gifle infligée par Trump à l'ONU, la diplomatie climatique est-elle condamnée au surplace ?


Un mini-sommet sur le climat s'est tenu ce mercredi à New York dans le cadre de l'assemblée générale des Nations unies. Une démonstration de la faible implication des grandes puissances sur le sujet.


https://www.lesechos.fr/monde/enjeux-internationaux/apres-la-gifle-infligee-par-trump-a-lonu-la-diplomatie-climatique-est-elle-condamnee-au-surplace-2188363


Donald Trump a affirmé mercredi avoir gagné «la guerre contre le canular du changement climatique», après des propos du milliardaire et philanthrope américain Bill Gates dénonçant la «vision catastrophiste» des experts sur le réchauffement de la planète.


Trump dit avoir gagné contre le «canular du changement climatique» après des propos de Bill Gates


«J’AI (NOUS AVONS!) juste gagné la guerre contre le canular du changement climatique. Bill Gates a finalement reconnu qu’il avait complètement TORT sur la question», a déclaré le président américain sur son réseau Truth Social, usant de majuscules comme à son habitude.


Saluant le «courage» de Bill Gates, Donald Trump, connu pour ses positions climatosceptiques et sa défense du secteur des énergies fossiles, a conclu son message par son fameux slogan «MAGA», ou «Make America Great Again» (Rendre sa grandeur à l’Amérique, en français).


Dans un long texte publié sur son site internet lundi soir, Bill Gates avait notamment écrit que le réchauffement de la planète n’allait «pas conduire à la disparition de l’humanité».


À quelques jours de l’ouverture de la 30e conférence des Nations unies sur le climat, le cofondateur de Microsoft a aussi appelé à ce que cette COP30 au Brésil recentre le débat sur «l’amélioration des conditions de vie» plutôt que sur les températures ou les émissions de gaz à effet de serre.


Si le changement climatique aura «de graves conséquences», a ajouté le philanthrope dont la fortune s’élève selon Forbes à plus de 100 milliards de dollars, «les populations pourront vivre et prospérer sur la plus grande partie de la planète dans un avenir proche».


Trump dit avoir gagné contre le «canular du changement climatique» après des propos de Bill Gates


https://www.journaldemontreal.com/2025/10/29/trump-dit-avoir-gagne-contre-le-canular-du-changement-climatique-apres-des-propos-de-bill-gates


McKinsey & Company : un parcours de collusions, escroqueries, criminalités, parjures, évasion fiscale, mensonges, corruptions, manipulations…


McKinsey : l’enquête qui met à nu un siècle de contradictions


Depuis quatre ans, Walt Bogdanich et Michael Forsythe, deux journalistes du New York Times, multiplient les enquêtes sur McKinsey. Ils publient le 4 octobre When McKinsey Comes To Town, un livre extrêmement fouillé – aux tons de réquisitoires diront certains – sur tous les égarements et contradictions de la firme.


Flashmob organisé par le mouvement Liberare Roma sur la Piazza del Popolo à Rome, en face de l'entrée de McKinsey. © Matteo Nardone/Pacific Press/Shutterstock


Maj : dans un communiqué de presse, McKinsey estime que le livre « déforme fondamentalement notre firme et notre travail ». 


Dans quatre ans, en 2026, McKinsey, la rock star du conseil en stratégie mondial, aux 30000 collaborateurs, 2500 partners et quelque 10 milliards de dollars de chiffre d’affaires, fêtera son siècle d’existence.


Voilà 100 ans que la crème de la crème des Harvard et des HEC de ce monde souffle à l’oreille des CEO et PDG des plus grosses entreprises et, de manière croissante depuis 20 ans, à l’oreille des gouvernements aux quatre coins du globe.


Comment croître ? Comment décroître ? Comment digitaliser ? Comment embaucher ? Comment licencier ? Comment ne pas mettre la clé sous la porte ? Comment concevoir des politiques publiques énergétiques, de santé, de défense ? McKinsey, McKinsey, McKinsey !


Le tout sans que ces innombrables missions – leur sujet, leur résultat, leur coût, leur impact – ne soient jamais rendues publiques. Bien sûr, il y eut quelques exceptions notables, comme quand l’ancien patron mondial de la firme a été condamné pour délit d’initié, ou quand, en 2001, la responsabilité de McKinsey dans l’effondrement du géant américain de l’énergie Enron, et avec lui celui d’Arthur Andersen, l’un des cinq plus gros auditeurs au monde, fut mis en avant, ou à l’occasion de ratages restés célèbres : comme quand McKinsey affirmait à AT&T en 2000 que le marché du téléphone mobile ne dépasserait pas le million d’abonnés…


Au-delà, McKinsey a toujours été partout et nulle part à la fois – « en même temps » dirait Emmanuel Macron, dont la proximité avec McKinsey a été tout particulièrement scrutée ces deux dernières années en France (relire nos articles ici et ).


Une confidentialité qui, depuis peu, a éclaté en mille morceaux. Dans ce travail de révélation, les deux journalistes du New York Times, Walt Bogdanich et Michael Forsythe, ont joué un rôle prépondérant.


Quatre ans d’enquêtes


La charge débute en 2018. Ils écrivent alors sur le rôle de McKinsey dans la « capture de l’État » sud-africain, ainsi qu’ont été nommées les affaires de corruption qui ont gangrené les années au pouvoir de Jacob Zuma (2009-2018). Le cabinet a dû depuis rembourser 100 millions de dollars d’honoraires, et vient d’être mis en examen par la justice sud-africaine.


