Couillard rattrapé par son inaction
MUL-TI-CUL-TU-RA-LIS-ME
Allez M. le premier ministre! Un peu de courage! N’en êtes-vous donc pas capable? Ayez le courage de nommer les choses : le MUL-TI-CUL-TU-RA-LIS-ME.
Couillard rattrapé par son inaction
Allez M. le premier ministre! Un peu de courage! N’en êtes-vous donc pas capable? Ayez le courage de nommer les choses : le MUL-TI-CUL-TU-RA-LIS-ME.
Les conclusions de Bouchard-Taylor apparaissent aujourd'hui comme « xénophobes »
Finalement, il y a un cas. Une jeune femme portant un hijab étudie en techniques policières et annonce sa ferme intention de porter encore ce signe religieux lorsqu’elle exercera son métier.
« Vos futurs collègues ne se promènent pas avec un macaron à l’effigie du PQ, de la CAQ, de QS ou du PLQ. »
Madame Sondos Lamrhari, Je ne vous connais pas. Mais j’apprends dans le Journal ce matin que vous rêvez de devenir policière (c’est formidable) tout en étant voilée (c’est confrontant).
Lisée a raison : la France vient d'interdire le port de signes religieux dans l'Assemblée nationale
Jean-François Lisée compare le droit à porter l'épinglette du Parti québécois à l’Assemblée nationale, une pratique interdite, et le port de la kippa par le député David Birnbaum lors d’une commémoration de l'holocauste.
Et c'est parti : soudainement, une jeune voilée veut devenir policière
Convaincue qu'elle veut devenir policière, mais tout aussi persuadée de vouloir garder son hijab. Malgré le débat en cours, la première étudiante voilée en techniques policières du Québec est prête à tout pour exercer son futur métier.
L'intégration ne consiste pas à afficher son prosélytisme religieux lorsque l'on représente l'État
La ministre de la Justice, Stéphanie Vallée, incite les corps policiers à accommoder la jeune Sondos Lamhari, une étudiante en techniques policières qui porte le hijab.
Le business victimaire prend des proportions folles
Dès qu’il est question de discrimination, notre société perd la tête. Elle veut voir du racisme ou du sexisme partout et ne cesse de s’imaginer qu’elle persécute les minorités.
Réjean Parent se trompe : les enjeux identitaires doivent être au centre de la campagne de 2018
Le débat ravivé sur le port de signes religieux par des représentants de l’État au pouvoir coercitif risque, comme d’habitude, de finir en queue de poisson. Tant et aussi longtemps que nous refuserons de définir et d’affirmer les valeurs de la société québécoise, les soubresauts identitaires ne pourront qu’accentuer les tensions communautaristes et miner le vivre ensemble.
Couillard confond la gestion des affaires courantes et la politique
Hier, je vous rapportais les paroles troublantes de Philippe Couillard en lien avec le retour du dossier des signes religieux. Jugeant cette question comme un enjeu carrément «imaginaire», le premier ministre concluait sa sortie sur ces mots choquants : «On va maintenant de l’avant avec les véritables enjeux - les véritables enjeux des véritables citoyens du Québec».
Houda-Pepin a les yeux bouchés : le débat sur l'identité et la laïcité est le même, soit sortir du multiculturalisme canadien
Les dérives de ce débat sur la laïcité, qui n’en finit plus de s’embourber dans les signes religieux, sont avant tout l’illustration de la démission d’une certaine élite politique qui s’est enlisée dans les tactiques et stratégies au détriment du bien commun.
Clause dérogatoire et indépendance : les deux solutions pour sortir du multiculturalisme
J’imagine que je ne suis pas la seule à avoir roulé les yeux devant cette nouvelle dispute autour du port du voile dans les corps de police. Encore une fois, personne ne veut prendre la balle. Tout le monde se pointe pour identifier le responsable, mais, nous le savons tous, la responsabilité revient au gouvernement qui depuis quatre ans refuse de prendre ses responsabilités.
Le cafouillage des libéraux sur la question religieuse
Le gouvernement du Québec n’a pas interjeté appel d’une décision invalidant l’article charnière de sa loi sur la neutralité religieuse, pas plus qu’il n’a envoyé, six mois après son adoption, les lignes directrices qui pourraient permettre sa mise en application.
« [...] Convaincre le peuple de faire l’indépendance : chez nous, nos lois. »
Justin Trudeau trouve que des policiers du SPVM portant le turban ou le hijab, ce serait formidable. Mon espion à Ottawa me dit qu’il trouve cela tellement formidable qu’il meurt d’envie de se déguiser en policière portant un hijab et de faux seins.
Multiculturalisme : le modèle anglo-saxon ne doit pas prévaloir au Québec
La question du port de symboles religieux dans la vie civique est un légitime débat de société. Doit-on tolérer le port de symboles religieux par des enseignants, des médecins, des représentants du gouvernement dans l’exercice de leurs fonctions ? Le débat n’est pas encore clos.
L'entrisme islamiste dans la politique québécoise
Avant-hier, Le Devoir consacrait un papier incroyablement louangeur, presque une infopub, à Eve Torres, une militante que plusieurs jugent islamiste, mais qui cherche à se faire passer pour féministe. Elle sera candidate pour Québec solidaire.
