Non à une vision péquiste de l'identité québécoise !
Le Québec n’est pas « unilingue francophone ». Il ne peut le rester. Il doit le devenir.
Le Québec n’est pas « unilingue francophone ». Il ne peut le rester. Il doit le devenir.
Mattel retire du marché plusieurs millions de bébelles [fabriquées en Chine->6424] contenant de la peinture au plomb et de petits aimants ...
Mais parler français au Québec étant une attitude ethnique, un repli sur soi-même, faisons comme si l’on n’existait pas et parlons anglais...
Défiant les autorités chinoises, des manifestants, dont deux Canadiens, dans le but de dénoncer ...
Mais ce pays, que les Anglais ont envahi, que les Canadiens nous ont volé et que nous avons à reconquérir, est de langue française. Notre lutte pour l’indépendance est une lutte pour un Québec français.
Les indépendantistes espéraient un messie. Ils auront un parti. Le Québec doit aller vers son dénouement.
On ne peut dénigrer ce qu’on s’emploie à faire fonctionner
La liberté, c'est ce qu'il y a de plus important sur cette terre. ...
Les tournants dans l’Histoire surviennent lorsque l’on cesse de tourner en rond.
Les indépendantistes qui croyaient que le PQ traversait, depuis le dernier référendum, une mauvaise passe, semblent aujourd’hui admettre que le parti a tout simplement rendu les armes. On ne livre pas bataille avec un drapeau blanc.
« Le fait qu’il y ait eu dans notre histoire des événements comme celui-là nous oblige à une certaine réflexion » concède par ailleurs Madame Marois. Les non-événements aussi.
Et tandis que les Québécois perdent référendum après référendum le Canada se pose en modèle de démocratie et récolte les éloges
Depuis le déménagement, en 1998, du poste de police de la rue Saint-Dominique à la rue Bélanger, la criminalité, dans la Petite Italie, a augmenté : vols de voitures, de bicyclettes, vandalisme, meurtres, incendie suspect, etc. Après avoir éloigné les policiers des citoyens, afin de se rapprocher d’eux, il est désormais question de fusionner deux casernes de pompiers dans « un emplacement stratégique », soit les...
« Le 24 juin, on sort les drapeaux et la bière. Et le lendemain, on se remet à faire la carpette » s’indigne Martineau qui se donne en exemple. Un bel exemple de pâte molle accompagnée d’un verre de vin.
La question de la formation d’un nouveau parti voué à l’indépendance du Québec ne se pose pas. Elle s’impose.
On ne fait pas le Québec sans l’aimer
Le Festival des films du monde de Montréal, d’année en année, a pris l’aspect d’un ciné-club de salle paroissiale. Toronto, qui n’attire pas les célébrités avec du vinaigre, ...
Il est temps de passer à un autre parti
Le fédéralisme ne sera jamais un fédéralisme d’ouverture contraire à sa nature. Le Québec ne peut s’accomplir à l’intérieur d’un pays qui n’est pas le sien.
Les politiciens n’auront d’autre choix que d’écouter même le Parti québécois ou ce qu’il en reste.
- Combien vous avez payé pour les drapeaux ? - Rien, c’est gratuit. En voulez-vous un ? J’en ai plusieurs.
Laisser planer l’idée que l’indépendance du Québec peut attendre en amoindrit la portée et discrédite le Parti québécois.
Les termes de purs et durs, on le voit ne peuvent s’appliquer aux souverainistes québécois qui cherchent à faire l’indépendance correctement après avoir consulté les oracles et reçu d’eux un signe.
Mais qu’est-ce qu’un Québécois ? Peut-on à la fois être Québécois et Canadien ? Peut-on être Québécois et ne pas parler français ?
Pour en finir avec les dépenses inutiles il faut en finir avec les individus qui nous sont inutiles. Nous n’avons pas à financer le Canada.
Si nous voulons mettre un terme à ces orgies canadians nous savons ce qu’il nous reste à faire.
Tout conspire pour faire du français une langue de plouc. Beaucoup d’efforts sont déployés en ce sens.
Sauver le Canada voilà une manière judicieuse d’investir temps et argent.
Les indépendantistes devront s’emparer de ce parti de mauviettes dépolitisé ou fonder un parti véritablement indépendantiste.