Monsieur Landry, maintenant que vous n’êtes plus premier ministre, mettez donc vos énergies ailleurs que dans le commentaire politique ou la lutte politique partisane comme si vous étiez encore le chef du gouvernement du Québec. Cessez de ronger votre frein et agissez surtout comme un homme d’État. Évitez de vous gargariser avec le concept de nation québécoise et mettez principalement la main à la pâte en mobilisant les indépendantistes vers l’objectif de l’indépendance du Québec. Le regroupement du plus grand nombre possible d’indépendantistes devrait vous tenir à cœur, car vous affirmez régulièrement la conviction que vous êtes un souverainiste indéfectible. Bâtissez ! au lieu de louvoyer et de manigancer !
Terminons cette apostrophe à monsieur Landry en affirmant qu’il ne suffit pas de se déclarer ostensiblement et solennellement comme Guy A. Lepage de ne pas être un souverainiste, plutôt un indépendantiste pour faire osciller la balance du côté de l’indépendance. L’animateur de l’émission Tout le monde en parle devrait se rappeler qu’il ne jouit en fait d’aucune marge de manœuvre pour appuyer les indépendantistes. L’ex-premier ministre Landry et l’animateur Guy A. Lepage à Radio-Canada ne sont pas les seuls dans cette catégorie d’indépendantistes qui s’affichent indépendantistes, mais qui sont incapables de travailler hors des partis politiques ou d’agir publiquement et de s’associer avec d’autres défenseurs de l’indépendance pour mettre en place cette vaste réunion de Québécois et de Québécoises qui sauraient défendre l’objectif de l’indépendance du Québec.
À trop vouloir s’occuper de l’intendance de la province, monsieur Landry perd de vue la raison pour laquelle l’indépendance doit être la nôtre entièrement, complètement et souverainement. Pour cela, il devrait commencer à parler clairement dans l’optique indépendantiste. Il devrait montrer aux Québécois et aux Québécoises les fondements de l’indépendance du Québec. Au lieu d’écrire des lettres au premier ministre du Canada, monsieur Stephen Harper, il serait mieux avisé de développer la pensée indépendantiste dans son entourage, d’abord, et ensuite élargir le cercle, de manière à ce que des noyaux d’indépendantistes soient capables d’agir dans leur milieu respectif à la défense de l’option indépendantiste.
Louise Beaudouin nous apprenait dernièrement qu’elle ne participerait pas comme candidate péquiste aux prochaines élections du Québec. Radio-Canada nous rapporte ceci :
« Louise Beaudoin, 61 ans, écrit qu’elle poursuivra ses activités universitaires et de conférencière, et ajoute que son principal cheval de bataille est aujourd’hui la promotion et la défense de la langue française. L’ancienne ministre affirme que le dossier de la diversité linguistique aura un impact sur l’avenir du Québec. » (Louise Beaudouin cité par Radio-Canada.ca. Mise à jour le samedi 27 janvier 2007 à 19 h 21 : « Parti québécois. Louise Beaudoin passe son tour. »)
Elle souhaite se consacrer à « la promotion et la défense de la langue française ». La belle excuse ! Ne devrait-elle pas plutôt travailler à former cette grande réunion d’indépendantistes qui souhaitent atteindre leur objectif afin de pouvoir vivre honorablement dans un Québec indépendant ? Et Joseph Facal qui a beaucoup de visibilité médiatique devrait lui-même consacrer ses énergies là où il faudrait, c'est-à-dire dans le combat pour le ralliement de tous les indépendantistes dans un seul grand MOUVEMENT. Que non pas ! Il agit comme Bernard Landry !
[
Quant à Pierre Curzi-> http://www.ledevoir.com/2007/01/12/127142.html] il a fait le saut en politique en espérant apporter sa contribution à la libération politique du Québec comme nation. Il est malheureusement un peu seul parmi les hommes politiques québécois qui n’ont qu’une stature de provinciaux. S’il pouvait dépasser le paysage de sa circonscription électorale de Borduas, il pourrait certainement rendre un très grand service aux indépendantistes véritables. En ce moment, il apparaît comme du sang nouveau pour le PQ à tout le moins.