S’ensuivra une dizaine d’autres enquêtes tout aussi gênantes, voire beaucoup plus : sur les missions du cabinet au service des politiques de lutte contre l’immigration aux États-Unis ; sur les liens du cabinet avec les régimes autoritaires de l’ex-président ukrainien Viktor Ianoukovytch ou du président de la République populaire de Chine, Xi Jinping ; sur les consultants de McKinsey réunis en voyage d’entreprise à l’extrême ouest de la Chine, à quelques encablures d’un des camps d’endoctrinement des indépendantistes ouïghoures (relire notre article) ; sur la manière avec laquelle McKinsey aurait permis l’identification d’opposants saoudiens sur Twitter; sur les conflits d’intérêts entre les missions du cabinet et son fonds d’investissement interne; et, cerise sur le gâteau, la responsabilité du cabinet quant aux missions de conseil réalisées durant quinze ans sur les médicaments antidouleurs (opioïdes) qui ont causé 500 000 morts par overdose en 20 ans aux États-Unis.


Walt Bogdanich et Michael Forsythe vont à présent plus loin dans les révélations dans When McKinsey Comes To Town, une enquête incisive de 400 pages parue mardi 4 octobre aux États-Unis. Une centaine d’anciens et actuels consultants de la firme, ainsi que des documents internes listant les clients de la firme et les honoraires versés à McKinsey, alimentent le livre des deux journalistes.


Le halo McKinsey


Certains des faits rapportés sont plutôt connus. Les auteurs rappellent le périmètre extrêmement large des missions de McKinsey, le niveau auquel le cabinet intervient et son influence silencieuse sur la vie de tout un chacun.


Dixit un ancien de la firme, cité anonymement : « Pour ceux qui sont convaincus qu’une cabale secrète contrôle le monde, que les usual suspects sont les Illuminati ou les reptiliens, ils se trompent. Il n’y a ni société secrète façonnant chaque décision majeure ou déterminant le cours de l’histoire humaine. Cela dit, il y a McKinsey & Co. »


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McKinsey : l’enquête qui met à nu un siècle de contradictions


Depuis quatre ans, Walt Bogdanich et Michael Forsythe, deux journalistes du New York Times, multiplient les enquêtes sur McKinsey. Ils publient le 4 octobre When McKinsey Comes To Town, un livre extrêmement fouillé – aux tons de réquisitoires diront certains – sur tous les égarements et contradictions de la firme.


https://www.consultor.fr/articles/mckinsey-l-enquete-qui-met-a-nu-un-siecle-de-contradictions


McKinsey


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https://www.mckinsey.com/ca/fr/our-societal-impact/supporting-canadian-institutions-on-their-most-significant-challenges/creating-a-reliable-future-for-canadian-retirees


Comment le Québec se fait avoir, une fois de plus, : McKinsey & Company et Michael Sabia, ex-président de la CDPQ, ex-president d’Hydro-Québec et actuel greffier du Conseil privé du Canada. C'est le poste de plus haut rang de la fonction publique fédérale. Le premier ministre Mark Carney l'a recruté pour ce poste le 7 juillet 2025, peu après avoir quitté ses fonctions de PDG d'Hydro-Québec.


Michael Sabia, le PDG d’Hydro-Québec, s'en va travailler pour Mark Carney | Zone info


https://www.youtube.com/watch?v=Fjr6_B4B1oc#:~:text=Le%20pr%C3%A9sident%20et%20chef%20de%20la%20direction,garde%20rapproch%C3%A9e.%20Son%20entr%C3%A9e%20en%20fonction%20est


Le président de la Caisse de dépôt et de placement du Québec, M. Michael Sabia, admet avoir lui-même réclamé l'embauche, sans appel d'offres, de la firme de consultants Mackinsey, mais refuse toujours de confirmer que 10 millions lui ont été versés pour huit mois de travail.


Rémunération, bonis, restructuration, gestion des risques, contrats à l'externe et autres, tout y est passé, hier, à la commission des finances publiques, qui étudie les crédits budgétaires de la Caisse de dépôt et de placement du Québec.


Tout au long de son témoignage, le président de l'organisme, Michael Sabia, a répété que la caisse est en pleine transformation après la crise de 2008, où elle a enregistré des pertes de 40 milliards de dollars.


Mais il s'est avoué confus lorsque le critique adéquiste en matière de finances, François Bonnardel, a mis en doute la pertinence d'avoir eu recours à la firme externe Mackinsey pendant neuf mois pour l'aider à reconfigurer la gestion des risques alors que la Caisse se vantait d'avoir embauché les meilleurs gestionnaires du monde.


« Est-ce qu'il aurait été mieux de s'asseoir sur nos mains à l'église le dimanche et de prier le bon Dieu pour nous protéger? Si je dois mettre, 10, 15 ou 25 millions pour protéger l'avoir des Québécois, je vais le faire », a rétorqué M. Sabia.


Sans appel d'offres


Le président de la caisse a ensuite avoué que ce contrat, évalué à 10 millions, a été donné à McKinsey sans appel d'offres.


Le président du conseil de la caisse, M. Robert Tessier, a souligné que la firme externe a été retenue à la demande de Michael Sabia et qu'il s'agissait d'une procédure d'exception vu l'urgence d'agir après la tempête parfaite de 2008.


Tous deux ont refusé de préciser l'ampleur du contrat, se terrant derrière des arguments de confidentialité.


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Sabia admet avoir embauché McKinsey sans appel d'offres


https://www.journaldequebec.com/2010/05/04/sabia-admet-avoir-embauche-mckinsey-sans-appel-doffres


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Jean-Louis Pérez-Martel


 



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