Alain Dubuc s'acharne délibérément à noircir le tableau de l'économie québécoise pour des raisons politiques. Or la situation est bien moins mauvaise qu'il ne la décrit comme en font foi des témoignages d'acteurs importants du milieu cités aujourd'hui dans La Presse ou même une comparaison Ontario/Toronto/Ottawa et Québec/Montréal/Québec des dernières statistiques de chômage