Les Denise Bombardier, les Lysiane Gagnon ou les Josée Legault de ce monde peuvent s’amuser à commenter les événements qui touchent la société québécoise, mais tous leurs beaux discours ne constituent que des états d’âme. L’indépendance du Québec a besoin de beaucoup plus que des articles de journaux ou des commentaires à la radio ou à la télévision.
Pour les nationalistes souverainistes, péquistes, bloquistes et autres solidaires ou lucides, ils devraient comprendre que l’action doit s’organiser non en paroles seulement, mais en s’assurant que des moyens seront mis en place pour être capable d’AGIR et de créer le MOUVEMENT.
En ce moment, les péquistes, les bloquistes, les riquistes et les autres souverainistes solidaires, lucides, etc. cherchent dans trop de directions différentes à la fois pour que la population québécoise puisse comprendre où ils veulent vraiment aller.
Quant aux grands syndicats, ils sont liés par un environnement fédéraliste et par l’idée de la défense des intérêts du Québec surtout au point de vue social. Il n’est pas facile de comprendre ce qu’ils veulent défendre véritablement au plan national. Comme les femmes et les hommes syndiqués ne sont pas que des sujets économiques, ils sont beaucoup plus et surtout des sujets politiques. Ils sont des agents du fonctionnement démocratique. À cet égard, ils ont un rôle majeur à jouer sur l’échiquier des grandes manœuvres indépendantistes. Ils doivent être appelés à supporter le MOUVEMENT.
EN VÉRITÉ, ON N’A PAS BESOIN D’ÊTRE SOUVERAINISTE POUR DÉFENDRE LES INTÉRÊTS DU QUÉBEC. L’Union nationale l’a fait bien avant eux. L’impôt provincial a été le plus grand legs de toutes les formations politiques au Québec. Cette avancée autonomiste n’a jamais été dépassée depuis. Au contraire, les souverainistes attendent tellement d’un règlement sur le déséquilibre fiscal qu’ils risquent de demeurer plus longtemps encore sous la tutelle du gouvernement fédéral. Quel paradoxe pour des souverainistes !
AU FOND, CEUX-CI DEVRAIENT S’OCCUPER EN PRIORITÉ DE L’INDÉPENDANCE. Au lieu de pérorer indéfiniment sur des débats de société, de consacrer tant d’énergie sur les questions sociales et de commenter systématiquement les petites crises au PQ qu’on dit dans la tourmente, ils devraient s’activer en priorité sur L’ORGANISATION D’UN VASTE REGROUPEMENT DE TOUS LES MOYENS D’ACTION POUR BATTRE LE FER DE L’INDÉPENDANCE QUI DEVRAIT ÊTRE LA PRIORITÉ ABSOLUE DES INDÉPENDANTISTES. Par exemple, l’écrivain Victor-Lévy Beaulieu qui sait très bien fustiger le PQ pourrait nous montrer comment il est possible de ne pas désapprendre.
[ La fin du Parti québécois ? Bon débarras ! ->4080]
Victor-Lévy Beaulieu La Presse - mardi 30 janvier 2007 -
Qui commencera à établir les ponts, le dialogue et les rencontres initiales qui feront avancer le MOUVEMENT ? Il faudra bien un jour que naisse cette organisation indépendantiste comme il existe des organismes de propagation de la « foi » fédéraliste au Québec, au Canada et dans le monde. D’ailleurs, ces derniers ne se gênent pas d’investir des millions avec ceux de l’État canadian pour faire comprendre et défendre les avantages du fédéralisme dans le monde.
