«Douce France, cher pays de mon enfance...» - Charles Trenet
Paris affirme détenir la preuve que les forces de Bachar Al-Assad ont utilisé du gaz sarin contre les civils syriens. Deux envoyés spéciaux duMonde déclarent avoir rapporté des échantillons recueillis sur le terrain.
Avec le soutien honteux des États-Unis et de la France !
Dans le drame de la guerre en Syrie, qui dure depuis près de quatre ans, une ville coupée en deux, – comme Berlin avant la chute du mur – plus que des bombes et des tirs de mortier «qui tombent chaque jour», plus que du manque d’eau et d’électricité «que les rebelles [des terroristes en vérité - Ndlr] coupent quand ils le veulent», les Alépins souffrent du froid. «Il ne nous manquait plus que la neige», nous dit Nabil Antaki, médecin, directeur de » Civils Blessés de Guerre« , un programme rattaché à un hôpital privé. Le Dr Antaki appartient à la congrégation des « Maristes bleus« , qui compte parmi ses membres aussi bien des laïcs que des religieux.
Tiens donc!
Le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a confirmé les informations de Radio France International selon qui une dizaine d’« anciens » militaires français combat actuellement aux côtés des jihadistes. Il a en outre précisé qu’il s’agissait là de cas extrêmement rares.
De plus en plus tordu
Depuis le début de la crise syrienne, le régime syrien a régulièrement accusé Israël de jouer un rôle en second plan, depuis la bataille de Qusair à proximité de Homs en mai 2013 jusqu’au développement des combats sur le front sud en septembre 2014. Des rapports des Nations Unies publiés en décembre semblent confirmer les affirmations du régime selon quoi Israël est impliqué avec les rebelles du sud.
L'Arabie saoudite est désormais un électron libre
La maison des Saoud se retrouve maintenant dans de bien beaux draps. Sa guerre du pétrole à haut risque pourrait éventuellement se retourner contre elle. La succession du roi Abdallah pourrait tourner au massacre. Son protecteur américain pourrait aussi changer d’attitude.
Même nombre de mort que dans l'attentat contre Charlie Hebdo, mais gageons qu'on en parlera moins...
10 miliciens et 2 soldats ont été tués lundi à la suite d’un attentat commis par un terroriste kamikaze.
Syrie : une situation très complexe
Suite à son discours devant l’Assemblée Générale de l’ONU [1], M. Walid al-Mouallem, vice-Premier ministre et ministre syrien des Affaires étrangères et des Expatriés, a été l’invité de Sky News TV en version arabe. Voici les points sur lesquels il a apporté les précisions souhaitées.
La Syrie se vide de ses forces vives
Plus de trois millions de Syriens ont fui leur pays ravagé par la guerre et par les atrocités commises par l'État islamique, groupe djihadiste contre lequel le président Barack Obama n'a pas encore décidé de frappes en Syrie.
Un pied de nez à ses détracteurs
Le président syrien Bachar al-Assad a annoncé lundi, une semaine après sa réélection controversée, la plus large amnistie depuis le début de la révolte en 2011 et qui devrait concerner, si elle est appliquée intégralement, des dizaines de milliers de prisonniers.
Les choses que la communauté internationale refuse de voir
Par Nabil Antaki
Pour la 5ème journée consécutive, l’eau est coupée à Alep. L’été dernier, Alep a subi un blocus complet des personnes et des marchandises pendant des semaines et personne n’a rien dit. Le mois dernier, Alep a subi une coupure d’électricité pendant onze jours consécutifs et personne n’a protesté.
Conférence de Genève : ce que les médias n’ont pas rapporté
À lire la presse française officielle de cette fin de semaine, nous sommes en droit de nous demander si « l’échec consommé », ou encore le « fiasco », de la Conférence internationale dite de Genève 2, concerne uniquement la Syrie. Il est clair, que ces courageux journalistes, qui se sont présentés en grand nombre à Montreux, n’ont pas cherché à savoir le contenu de l’intervention du chef de la délégation de la République arabe syrienne, M. Walid al-Mouallem, et si jamais ils ont fait cet effort, ils n’ont rien voulu entendre. Une fois de plus !
