Céder au cynisme de la presse, des recteurs et du gouvernement?
Le débat sur la hausse des droits de scolarité et la gestion des universités ne peut pas être clos puisqu’il n’a jamais eu lieu!
Je ne connais aucun parent sensé qui utiliserait les matraques, le poivre de Cayenne, les gaz lacrymogènes, les armures et les boucliers pour faire entendre raison à leurs progénitures. Si c’était le cas, il y a longtemps qu’on les aurait enfermés en prison. Quelles seront les conséquences de ces horribles stigmates infligés à toute une génération d’étudiants idéalistes ? Comment vivront-ils la profonde injustice qu’on leur impose gratuitement sans motifs qu’on pourrait qualifier de raisonnables ?