Le dilemme de l’UPAC: atteindre Jean Charest sans toucher Philippe Couillard
La majorité des gens ne croit probablement pas que la police protège les politiciens. Ce que croit le public, c’est que la police a protégé Jean Charest lorsqu’il était premier ministre du Québec et qu’elle continue de le protéger. La commission Bastarache donnait l’impression d’avoir été paquetée par Jean Charest alors qu’on n'a même pas entendu ce dernier à la commission Charbonneau. Ce que le public attend de l’UPAC c’est qu'une véritable enquête soit menée sur Jean Charest.