Une révolution inventée de toutes pièces
A la veille de la conférence de Genève 2, les organisateurs états-uniens n’ont plus aucune marionnette pour jouer le rôle des révolutionnaires syriens. La disparition soudaine de l’Armée syrienne libre montre à ceux qui y croyaient qu’elle n’était qu’une fiction. Il n’y a jamais eu de révolution populaire en Syrie, juste une agression étrangère à coup de mercenaires et de milliards de dollars.
Qui cherche tant à mettre le feu aux poudres
Djamila Ould Khettab
Une révélation qui risque de secouer tout le monde musulman. Depuis 2010, l’Arabie saoudite confie à une société de sécurité israélienne les clefs de La Mecque
La crise syrienne en phase de désescalade
Joe Biddle - Agence France-Presse
Le président syrien Bachar al-Assad a promis jeudi de placer sous contrôle international ses armes chimiques, mais seulement si les États-Unis ne menacent plus son pays et cessent de livrer des armes aux rebelles, peu avant des négociations américano-russes à Genève.
Obama, en rupture avec certains de ses conseillers, ouvert à une solution autre que la guerre
La proposition russe de détruire les armes chimiques d’al-Assad sous l’égide de l’ONU est bien accueillie
Barack Obama et Bachar al-Assad se sont livrés à un duel d’interviews, lundi, pendant que Moscou proposait la séquestration et la destruction des armes chimiques syriennes sous la supervision de l’ONU. Tout en multipliant les nuances, le président américain n’a pas écarté cette proposition, allant jusqu’à proclamer, sur les ondes de PBS, sa « préférence très nette [overwhelming] » pour une « solution diplomatique » à la crise syrienne.
Incroyablement éclairant. À lire absolument !
Pourquoi les tenants du nouvel ordre mondial détestent tant la Syrie.
Quand le cinéma joue son rôle à la perfection
Dominique Ageorges - Agence France-Presse
Le réalisateur français Bertrand Tavernier estime que le discours à l'ONU de Dominique de Villepin en 2003 «nous manque à l'heure actuelle», dans un entretien à l'AFP à l'occasion de la projection au Festival de Toronto de son film Quai d'Orsay.
Le guerrier récalcitrant
Le président Barack Obama a la lourde tâche aujourd'hui de retourner un Congrès et une opinion publique sceptiques face au recours à la force en Syrie, où Bachar al-Assad a assuré n'être pour rien dans l'attaque chimique du 21 août.
Bernard Descôteaux et Yves Boisvert participent à des opérations de propagande !
Pendant des semaines, les médias canadiens et québécois ont voulu nous enfoncer dans la gorge le bien-fondé d’une action de la « communauté internationale » au profit des rebelles syriens, victimes des armes chimiques du régime de Bachar al-Assad.
Et si vous n'étiez pas encore certains qu'Israël est en arrière du mouvement pour lancer des attaques contre la Syrie...
Manu Raju
Le puissant lobby pro-israélien AIPAC s'apprête à mettre le paquet pour pousser les législateurs américains à appuyer la résolution autorisant des frappes contre la Syrie.
« Le monde entier attend de voir si le lobby pro-israélien est capable de transformer Obama en criminel de guerre »
Il a fallu au reste du monde 300 ans pour comprendre le mal qui se camoufle sous la mascarade appelée «civilisation occidentale», selon l'ancien assistant secrétaire du Trésor pour les politiques économiques Paul Craig Roberts. L'apparition de nouvelles puissances a également permis de mettre en lumière cette évidence.
