L'effondrement national se poursuit
La seconde amputation
L'abandon du français par les souverainistes
Avant le choc qu'a été la Révolution tranquille, deux jambes tenaient le corps de la Nation canadienne-française : le catholicisme et la langue française. L’Église catholique a été un des principaux piliers de la société canadienne-française depuis la fondation de Montréal, mais c’est surtout suite à l’échec patriote et l’Acte d’union de 1840 qu’elle devient une institution centrale du Canada français. Elle servit de v...