Le conflit Grèce/Allemagne s'envenime
Athens threatens to seize German assets over WWII reparations
La Grèce menace de saisir des avoirs allemands dans le but de compenser des les familles de victimes de guerres.
Le conflit Grèce/Allemagne s'envenime
La Grèce menace de saisir des avoirs allemands dans le but de compenser des les familles de victimes de guerres.
Le délire européen
L'Union européenne a besoin de sa propre armée face à la Russie et aux autres menaces, estime le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, dans une interview au journal allemand Welt am Sonntag.
L'agonie de la Grèce va durer encore quelques mois
Dans une époque d’illettrisme économique des gouvernements, le dernier exemple de la «méthode Coué» de la caste gouvernementale européenne a conduit à une satisfaction politique ignorant les réalités économiques et permettant à des politiciens dont les programmes sont voués à l’échec de bêler leur victoire.
Le génocide économique
Tous les reportages et les témoignages attestent que les exigences de la Troïka ont provoqué une catastrophe humanitaire en Grèce. Les diktats de cette Troïka ont été imposés par des technocrates sans légitimité démocratique, et souvent en violation avec la législation internationale en vigueur. Le soutien au peuple grec justifie que l'on se batte pour que ces fauteurs de misères soient poursuivis et jugés.
«Les États-Unis anticipent l'éclatement de l'Union Européenne»
Préparer sa sortie
L’accord conclu le vendredi 20 février entre la Grèce et l’Eurogroupe suscite des commentaires contradictoires. Il faut, pour comprendre cet accord, et pour l’analyser, en resituer le contexte, à la fois dans le court et dans le long terme.
Les tensions deviennent de plus en plus fortes
L’accord Minsk 2.0 montre de facto que les deux grandes puissances européennes que sont l’Allemagne et la France cherchent à rompre avec le projet de semer le chaos des USA.
Le camp des pressés
L’homme qui avait ôté le drapeau nazi de l’Acropole en 1941 s’estime déjà trahi par le gouvernement grec. Il appelle à refuser le compromis et demande aux militants de décider.
L'Allemagne tend à la Grèce la corde pour se pendre
Les réformes proposées par la Grèce devront être acceptées par les créditeurs européens d'ici lundi sous menace d'une retour à la case départ.
L’Europe va-t-elle desserrer l’étau de la rigueur qui étouffe le peuple grec?
Mais l’Eurogroupe saura-t-il se satisfaire d’une demande de prolongation du financement qui serait non contraignante pour la Grèce anti-austérité?
Athènes déposera finalement jeudi sa demande de prolongation du financement européen, affichant son optimisme même si le bras de fer en cours avec ses créanciers internationaux a réveillé les craintes d’une sortie du pays de la zone euro.
L'Eurogroupe laisse une semaine à la Grèce pour accepter l'esclavagisme économique
Les ministres des Finances de la zone euro se sont quittés prématurément lundi soir, après le refus de la Grèce d'accepter les conditions fixées par ses partenaires européens pour poursuivre le programme d'assistance. La balle est maintenant dans le camp de la Grèce, selon Dijsselbloem, président de l'Eurogroupe.
La posture philosophique de la Grèce
«Certains m'accuseront de manipulation, voire même de mensonge. Rien de pourrait être plus loin de la vérité.»
La guerre a commencé!
Sur la Toile sont apparues des photos compromettantes pour Merkel, indiquant qu’autrefois elle passait du temps avec les néonazis
Semaine critique pour la Grèce
GRÈCE
Le premier ministre grec Alexis Tsipras a assuré dimanche soir qu’il tiendrait toutes ses promesses électorales et a réclamé une nouvelle fois un programme relais à l’UE, à quelques jours de réunions cruciales sur la dette du pays.
Voilà, c'est dit ! La suite ne devrait plus tarder à moins qu'elle ne mue en lente agonie
La Grèce devra tôt ou tard sortir de la zone euro, a estimé dimanche l'ancien président de la banque centrale américaine Alan Greenspan.
Il n'y va pas de main morte
Si la Grèce est contrainte à sortir de la zone euro, d'autres pays suivront inévitablement et le bloc de la monnaie s'effondrera, a déclaré dimanche le ministre grec des finances Yanis Varoufakis.
Concentration de moyens militaires en Méditerranée
Chypre proposera à Moscou de déployer une base militaire sur le territoire de l'île, a annoncé dimanche le président chypriote Nikos Anastasiadis.
Les Grecs vont-ils pouvoir se tenir debout ?