« Serait-ce trop demander aux dirigeants politiques français de servir d’abord les intérêts de la France ? »
Conduite sous l’influence américaine et israélienne, la politique occidentale au Proche-Orient porte un nom : celui de stratégie du chaos. Chaos en Afghanistan, chaos en Palestine, chaos en Égypte, chaos au Liban, chaos en Irak, chaos en Syrie. Ce n’est évidemment ni le fruit du hasard, ni de quelconques maladresses mais d’une volonté machiavélique : « Diviser pour régner. »
Des vétérans des services secrets américains mettent Obama en garde contre les renseignements sur la base desquelles il veut intervenir en Syrie
Malgré la supposée confiance affichée par l'administration Obama au sujet de la culpabilité du gouvernement syrien à propos de l'attaque aux armes chimiques perpétrée le 21 août dernier près de Damas, une douzaine d'anciens militaires américains et responsables des services secrets affirment que les informations qu'ils ont reçues contredisent la version «officielle» des faits.
Toujours pas de preuves
Mark Hosenball
Tout en menaçant d'attaquer la Syrie, les services de renseignement américains et alliés tentent encore de déterminer qui a ordonné l'attaque aux armes chimiques dans une banlieue damascène aux mains de forces rebelles.
Il n'existe aucune preuve que le régime de Bachir El-Assad soit responsable de l'attaque au sarin qui a eu lieu dans son pays.
Au parlement britannique
Le fougueux député britannique Galloway explique pourquoi il aurait été stupide de déclencher une guerre contre la Syrie avec seulement 11% d'appuis au sein de la population du Royaume-Uni.
Une opération de propagande pour dissimuler les véritables enjeux
Michel Collon nous explique les grands principes (pernicieux) de la propagande de guerre, en particulier ceux des va-t'en-guerre contre la Syrie.
« Si la Syrie s’effondre, c’est le reste du monde multipolaire qui va suivre »
Alimuddin Usmani
L’ancien Conseiller national du Canton du Jura en Suisse, Dominique Baettig (UDC), affiche son opposition totale à l’intervention programmée des USA et de la France en Syrie. Dans un entretien, il explique en détail sur les raisons de son combat contre «l’Impérialisme» américain.
Le soldat malgré lui
Le coup de théâtre de samedi dernier laisse croire que le président des États-Unis ne souhaite pas vraiment mener sa guerre annoncée et qu’il semble tant redouter - au point de demander au Congrès américain de trancher. Si ce n’était de cette fameuse « ligne rouge » qu’il évoquait il y a plus d’un an, la procrastination serait restée de mise et Obama sans nul doute n’aurait pas mis en oeuvre le scénario de guerre qu’il brandit depuis plus d’une semaine. Mais voilà désormais qu’il doute, et beaucoup !
Au tour des britanniques d'essuyer les bouderies des Américains
John Kerry delivers diplomatic slap in the face to Britain, failing to mention them among list of supporters and referring to France as "oldest allies".
Le secrétaire d'État américain John Kerry a administré une giffle diplomatique à la Grande-Bretagne à la suite du retrait de l'appui du premier ministre britannique, David Cameron, à une intervention militaire en Syrie contre le régime de Bachar el-Assad.
La question qui se pose n'est pas de savoir si du gaz sarin a été utilisé, mais qui l'a utilisé
Rebels and local residents in Ghouta accuse Saudi Prince Bandar bin Sultan of providing chemical weapons to an al-Qaida linked rebel group.
Alors que la machine de guerre menée par les États-Unis s'apprête à intervenir en Syrie à la suite de l'attaque au armes chimiques de la semaine dernière, la première puissance mondiale et ses alliés risquent de viser la mauvaise cible.
GÉOGRAPHIE
L'auteur de sa biographie le confirme dans une dédicace
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Tout être humain conçu mérite de venir au monde
Politique québécoise
Cégep, pour la liberté académique
Photo ci-contre, de gauche à droite : Félix-Antoine Duval, Sophie Deraspe et Mathyas Lefebure.
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