Il n'y a malheureusement pas d'enseignants maghrébins musulmans qu'à l'école Bedford pour faire le mal. Des essaims pernicieux se sont propagés. On a déjà identifié 4 autres écoles. C'est pourquoi une enquête doit être menée sur l'ensemble des enseignants maghrébins musulmans du Québec. On doit s'attendre à bien d'autres mauvaises surprises qui nous feront horreur.
On a affaire à une mentalité collective bien imprégnée en eux qui ne se change pas comme on veut. On sait que cela fait partie du processus habituel d'infiltration insidieuse de l'islam conquérant. On t'accorde un pouce, tu avances d'un pied, dès qu'on a le dos tourné.
À lire: Bedford : toxicité maghrébine implantée dans plusieurs écoles de Montréal
Il y a fort à craindre qu'on identifie un grand nombre d'autres de ces enseignants maghrébins musulmans étrangers qui fonctionnent sur les mêmes principes toxiques qui leur sont typiques: autoritarisme punitif, discipline cruelle avec sévices corporels, tentatives d'inculquer des principes tirés de leur religion obscurantiste, humiliation des élèves, intimidation des collègues qui voudraient s'opposer, mauvaise attitude infériorisante envers les filles, volonté de domination, omission volontaire de certains faits du contenu pédagogique qui ne concordent pas avec leur religion, etc. Cela peut sembler faire beaucoup de reproches, mais c'est encore bien en-dessous du portrait global. Imaginez, le rapport du ministère dénonçant la situation en comporte 100 pages. Lisez-le ici.
À lire: Les torts et travers de l'islam en 40 reproches fondés
Cette approche contreproductive de l'enseignement et des rapports humains devient le terreau fertile pour créer des cliques d'enseignants dominants comme à l'école Bedford, mais se retrouvera également au niveau individuel ailleurs dans le réseau, chaque enseignant maghrébin musulman étant susceptible de chercher à fonctionner de la même façon dans son institution. C'est un risque qu'il ne faut plus faire courir à nos jeunes.
Pas étonnant que le premier ministre du Québec François Legault appelle la population à dénoncer toutes les situations d’enseignants islamistes qui tentent d’embrigader la jeunesse à l’école et à l’éloigner du corpus pédagogique en vigueur au ministère de l’éducation. Il doit posséder des renseignements confidentiels qui lui font saisir l’étendue des ravages islamiques commis dans nos écoles. Lisez son message ici.
Photo ci-dessus, en haut à droite sur fond bleu: la courageuse journaliste Valérie Lebeuf, qui a lancé toute l'affaire
Cela met le doigt sur le bobo de la reconnaissance trop facile des diplômes étrangers. Trop souvent, on ne tient pas compte de la mentalité cachée derrière ce paravent qui cherche à s'insinuer sournoisement pour déformer nos enfants, ou former les enfants étrangers maghrébins dans le mauvais sens islamique. Tout enseignant maghrébin étranger est porteur du virus mortel de l'islam, même ceux qui prétendraient ne pas avoir été contaminé par lui et s'en être libéré. Il en restera toujours des traces, et un peu sera toujours trop.
Le clan d'enseignants dominants maghrébins pris en faute à l'école Bedford a été suspendu. Espérons que c’est sans solde. Mais ce n'est pas suffisant. Leur brevet d'enseignement doit leur être retiré et ils doivent être expulsés du pays pour 7 ans de mauvais traitements et de non-respect de nos valeurs et du contenu officiel du programme pédagogique, sans parler de l'enfreinte faite à la loi sur la laïcité. Ils ont fait trop de mal et causer trop de torts pour qu'ils puissent s'en tirer à si bon compte avec de simples avertissements sans conséquences. Il faut leur montrer la porte. De l'école et du pays.
Le scandale de l'école de Bedford s'étend à plusieurs autres écoles déjà identifiées, sans parler de celles qu'on va découvrir. C'est la preuve que le monde de l'enseignement s'est fait instrumentaliser par l'islam conquérant dans le but précis de répandre et inculquer ses principes condamnables dans de jeunes cerveaux encore malléables. Cela doit cesser sur-le-champ.