En clair, les fédéralismes sont des empires déguisés. Et l’optique impérialiste est inhérente à l’optique fédéraliste. Dans les deux cas, l’État qui est considéré comme organisation juridique de la société se veut « neutre » et bon pour toutes les nations, car cet État défend des « valeurs » et cherche à favoriser l’épanouissement des individus et des familles. Dans cette perspective impérialiste et fédéraliste, les nations minoritaires devraient se limiter à la défense des « valeurs » et non des « nations-États ». Elles ne devraient surtout pas « diviniser » l’« État ». Ce n’est pas un absolu ! Tel est le jeu constant pratiqué par l’État canadian envers ses minorités. Les indépendantistes ne doivent pas s’illusionner.
Bref, pour les fédéralistes, la communauté porteuse de la nation québécoise ne doit pas mettre l’accent sur l’État. Cette nation peut tout au plus s’affirmer comme une nation au sens sociologique, culturel surtout ; elle ne devrait pas trop non plus voir l’idée d’« économie politique » se changer en « économie nationale ». Finalement, le vase de l’autonomie provinciale ne doit jamais déborder au-delà des paramètres fédératifs liés à toute nation annexée, c'est-à-dire à toute nation en état de subordination de superposition. Juridiquement et structurellement et avec en plus la capacité de dépenser du fédéral, L’ÉTAT PROVINCIAL des Québécois est englobé dans un système souverain dominé par une autre collectivité. C’est ce qui s’appelle L’ANNEXION POLITIQUE. Telle est l’essence même du fédéralisme.
Notre élite politique québécoise et canadienne a assez parlé de trop de sujets accessoires et trop peu de l’indépendance. DÉSORMAIS, LE DISCOURS INDÉPENDANTISTE DOIT MAINTENANT SUIVRE UN CHEMINEMENT PRATIQUE. Si les souverainistes péquistes, bloquistes, « purs et durs », solidaires, lucides et autres nationalistes… de ce monde veulent vraiment L’INDÉPENDANCE DU QUÉBEC, le réalisme politique leur impose une transformation radicale de la posture du camp souverainiste traditionnel. Ils doivent s’organiser de manière à agir efficacement en ordre avec des idées claires.
L’ACTION DOIT ÊTRE ORGANISÉE PAR-DELÀ LES PARTIS POLITIQUES.
Bruno Deshaies
http://blogscienceshumaines.blogspot.com/
Chronique 274
Occupez-vous d'indépendance !
Message aux souverainistes péquistes, bloquistes, « purs et durs », solidaires, lucides et autres nationalistes… de ce monde
Chronique de Bruno Deshaies
Bruno Deshaies209 articles
BRUNO DESHAIES est né à Montréal. Il est marié et père de trois enfants. Il a demeuré à Québec de nombreuses années, puis il est revenu à Montréal en 2002. Il continue à publier sa chronique sur le site Internet Vigile.net. Il est un spécialiste de la pen...
Cliquer ici pour plus d'information
BRUNO DESHAIES est né à Montréal. Il est marié et père de trois enfants. Il a demeuré à Québec de nombreuses années, puis il est revenu à Montréal en 2002. Il continue à publier sa chronique sur le site Internet Vigile.net. Il est un spécialiste de la pensée de Maurice Séguin. Vous trouverez son cours sur Les Normes (1961-1962) à l’adresse Internet qui suit : http://www.vigile.net/Les-normes-en-histoire-1-20 (N. B. Exceptionnellement, la numéro 5 est à l’adresse suivante : http://www.vigile.net/Les-Normes-en-histoire, la16 à l’adresse qui suit : http://www.vigile.net/Les-normes-en-histoire-15-20,18580 ) et les quatre chroniques supplémentaires : 21 : http://www.vigile.net/Les-normes-en-histoire-Chronique 22 : http://www.vigile.net/Les-normes-en-histoire-Chronique,19364 23 : http://www.vigile.net/Les-normes-en-histoire-Chronique,19509 24 et fin http://www.vigile.net/Les-normes-en-histoire-Chronique,19636 ainsi que son Histoire des deux Canadas (1961-62) : Le PREMIER CANADA http://www.vigile.net/Le-premier-Canada-1-5 et le DEUXIÈME CANADA : http://www.vigile.net/Le-deuxieme-Canada-1-29 et un supplément http://www.vigile.net/Le-Canada-actuel-30
REM. : Pour toutes les chroniques numérotées mentionnées supra ainsi : 1-20, 1-5 et 1-29, il suffit de modifier le chiffre 1 par un autre chiffre, par ex. 2, 3, 4, pour qu’elles deviennent 2-20 ou 3-5 ou 4-29, etc. selon le nombre de chroniques jusqu’à la limite de chaque série. Il est obligatoire d’effectuer le changement directement sur l’adresse qui se trouve dans la fenêtre où l’hyperlien apparaît dans l’Internet. Par exemple : http://www.vigile.net/Les-normes-en-histoire-1-20 Vous devez vous rendre d’abord à la première adresse dans l’Internet (1-20). Ensuite, dans la fenêtre d’adresse Internet, vous modifier directement le chiffre pour accéder à une autre chronique, ainsi http://www.vigile.net/Le-deuxieme-Canada-10-29 La chronique devient (10-29).
