Le Parti québécois n’est plus en mesure
de mettre un pied devant l’autre.
Il s’enlise.
La question de la formation d’un nouveau parti voué
à l’indépendance du Québec
ne se pose pas.
Elle s’impose.
Ce ne sont pas les souverainistes qui manquent
mais un parti souverainiste
dirigé par des souverainistes.

Entre le parti des anglais et celui des Hérouxvillois,
le champ est libre pour un tel parti lequel,
s’il est bien structuré, s’il compte dans ses rangs des gens déterminés,
reprendra à l’ADQ et à QS, en plus du vote péquiste,
ce que le PQ a perdu
pour enfin mettre le Québec
au monde.

À force de s’enliser, l’on finit par disparaître.
C’est ce qui guette, à court terme, les attentistes du PQ.

La création d’un parti réellement indépendantiste
incitera les Québécois à faire les quelques pas
qui les séparent
de leur pays.
République du Québec
Bienvenue !