Qu'on les renvoie tous enseigner leur islam en islamie d'où ils n'auraient jamais dû sortir, mais surtout plus chez nous. Protégeons nos enfants de cette pernicieuse influence. L'islam est toxique par nature. À nous tous de combattre chacune de ses manifestations, à commencer par les enseignants musulmans étrangers en poste d'autorité qui abusent de la situation et de leur position pour faire avancer leur obsession.
À lire: Prenons garde aux enseignantes ou éducatrices musulmanes en poste d'autorité
Note: cliquez sur les termes surlignés en bleu pour approfondir davantage votre réflexion sur le sujet
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14 commentaires
Réjean Labrie Répondre
11 décembre 2024Ce qui se passe dans les écoles où l'entrisme islamique fait des ravages n'est pas beau à voir. C'en est même répugnant.
3 nouvelles écoles infestées feront à leur tour l'objet d'une enquête.
Le ministre de l’Éducation, Bernard Drainville, qui avait lancé des mandats de vérification dans des écoles montréalaises à la suite d’allégations de comportements toxiques, d'insubordination et d’ingérence, ordonne la tenue d’enquêtes dans les écoles La Voie, Bienville et Saint-Pascal-Baylon.
Des mandats de vérification avaient été lancés dans ces trois écoles le 10 octobre, dans la foulée de la suspension de 11 enseignants de l’école primaire Bedford, dans le quartier Côte-des-Neiges, où régnait – selon un rapport remis au ministère – un climat toxique alimenté notamment par des punitions physiques, des méthodes d’éducation archaïques et le refus d’enseigner certaines matières comme les sciences ou l’éducation à la sexualité.
, précise le cabinet de Bernard Drainville.
Source: L'entrisme islamique a envahi nos écoles
Les écoles qui font actuellement l'objet de vérifications:
Début novembre, La Presse révélait que des parents impliqués dans les conseils d’établissement des écoles La Voie et Saint-Pascal-Baylon avaient manœuvré pour bloquer certains contenus en éducation à la sexualité, pourtant obligatoires dans le programme scolaire québécois.
Dans le cas de l’école La Voie, le président du conseil d’établissement, Said Soali, occupait alors également le rôle de président du conseil d’administration du Centre communautaire Darlington, un organisme religieux qui enseigne notamment les principes du Coran à des enfants musulmans du quartier Côte-des-Neiges.
À Saint-Pascal-Baylon, une enquête du Devoir rapportait que le conseil d’établissement de cette école ait instauré pendant des années un « climat hostile » en remettant « systématiquement en question les décisions et orientations de la direction », selon le CSSDM.
Si certaines de ces gestes peuvent être motivées par des croyances religieuses, les manquements allégués relèvent de la Loi sur l’instruction publique et non de la Loi sur la laïcité de l’État, indique le cabinet de Bernard Drainville.
Source: Des manquements allégués dans trois autres écoles du CSSDM
Il faut se débarrasser de cette engeance nocive par le biais de l'expulsion des contrevenants.
Réjean Labrie Répondre
7 décembre 2024Le premier ministre François Legault a employé sans détour le terme "islamistes" pour bien identifier une mouvance étrangère anti-québécoise et anti-occidentale qui cherche à se répandre chez nous malgré notre opposition, et qui va intentionnellement à l'encontre de nos valeurs les plus élevées, tant sur le plan personnel que collectif.
M. Legault condamnait la prière de rue musulmane, et plus précisément celle que des immigrés manifestants étrangers pro-hamas masqués ont faite devant l'université McGill. C'est un geste de provocation pure et simple condamnable.
Je le cite:
"Je veux aujourd’hui envoyer un message très clair aux islamistes. Les valeurs fondamentales qu’on a au Québec, comme la laïcité, comme l’égalité hommes-femmes… Eh bien, on va se battre, puis jamais, jamais on ne va accepter que des personnes essaient de ne pas respecter les valeurs qui sont fondamentales au Québec".
Source: « On va se battre! » : Legault envoie un « message aux islamistes » sur la laïcité
Lui et et son ministre Bernard Drainville ont ajouté qu'on allait légiférer afin d'interdire ces pratiques offensantes et indignes d'un pays avancé, même s'il faut recourir à la clause dérogatoire (car les islamistes retors ont pris la fâcheuse habitude de contester judiciairement les lois voulues par la majorité de souche).