Vous pouvez aussi consulter une série de chroniques consacrée à l’enseignement de l’histoire au Québec. Il suffit de se rendre à l’INDEX 1999 à 2004 : http://www.archives.vigile.net/ds-deshaies/index2.html Voir dans liste les chroniques numérotées 90, 128, 130, 155, 158, 160, 176 à 188, 191, 192 et « Le passé devient notre présent » sur la page d’appel de l’INDEX des chroniques de Bruno Deshaies (col. de gauche).
Finalement, il y a une série intitulée « POSITION ». Voir les chroniques numérotées 101, 104, 108 À 111, 119, 132 à 135, 152, 154, 159, 161, 163, 166 et 167.
Laissez un commentaire Votre adresse courriel ne sera pas publiée.
Veuillez vous connecter afin de laisser un commentaire.
5 commentaires
Bruno Deshaies Répondre
12 août 20152015-08-12 09:15
Malheureusement, une erreur informatique a fait que l'hyperlien pour ouvrir «Le Plan schématique...) ne fonctionne pas.
Indépendance et interdépendance : un chemin critique
Le « Plan schématique des treize leçons sur l’indépendance et l’interdépendance » Lire la suite ici :
http://www.rond-point.qc.ca/blog/media/TREIZE-LECONS.graphique-revise-20151.pdf
Bruno Deshaies Répondre
11 août 20152015-08-11 08:57
«Quand on sait QUOI FAIRE, on peut le faire.»
En 2015, les séances de motivation des partisans souverainistes n’atteignent pas le public qui est composé d’enquêteurs et d’enquêtés (cf. «Les indépendantistes-péquistes.»(Consulter les notes 1 et 10 sur le fonctionnement de la démocratie).
En 2015, le public s’attend à plus que des incantations sociologiques sur la société québécoise. Pomper la motivation collective sans mettre de contenu précis sur l’indépendance politique du Québec ne conduit nulle part sinon dans le statu quo ante.
Indépendance et interdépendance : un chemin critique
Le « Plan schématique des treize leçons sur l’indépendance et l’interdépendance» propose «un chemin critique» qui entraînerait «Une décision finale et irréversible». Le Plan se présente en trois temps : Leçon -A- Prendre position d’abord ; Leçon -D- Une décision finale et irréversible, puis la Leçon -M- L'ouverture sur le monde passe par la présence au monde. Dans cette veine, je reprendrais cette idée d’Edgar Morin :
Les Québécois voudraient bien avoir la foi dans les principes qui sous-tendent la position des indépendantistes québécois mais, en retour, ils aimeraient connaître si ceux-ci ont fait le choix entre la séparation et l’annexion permanente. Dans ce cas, le concept d’État-Nation doit être vu dans le sens de la définition de la nation possédant son self-goverment complet (à l’interne et à l’externe). Foin du «souverainisme pessimiste» qu’on voudrait en ce moment nous affubler.