La candidate voilée : « Or, oublie-t-elle que le PQ et la CAQ représentent en fait la quasi-totalité des électeurs canadiens-français du Québec ? »
Cette semaine a été riche en événements qui sont autant de chocs annonciateurs de notre inquiétant avenir. D’abord, le flux de demandeurs d’asile à notre frontière a repris de plus belle. Durant l’été prochain, il faut s’attendre à voir de nouveau arriver illégalement des milliers de personnes remontant depuis l’Amérique centrale ou à partir des États-Unis. Ils ont en mémoire le tweet de Justin Trudeau : « À ceux qui fuient la persécution, la terreur, la guerre, les Canadiens vous souhaitent la bienvenue. »
Les Québécois sont pour l'interdiction des signes religieux pour les personnes en position d'autorité
Débusquer les fausses nouvelles, vérifier les déclarations des politiciens, trouver les vrais chiffres : les recherchistes de notre Bureau d’enquête, basées à Montréal, Québec et Ottawa, sont des expertes dans l’art de rétablir les faits. Chaque samedi, elles vous présentent leurs trouvailles pour vous permettre d’y voir plus clair dans l’actualité de la semaine.
Couillard, valet du multiculturalisme canadien
Interdire aux policiers de porter un hijab ou un turban n’est pas légal, selon Philippe Couillard. Le premier ministre a lancé cet avertissement à son rival François Legault, dans une entrevue accordée jeudi au FM93.
Accommodements religieux : les libéraux se soumettent au cas par cas
Philippe Couillard a pelleté rapidement la question du port des signes religieux par les « agents de la paix » dans la cour de Valérie Plante et de son chef de police (par intérim).
La prochaine élection se fera sur le thème de l'identité nationale
Les policiers devraient-ils avoir le droit d’afficher de façon ostentatoire leurs convictions religieuses? La question refait surface depuis que le conseiller municipal de Montréal Marvin Rotrand a exhorté la mairesse de trancher cette question.
Pour imposer la neutralité religieuse des agents de l'État, il faudra utiliser la clause dérogatoire
Qu’on se le dise. Tant et aussi longtemps que les Québécois n’auront pas une ou un premier ministre suffisamment visionnaire et responsable pour parrainer une politique de laïcité consensuelle, ce débat est condamné à tourner pitoyablement en rond.
L'antiracisme devenu fou !
L'entreprise de lingerie et maillots de bain La Vie en rose devra payer 5000 $ à un homme qui, lors d'une entrevue d'embauche, s'est fait demander "quelle est l'origine de votre nom?"
Il n'y aura aucune laïcité tant que le Québec demeurera dans le Canada
L’Espagnol Don Quichotte, obsédé par les exploits des braves chevaliers au point de combattre des moulins à vent qu’il prenait pour des géants maléfiques, était, au fond, un Québécois.
La prochaine campagne électorale se fera sur l'identité nationale
Comme si la prochaine campagne électorale ne s’annonçait pas suffisamment mouvementée, le conseiller de l’arrondissement de Snowdon, Marvin Rotrand, semble vouloir y ajouter du piquant.
Qui saura le plus tirer profit du ras-le-bol des Québécois ?
Tant la Coalition Avenir Québec (CAQ) que le Parti québécois (PQ) sont opposés à l'idée d'autoriser le port de signes religieux chez les corps policiers. Ce débat a refait surface mardi quand un élu montréalais, Marvin Rotrand, a dit souhaiter que le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) autorise ses agents à porter des signes religieux, comme le turban ou le hijab.
Les libéraux appuient l'idée, le PQ et la CAQ s'y opposent
Le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) ne devrait pas pouvoir permettre à ses employés de porter le hijab ou le turban, ont affirmé mercredi le Parti québécois et la Coalition avenir Québec.
Levée de boucliers contre les signes religieux au SPVM
À Montréal, le conseiller municipal Marvin Rotrand a aujourd’hui demandé que le turban et le hijab soient intégrés à l’uniforme réglementaire du Service de police de la ville de Montréal (SPVM). La mairesse Valérie Plante a ensuite annoncé son ouverture vis-à-vis de l’idée.
Les Québécois veulent une assimilation culturelle des nouveaux arrivants
Il n’aura pas fallu beaucoup de temps à Valérie Plante, la mairesse de Montréal, pour se montrer favorable à la proposition de Marvin Rotrand qui veut voir le SPVM s’ouvrir aux signes religieux ostentatoire. En gros, il veut qu’un policier montréalais puisse arborer un turban sikh et une policière un hidjab. Certains sont surpris: ils voulaient tellement admirer Valérie Plante qu’ils ne l’imaginaient pas se soumettre ainsi au dogme du multiculturalisme canadien.
Les multiculturalistes passent à l'attaque
Ainsi, la mairesse de Montréal Valérie Plante s’est montrée « très ouverte » à ce que le SPVM intègre le hijab et le turban dans l’uniforme réglementaire de ses agents. Wow. Hâte de voir le jour où une policière qui porte un hijab va arrêter un juif qui porte une kippa.
Les conséquences de la défaite de 2014 : il n'y pas d'encadrement des accommodements
Un conseiller de Montréal, Marvin Rotrand, exhorte le Service de police de Montréal de changer ses règles afin de permettre aux policiers de porter le hidjab et le turban.