À lire: La disposition de dérogation doit s'appliquer à toutes les lois québécoises par défaut
Cet événement décrié n'est qu'un autre exemple de l'ampleur de l'entrisme islamique, tel qu'il se produit dans des dizaines de villes européennes infiltrées et mises en péril. L'entrisme islamique vise les institutions, en faisant élire des échevins, des députés (Bouzazi, Gazal), dans les écoles, les entreprises, par la construction offusquante de mosquées ostentatoires, sur la place publique (prière de rue musulmane, manifestations à risque élevé de dégénérer, occupation McGill), sans oublier les demandes d'accommodements en tout genre. Les islamistes sont partout.
Les étrangers qui amènent chez nous les conflits de leurs pays barbares pour les répandre doivent tous être déportés.
L'islam maléfique est une menace à la civilisation occidentale que nous représentons. Un mouvement général de contre-attaque est amorcé. C'est en demeurant déterminés que nous l'emporterons. Comme le premier ministre l'affirme sans ambages: On va se battre pour défendre nos valeurs.
À lire: Accentuons la spécificité québécoise par des lois différentes du Canada pour s’en démarquer
Réjean Labrie Répondre
6 décembre 2024Le portrait de l'entrisme islamique s'enlaidit de jour en jour au rythme des dénonciations de Québécois outrés devant de tels actes abominables perpétrés dans nos écoles, et partout dans la société.
La dernière en date: l’école secondaire Saint-Maxime, à Laval.
Voyez l'horreur de l'infiltration musulmane:
Des prières en classe. Des membres du personnel qui se parlent entre eux et s’adressent aux élèves en arabe.
L’établissement a aussi été le théâtre de fortes réticences d’élèves aussitôt qu’il est question de sexualité dans les cours ou les activités en milieu scolaire.
Le témoignage du dénonciateur initial, que La Presse a obtenu, fait état de nombreux enjeux liés à la laïcité dans cette école qui compte une forte présence maghrébine. Cet ancien employé de l’école y a travaillé pendant plusieurs années. Il ne travaille plus à Saint-Maxime.
« Ces évènements m’amènent à vouloir briser ce silence en dénonçant une série de faits et de gestes qui suscitent de l’inquiétude et du désarroi, pour ne pas dire de la colère, face à des comportements et de la promotion de croyances et de valeurs qui ne sont pas du tout en accord avec les principes de la laïcité, de nos valeurs et de nos règles de vie en société », écrit-il dans sa plainte.
Des prières dans les classes
Premier point : la prière à l’école. À Saint-Maxime, des élèves utilisent les salles de classe ou les corridors pour prier. « Certains enseignants maghrébins laissent des élèves faire la prière dans leur classe pendant la période de leur cours. Il n’y avait pas vraiment d’intervention. La direction, si elle intervenait, s’adressait directement au prof… mais ça recommençait de plus belle », indique la source A.
« Un enseignant s’est déjà fait rencontrer par la direction parce qu’il priait dans les pauses avec ses élèves. C’est une surveillante qui avait surpris une dizaine de jeunes qui priaient avec le prof, dans la classe », confirme notre second informateur.
Il y avait des ablutions qui se faisaient dans les toilettes, ils cherchaient des coins isolés dans les corridors pour faire leurs prières. Aussitôt qu’on les arrêtait, la gang nous sautait dessus. Monsieur, vous ne pouvez pas arrêter ça, c’est la prière, c’est Dieu.
Des retards motivés pour aller à la mosquée
Certains élèves qui se rendaient prier à la mosquée le vendredi voyaient d’ailleurs leurs retards motivés systématiquement par certains membres du personnel.
Des membres du personnel qui se parlent en arabe
« Des professeurs maghrébins se parlent en arabe dans la salle des enseignants, devant les autres professeurs non maghrébins », indique la source A.
Chaque année, la direction de l’école demandait, en assemblée générale, de parler français pour le respect de tous, mais cette demande est ignorée par ces enseignants.
La source A
La source B confirme que la direction est intervenue plus d’une fois pour établir que le français était la langue commune à l’école.