L’approche que nous proposons met l’accent sur ce que c'est une NATION INDÉPENDANTE (par opposition à une NATION ANNEXÉE ou un État-nation fédéré). L'indépendance signifie la capacité d'agir (par soi) collectif. Tel est le principe de l'INDÉPENDANCE NATIONALE qui s’applique à la nationalité qui jouit de sa pleine autodétermination comme société nationale dans le monde, mais distinct de lui. Par conséquent, la question est fondamentalement POLITIQUE. C'est la fin-en-vue que le public québécois doit finir par concevoir collectivement et garder à l'esprit pour déterminer ses actions. Il faut ouvrir cette porte de l'optique indépendantiste afin de mettre au monde un Québec indépendant. La souveraineté populaire supportée par un public actif parviendrait à en garantir sa réalisation pratique et concrète.
Quand on sait quoi faire, on peut le faire.
Archives de Vigile Répondre
2 février 2007Message aux souverainistes...
J'aimerais compléter le portrait de cette discussion avec la Tribune librede madame Ferretti du 30 janvier où elle s'exprimait sur la nécessité d'un regroupement des indépendantistes. Voici un extrait qui reflète son expérience politique.
L’avènement de l’indépendance, écrit-elle, dépend moins que jamais d’une prise du pouvoir par le Parti québécois, en son état passé et actuel.
Peut-être, pouvons-nous encore espérer que tous les indépendantistes s’en emparent pour le transformer radicalement, sans souci d’une prochaine prise du pouvoir, animés par la seule volonté de mobiliser le peuple québécois dans une véritable lutte de libération nationale. Mais je crains que cette réorientation radicale ne s’avère impossible.
Peut-être, devons-nous, d’ores et déjà, nous regrouper afin de nous donner une nouvelle puissance de combat. (Fin de la citation)
Il est aujourd'hui évident que l'indépendance du Québec ne peut se réaliser sans la création d'un MOUVEMENT qui parviendra à imposer son agenda à la classe politique et aux partis politique en place. En ce moment, la lutte politique est trop drainée par l'ordre social, or que la question à défendre est nationale.
Les indépendantistes doivent apprendre à défendre l'optique indépendanctiste contre l'optique fédéralisme. Pour y parvenir, il faut un regroupement des ressources humaines, financières et organisationnelles.
Bruno Deshaies
P.-S. Lire la Tribune libre de madame Adrée Ferretti du 30 janvier 2007.
Archives de Vigile Répondre
1 février 2007Monsieur Thaïs Potvin,
Votre message rejoint à sa façon l'opinion de madame Claire Lapointe de Yamachiche exprimée ce jour dans Le Nouvelliste. Celle-ci rappelle à la fin de son texte les faits suivants :
« Le Rapport Allaire, la Commission Bélanger-Campeau, la Loi 150, ça vous dit quelque chose ? Il faudrait avancer à un moment donné et apprendre avec les années. Y a-t-il un chef dans la salle? »
En fait, elle s'adresse à tous les chefs politiques du Québec. À mon avis, elle exprime donc le désir qu'un MOUVEMENTprenne acte des événements passés que nous ne devons pas oublier. Ces expériences historiques sont précieuses. Mais il faudrait mettre en place une organisation efficace de diffusion de l'indépendance.
L'histoire à venir s'écrit aujourd'hui. Il importe de prendre la direction de l'indépendance de façon claire et en connaissance de cause. La grande difficulté consiste à transmettre cette volonté d'indépendance au plus grand nombre de Québécoises et de Québécois. C'est pourquoi il faut activer et animer le « MOUVEMENT ».
Mes salutations.
Bruno Deshaies
P.S. Lire l'opinion de Claire Lapointe :
Archives de Vigile Répondre
1 février 2007Merci Monsieur Deshaies.
Votre message correspond à ma pensée que vous savez traduire bien mieux que moi.
Je prie pour que votre texte soit publié dans La Presse, dans Le Devoir et dans le journal de Mtl, pourquoi pas. Il saurait donner du courage à tous ces militants qui veulent travailler à convaincre leur entourage, mais qui ont besoin d'entendre parler d'indépendance pour reprendre un nouveau souffle., une nouvelle inspiration.
Merci
Thaïs Potvin