Dans virtuellement toutes les sociétés humaines, incluant la civilisation occidentale jusqu’à il y a quelques décennies, la xénophobie va de soi. L’Autre, de par sa simple présence, est une menace subversive à l’existence du groupe et à la cohésion sociale. De même que le système immunitaire de votre corps se doit d’être xénophobe à l’égard d’agents pathogènes qui lui sont étrangers, un groupe d’humains réagit de manière analogue face à des intrusions sur son territoire, que ce soit sous forme d’idéologies étrangères ou de migrations humaines. Bref, la xénophobie est un mécanisme de défense qui assure la survie du groupe face aux tentatives d’infiltration de l’Autre. En effet, en l’absence de discrimination basée sur la préférence nationale, les peuples antiracistes disparaissent, rapidement remplacés, culturellement et génétiquement, par des peuples racistes. C’est précisément le phénomène auquel on assiste actuellement en Occident.

Le racisme est aujourd’hui considéré comme le crime ultime en Occident. C’est donc dire que notre société est sans défense face à la pénétration  en son sein d’idéologies mortifères. Dans cette catégorie, l’Islam n’est que la pointe de l’iceberg. Par sa nature barbare et de par la multiplication d’attentats terroristes spectaculaires et sanglants, il est compréhensible que ce soit l’Islam qui, le premier, braque le citoyen lambda. Or, l’Islam ne peut porter le chapeau pour l’idéologie multiculturaliste qui gangrène l’Occident actuellement et qui est infiniment plus destructrice à long terme. Cette idéologie, qui interdit hystériquement toute forme de préférence nationale et qui érige en dogme les bienfaits de l’immigration, conduit l’Occident à sa perte, jour après jour.

En somme, le multiculturalisme consiste à encourager l’installation de groupes culturels étrangers sur notre territoire national sans aucune demande d’assimilation. C’est donc dire que divers ghettos culturels et ethniques sont invités à prendre possession de parcelles du territoire national et à grignoter, peu à peu, celui-ci. Le groupe des «de souche» est en dénatalité, c’est une constante partout en Occident, tandis que les groupes allogènes, de par l’immigration de masse, grandissent en nombre. Le Tiers-Monde étant d’ailleurs en explosion démographique, la pression migratoire vers l’Occident n’est pas près de se résorber. De plus, la gauche régressive occidentale fait de l’immigration son cheval de bataille et réprime violemment toutes velléités de remise en question de ce dogme. Cerise sur le gâteau : la droite collabore allègrement, trop contente d’inonder le marché de l’emploi d’esclaves sous-payés.

En mettant tous ces éléments ensemble, nul besoin d’une boule de cristal pour prédire ce vers quoi tend l’Occident post-nationalisme ethnique. Les ghettos ethniques qui existent déjà sont appelés à croitre et à se métastaser aux dépens des populations de souche qui sont en régression démographique et qui subissent une propagande métissolâtre incessante. À terme, ces sociétés parallèles exogènes occuperont l’ensemble du territoire et la part du gâteau des communautés nationales sera progressivement réduite à néant de par le jeu de la démographie. Ainsi, si la tendance ce maintien, en deux générations à peine, la civilisation millénaire occidentale sera submergée et remplacée par les hordes du Tiers-monde qui imposeront leurs propres modèles de société sur le cadavre encore chaud de l’Occident.

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