Mais il arrive également que du personnel d’origine maghrébine s’adresse aussi aux élèves en arabe, témoigne la source A. Elle dit avoir vu des enseignants s’adresser à leurs élèves en classe en arabe. « Une secrétaire de direction parlait aux parents en arabe, même lorsque nous étions là en intervention avec les parents et/ou l’élève », relate cette même source, qui indique que ces échanges, dont il ne pouvait saisir la teneur, compliquaient son travail.
Réfractaires à l’éducation sexuelle
En avril 2023, la troupe de théâtre Parminou s’est rendue à Saint-Maxime pour y présenter la pièce de théâtre Embrasse-moi si tu veux. La pièce, un projet financé par le ministère de la Santé et des services sociaux, aborde les thèmes de la prévention des ITSS et des grossesses, des relations amoureuses saines et du consentement.
La seconde représentation a été interrompue à plusieurs reprises par un groupe d’élèves maghrébins qui étaient heurtés par les thèmes abordés. « J’ai été témoin du brouhaha », dit la source A, qui indique qu’un « gros groupe » d’élèves maghrébins « lançait des pétards, criait, faisait sonner des alarmes. C’était la débandade totale. »
« Les élèves arabes criaient tout le long. Je ne sais pas ce qu’ils criaient ou comment ils criaient, mais c’est sûr que ça a été une représentation très problématique ».
Intolérance face à l’homosexualité
Par ailleurs, plusieurs élèves ont des problèmes avec les cours d’éducation sexuelle, notamment sur le thème de l’homosexualité, indique la source B. Elle raconte avoir déjà croisé un jeune qui avait quitté précipitamment sa classe, effaré de ce qu’il entendait. « Il est sorti de la classe, il disait qu’il devait aller se purifier parce qu’il avait entendu des choses qui n’avaient pas d’allure dans sa classe », raconte la source.
L’homosexualité faisait beaucoup réagir les élèves, poursuit la source B. « Un élève m’a déjà dit : je peux accepter de parler français. Mais vous ne me ferez jamais accepter l’homosexualité », dit la source. Des affiches de prévention de l’homophobie étaient régulièrement arrachées ou vandalisées, ajoute la source A. « Il y a beaucoup de propos homophobes de la part des élèves. »
(fin des citations)
Source: Des musulmans islamistes rejettent nos valeurs
Des élèves qui prient en plein cours: «C’est pas notre Québec ça!» - Bernard Drainville
Les valeurs de l’islam sont enseignées dans une école publique de Montréal
Comme on le voit, les musulmans islamistes rejettent nos valeurs et notre mode de vie. Ils cherchent à implanter avec entêtement leurs mauvaises valeurs condamnables, bien qu'on leur dise que c'est mal. Ils continuent à vouloir répandre ce mal. L'islam est incompatible avec le monde occidental. Il doit être combattu et éliminé. Faisons appliquer nos lois sans exception. Que ceux qui les refusent quittent. On n'en veut pas ici.
Qu'en pense le député immigré étranger marocian musulman de QS Haroune Bouzazzi?
Réjean Labrie Répondre
26 novembre 2024Les islamistes rigides déjà incrustés à Montréal se servent de nos écoles pour répandre l’obscurantisme et l’enseigner aux jeunes, même les fins de semaine, au lieu de leur enseigner nos valeurs supérieures aux leurs. Scandale! Les enquêteurs viennent d'en pincer d'autres.
Les coupables sévissent à l’école secondaire La Voie de l’arrondissement de Côte-des-Neiges:
Les valeurs de l’islam sont enseignées la fin de semaine dans une école publique de Montréal, en contravention de la directive du ministre Bernard Drainville interdisant les prières et les pratiques religieuses dans les établissements scolaires.
Tous les samedis, des dizaines d’enfants suivent des cours de «langue arabe et des valeurs de l’islam» dans les locaux de l’école secondaire La Voie de l’arrondissement de Côte-des-Neiges. Cet enseignement est offert, depuis 2009, par Les écoles arabes de Montréal, une initiative de l'Association marocaine musulmane du Canada.
On enseigne des cultures étrangères à la nôtre, le contraire de l'intégration complète et rapide nécessaire.
Source: Les valeurs obscurantistes de l’islam enseignées dans les locaux d’une école publique touts les week-end depuis 15 ans
La situation à travers le Québec est beaucoup plus grave qu'on ne croit. Les instances gouvernementales se sont montrées beaucoup trop laxistes et inconscientes, par aveuglement volontaire, par irresponsabilité, bien que les observateurs nationalistes avaient lancé l'alerte de ce qui s'annonçait depuis 15 ans.
Il faut démanteler sans délai tous les réseaux tentaculaires islamiques qui se sont répandus au Québec. L'entrisme islamique est installé partout: établissements d'enseignement supérieur, écoles, CPE, entreprises, mosquées, Assemblée nationale, députés, ministères, municipalités, centres communautaires et sportifs, bibliothèques, partout.
Réjean Labrie Répondre
15 novembre 2024Une musulmane dénonce l'entrisme islamique dans toutes les sphères de la société québécoise. L'islam se veut conquérant, il cherche à s'infiltrer partout pour prendre le contrôle.
Depuis que les talibans intégristes de l'Afghanistan sont au pouvoir, l'oppression grandit de jour en jours. Plus il y aura d'islamistes musulmans en position de pouvoir, plus ils tenteront d'imposer leurs principes obscurantistes condamnables.
La musulmane déclare:
Je vois l'intégrisme islamique musulman partout et tout le temps. Je le vois dans les milieux de travail, je le vois même à la piscine municipale, je le vois à la bibliothèque, je le vois pendant les activités, je le vois pendant l'Halloween où j'ai des personnes qui refusent d'adhérer au thème, par exemple, pour les enfants. Je le vois partout pendant toute l'année et partout, dans toutes les places», mentionne-t-elle.
Comme elle l’indique, la présence d’intégrisme islamique est un phénomène qui existe dans le milieu des garderies, où elle évolue depuis de nombreuses années.
«Je l'ai vécu comme éducatrice. C'était vraiment un milieu très, très religieux et puis tout ce qui n'est pas religieux était interdit. Même les petites chansons des enfants, là qu'on chante Frère Jacques et tout ça, on n'avait pas le droit de dire: "Sonnez les matines". Donc, on ne chante pas ça», raconte Fatima Aboubakr.
Dans une garderie de Laval où elle a travaillé en 2009, la direction forçait les éducatrices à assister à un cours de religion donné par un imam pendant leur pause.
«On était vraiment obligés. Et ça m'a créé beaucoup de problèmes, ça, parce que moi, je voulais juste ma pause pour faire mes appels, faire ce que j'ai à faire. Mais je n'avais pas le droit. Ç’a suscité la colère de la direction», évoque Mme Aboubakr.
Cette dernière affirme aussi avoir été témoin d’une situation similaire dans une résidence pour aînés.
«C'est une préposée qui m'a parlé de ça, qui me disait elle-même, de sa propre bouche, qu'elle lisait le Coran dans les oreilles de ses patients. Parce qu'il faut que s'ils partent, là, aujourd'hui ou demain, il faut qu'elle fasse sa job de les rediriger vers la bonne voie», relate la Québécoise d’origine marocaine.
Aujourd’hui directrice d’une garderie, Fatima Aboubakr compose au quotidien avec la présence de la religion en milieu de travail. Cela pose notamment problème lors du ramadan.
«Une seule personne nous rend la vie difficile, elle trouve qu'on n'est pas respectueux, que tous les collègues ne doivent pas prendre leur café, que tous les collègues n'ont pas de respect pour sa religion parce qu'elle est jeune», indique la Québécoise d’origine marocaine.
Selon Mme Aboubakr, les intégristes islamiques sont prêts à tout pour imposer leur vision et leur religion au Québec.
«Ce qui me fait peur, c'est qu'il y a une réflexion islamiste qu'on ne peut pas comprendre en Occident. C'est qu'ils peuvent utiliser tous les moyens pour arriver, y compris mentir, y compris apparaître bien devant les médias», clame-t-elle.
(fin des citations)
Source:«Je le vois partout»: l’intégrisme islamique s’est infiltré ici, soutient une Québécoise d’origine marocaine
Des clans dominants musulmans islamistes sont en train de se former partout dans la société. Il faut les défaire tous.
Car l'islam est le pire ennemi de la civilisation. Il représente un péril croissant avec le nombre d'arrivées de musulmans. Plus il y en a, plus ils s'enhardissent à répandre le mal coranique.
Il doit être combattu et éradiqué de l'Occident. Que nos lois y contribuent et soient renforcées pour y arriver.
À lire: Les torts et travers de l'islam en 40 reproches fondés
Réjean Labrie Répondre
13 novembre 2024Les réseaux tentaculaires d'infiltration de religions étrangères dans le fonctionnement de notre société sont beaucoup plus étendus qu'on ne croyait.
Après les écoles, c'est maintenant au tour de 36 garderies CPE de se faire dénoncer et fonctionnant contre nos principes et nos lois.
Et ce n'est pas tout, les religions hégémoniques (qui ont pour mission de se répandre et de s'imposer) s'installent dans les entreprises, dans le syndicalisme. Des clans dominants musulmans et autres tentent de s'incruster partout où ils le peuvent pour en prendre le contrôle.
Les plus cachés actuellement sont les clans dominants musulmans informaticiens dans plusieurs ministères provinciaux. Je connais un informaticien québécois qui subit leur intimidation quotidienne. Il m'a assuré qu'ils sont rendus partout à répandre leur régime de terreur.
Toutes ces tentatives d'infiltration s'exercent depuis des années. Mais les gouvernements ont choisi de regarder ailleurs pour ne pas être pointés du doigt. Quelle erreur, quelle faiblesse, quelle honte.
Source: 36 garderies coupables
Dans la région de Montréal, 36 garderies financées par l’État sélectionnent leurs enfants selon leur appartenance religieuse ou ethnique. Quel scandale!
Ces centres de la petite enfance (CPE) et garderies – subventionnés à plus de 80 % par l’État – ont parmi leurs critères l’appartenance à la communauté juive ou encore hellénique, arménienne, algérienne, chinoise ou haïtienne, par exemple. Ils regroupent plus de 2600 enfants.
Source: Grand Montréal TRENTE-SIX CPE SÉLECTIONNENT SELON L’ETHNIE OU LA RELIGION
Tous ces endroits doivent être ou fermés ou rendus à la population.
Il faut mettre de la pression sur les contrevenants étrangers qui refusent de s'intégrer pour qu'il ne leur reste plus que le choix de quitter le Québec pour une autre province. Ils nous détériorent et n'ont pas de place ici. Faisons-nous respecter.
Réjean Labrie Répondre
3 novembre 2024Hausse des dénonciations islamiste dans le réseau scolaire québécois
La médiatisation de la crise à l'école Bedford, au début du mois d'octobre, aurait mené à d'autres dénonciations de situations abusives dans le réseau scolaire. Sans parler de tendance, le Protecteur national de l'élève constate une augmentation des plaintes et de signalements en lien avec l'orientation pédagogique en classe. Le problème serait-il plus répandu qu'on le pense? Oui! C'est un fléau actif.
Ci-dessus: à Paris, capitale de la haute couture, le prêt-à-porter se voit remplacé par le prêt-à-botter
Les islamistes sont partout. Ils tentent par tous les moyens de s'infiltrer et de répandre leurs principes religieux retors et nuisibles. Ce reportage de Radio-Canada le confirme.
Voyez la vidéo: Hausse des dénonciations dans le réseau scolaire. L'islam tentaculaire sévit
Ci-dessus: à Paris, capitale de la haute couture, le prêt-à-porter se voit remplacé par le prêt-à-botter
Et ce n'est pas que dans le domaine scolaire que les islamistes sont en train de s'infiltrer. Il y a aussi dans la fonction publique, municipale, où ils font élire des échevins musulmans, etc. En fait, partout où ils peuvent prendre contrôle du fonctionnement de notre société, pouce par pouce, mosquée par mosquée, accommodement par accommodement.
L'islam conquérant et nocif n'a pas sa place en Occident.
Ci-dessus: à Paris, capitale de la haute couture, le prêt-à-porter se voit remplacé par le prêt-à-botter
Réjean Labrie Répondre
29 octobre 2024Plus on en apprend sur le scandale de l’école Bedford, plus on s’indigne. Le clan a fait placer l’un des leurs comme représentant syndical qui leur a obtenu d’être suspendus avec plein salaire. C’est le temps des vacances payées.
Les 11 enseignants musulmans du clan dominant islamiste de l’école Bedford dont la suspension a été annoncée par le centre de services scolaire de Montréal ont été suspendus avec plein salaire, a précisé leur syndicat lundi. Des griefs n’ont pas encore été déposés, le syndicat n’ayant pas toutes les informations nécessaires. On doit s'attendre à ce qu'on fasse traîner les choses en longueur, pour que le clan de toxiques reçoive le plus longtemps possible de l'argent gratuit.
Certains syndicats choisissent de défendre l'indéfendable.
Source: Des enseignants dominants islamistes multi-toxiques suspendus avec plein salaire
L’islam n’a pas de place en Occident. Il doit être refoulé en islamie.
À lire: Corrélation entre basse intelligence et obéissance fanatique à une religion
Réjean Labrie Répondre
27 octobre 2024C’est la procédure habituelle des islamistes de se servir de toutes les échappatoires à nos lois pour justifier leurs agissements fautifs et agresseurs, c’est important de le souligner. Ils savent comment contourner les règles, en utilisant une faille/lacune dans la loi, un vide juridique, en appliquant la loi dans une situation pour laquelle elle n’avait pas été conçue.
Dans ce cas-ci, le clan d’enseignants musulmans dominants refusent la présence de femmes spécialistes comme les orthopédagogues dans leur classe en prétextant « l’autonomie de l’enseignant ». Et ils le disent de haut, en voulant dire : « Si vous osez vous en prendre à nous et à nos prérogatives, vous en pairez le prix ».
La mentalité d’opposition islamiste fonctionne par l’attaque et l’utilisation des lois de l’ennemi pour les retourner contre lui. Ils excellent à en détourner le sens premier à leur avantage.
On le voit clairement dans la contestation de la loi 21 sur la laïcité pourtant approuvée par la population.
L'islam nuit. De jour comme de nuit.
Réjean Labrie Répondre
25 octobre 2024Le premier ministre du Québec François Legault appelle la population à dénoncer toutes les situations d’enseignants islamistes qui tentent d’embrigader la jeunesse à l’école et à l’éloigner du corpus pédagogique en vigueur au ministère de l’éducation.
Tous les Québécois doivent suivre cette recommandation légitime pour s’opposer à l’implantation chez nous de la doctrine religieuse islamique ultra-condamnable. Observez autour de vous dans votre milieu de travail, interrogez vos enfants sur leurs professeurs immigrés pour les débusquer. Et alors portez plainte. Nous sommes dans notre bon droit.
Les médias n'ont précisé qu'après plusieurs jours que le clan musulman dominant est suspendu avec solde, comme des vacances payées, à nos frais bien entendu. Cela ajoute au scandale.
Tous les enseignants immigrés étrangers volontairement coupables de tels écarts du corpus pédagogique officiel doivent être renvoyés des écoles, déchus de leur brevet, puis renvoyés dans leurs pays basés sur les inégalités et la coercition punitive asservissante.
Lisez ici la demande du premier ministre Legault qui nous exhorte à agir et dénoncer sans céder à l'intimidation islamique.
Réjean Labrie Répondre
24 octobre 2024Soulignons que les islamistes maghrébins endoctrineurs toxiques et nuisibles ne se retrouvent pas que dans le monde de l'enseignement. Il y en a malheureusement dans tous les corps d'emplois.
Il faut les débusquer peu importe où les islamistes maghrébins endoctrineurs se cachent et dénoncer ceux qui font du prosélytisme islamique, des demandes d'accommodements, des exigences de lieu de prière au travail, des demande de permissions spéciales pour certaines fêtes musulmanes, ceux qui ont des attitudes méprisantes et misogynes envers les femmes sur les lieux de travail, les islamistes maghrébins endoctrineurs qui forment des cliques toxiques comme les clans d'informaticiens maghrébins dans certains ministères du gouvernement qui procèdent par intimidation et menaces de représailles.
L'islamisation est devenue tentaculaire au Québec.
Réjean Labrie Répondre
24 octobre 2024Maintenant que le premier ministre du Québec François Legault appelle la population à dénoncer toutes les situations d’enseignants islamistes qui tentent d’embrigader la jeunesse à l’école et à l’éloigner du corpus pédagogique en vigueur au ministère de l’éducation, cela prendrait une ligne téléphonique confidentielle ou un courriel pour effectuer les dénonciations et déclencher les enquêtes.
Plus il y en aura, plus les intégristes fondamentaux islamistes sentiront la pression de quitter le pays au plus tôt, à commencer par l'imam fondamentaliste musulman toxique et haineux Abdul Charkaoui qui menace la musulmane marocaine Marzwa Rizqui qui ose s'en prendre au clan d'enseignants musulmans dominants de l'école Bedford, un geste condamné par l'islam intégriste des musulmans dominants.
Qu'attend-on pour expulser du pays ce dangereux extrémiste intégriste haineux qui multiplie les appels à la violence et l'intolérance dissimulés sous forme d'évocation de ses préceptes religieux?
Réjean Labrie Répondre
24 octobre 2024On nous apprend que le clan d'enseignants maghrébins dominants islamistes fautifs de l'école Bedford à Montréal est suspendu mais avec solde, un vrai scandale!
Ils sont en vacances payées malgré leurs délits reconnus depuis 7 ans, et cela à nos frais! Doit-on y voir un mauvais coup des syndicats qui défendent l'indéfendable?
On doit retirer leurs brevet d'enseignement à tous ces étrangers intégristes musulmans qui pour cette raison n'auraient jamais dû être admis au pays, puis les renvoyer chez eux dans la honte et l'opprobre général.
François Champoux Répondre
23 octobre 2024Bonjour M. Labrie,
J’ai énormément dénoncé la loi 21 qui considérait comme du prosélytisme le seul fait de porter un signe religieux ostentatoire auprès des petits enfants : avec sa loi 21, François Legault ne répondait là qu’à un désir d’une multitude mal informée sur notre charte des droits et libertés des personnes et de la jeunesse du Québec (pas celle de Trudeau en 1981, celle du Québec en 1975), et qui souhaitait ainsi assurer sa réélection!
Aujourd’hui, par son laxisme et son incompétence, il se retrouve avec une patate chaude qui risque de devenir de la vraie dynamite! Si les Québécois n’évoluent pas sociologiquement et humainement, nous risquons l’absurdité qui se vit actuellement en Ukraine et ailleurs, où le mot «guerre juste» a été inventé, et s’éternise avec ses affres.
Mais je demeure confiant avec le débat que font les journalistes actuels qui osent enfin parler ouvertement du mot «prosélytisme» non pas comme un simple signe ostentatoire religieux, mais par des actions et des paroles qui endoctrinent et qui viole l’innocence et la conscience des plus vulnérables.
J’oserais même reconnaître que je suis content que même les syndicats se retrouvent au banc des accusés dans cette terrible affaire de l’école Bedford; «terrible» pour les enfants pris en otage par des adultes…
Le danger actuel c’est de penser que seules les religions (ou la religion musulmane mise en cause ici) sont coupables d’abus d’autorité : ce ne sont pas les signes religieux qui sont dangereux, mais bel et bien les discours qui font croire à toutes sortes de chimères et qui appellent à tous les anathèmes. Il faut qu’il y ait crime pour condamner, et là il semble que la loi 21 n’a pas empêché le crime de se commettre : le prosélytisme.
François Legault croyait avoir visé la bonne cible avec sa loi faussement appelée loi de la laïcité du Québec : il ne visa que les apparences et rata l’essentiel : les discours haineux et discriminatoires, les sermons sur la Vérité qui étaient une dictature sur l’esprit contre chacune et chacun, que nous avons tant connu au Québec du temps des religions catholique et protestante.
François Legault doit reconnaître son erreur et refaire ses devoirs : c’est la charte qui doit être promue comme ciment de la société et non pas une loi qui condamne une personne que sur ses apparences. Les événements de l’école Bedford sont des faits accablants et une preuve sans précédent que les discours règnent encore dans certaines écoles, dans certains lieux : et que ceux-ci vont jusqu’à la menace de l’enfer si l’on n’obéit pas à ces faux jetons, à ces ignobles autorités, à ces «supérieurs», peu importe d’où ils viennent, peu importe leur sexe et peu importe qui ils sont.
François Champoux, Trois-Rivières