«Je voudrais le dire encore une fois pour que tous puissent mieux comprendre. La République hellénique ne vise ni à faire chanter ni à menacer personne. Mais plus que cela, on ne peut pas exercer de chantage sur la démocratie en Grèce. Parce qu’on ne peut pas exercer de chantage sur l’Europe entière ».
Le scénario catastrophique prend forme
Après la décision de la BCE, que peut faire la... by lemondefr
Zone euro : légitimité technocratique contre légitimité démocratique
La Banque Centrale Européenne vient de choisir son camp, et c’est – qui s’en étonnera – celui de l’Allemagne. Par la mesure qu’elle vient de prendre contre la Grèce, elle envoie un signal très clair au nouveau gouvernement : restez dans le cadre du plan d’aide décidé par la « Troïka ». Mais, elle vient de déclencher un processus qui peut aboutir à l’inverse de ce qu’elle recherche.
La logique de l'affrontement
L’actuel ministre grec des Finances indiquait déjà fin 2014 qu’un gouvernement mené par Syriza devrait s’attendre à des menaces de la BCE.
«Tes bébelles, pis dans ta cour !»
Concernant la Grèce et son nouveau gouvernement Tsipras, on pourrait dire que l’Allemagne grommelle, bougonne, pas franchement de la meilleure humeur. L’idée de l’Allemagne, c’est que l’“aide” allemande (pardon, européenne) dispensée à la Grèce et la troïka installée à sa tête, qui doivent beaucoup à sa stratégie (l’allemande) à la fois imaginative et inspiratrice de la marche au pas, devaient suffire à montrer la bonne voie à ce pays (la Grèce).
Bluff et contre-bluff
Syrisa a remporté la victoire aux élections grecques le 25 janvier. Peu de temps s’est écoulé, et pourtant on peut commencer à prendre un certain recul devant l’événement. Après une semaine d’étonnement devant un gouvernement qui applique son programme (et qui tient ses promesse, ce qui change…), après avoir pris acte des premiers gestes politiques de l’équipe d’Alexis Tsipras (et de son nouveau ministe des finances), après avoir remisé la « Troïka », soit l’alliance du FMI, de la Banque Centrale Européenne et de la Commission Européenne, au rayon des accessoires surannés[1], il convient de s’interroger sur la stratégie de Syriza.
Le système est déjà mort
Voilà la grande ligne diplomatique et politique de notre pays, la grande vision de nos mamamouchis franchouillards pour l’avenir de l’Europe ! Lol de lol de re-lol comme disent les jeunes qui se « lol » de tout (ça veut dire beaucoup de rigolade ou un truc comme ça). En tant que bons socialos incapables de recevoir Syriza il y a deux ans, il ne faudrait pas passer pour des crétins en étant vilains avec ces pauvres Grecs…
Les événements se précipitent en Europe dans la foulée de l'élection du nouveau gouvernement grec
February 28 Is Now D-Day For Greece
Les autorités financières européennes menacent d'imposer des sanctions à la Grèce si elle ne parvient pas à une stratégie de gestion de sa dette d'ici le 28 février.
Ça promet pour les prochaines élections espagnoles
Espagne
Des dizaines de milliers de personnes proches du parti d'extrême-gauche espagnol Podemos (Nous pouvons) manifestaient samedi dans les rues de Madrid contre l'austérité.
À peine élu, déjà les grands mots
Lors du premier conseil des ministres de son gouvernement, le nouveau Premier ministre grec Alexis Tsipras a rappelé que les électeurs lui avaient confié un mandat pour mener des changements radicaux et rétablir la souveraineté et la dignité de la Grèce, tout en voulant éviter un "affrontement destructeur" avec les créanciers d'Athènes.
Tiens donc ! Carney donne raison à Tsipras
Marc Carney affirme que la zone euro est prise dans un cycle vicieux face à sa dette et qu'elle devrait ainsi donc alléger ses mesures d'austérité. Le tout à peine quelques jours après l'élection de Syriza en Grèce.
Les paris sont ouverts
Ça commence très fort ! Le moment de grâce électorale de Syriza aura été très très court. Dès ce lundi matin, c’est une fin de non-recevoir brutale qu’auront opposée les autorités européennes aux propositions de négociations sur la dette grecque émises par Alexis Tsipras au soir de sa victoire électorale historique.
Fortes tensions en perspective avant la rupture, désormais inévitable
Syriza a donc vaincu et obtient 149 sièges. Alexis Tsipras, son charismatique dirigeant, est le grand triomphateur des élections de ce dimanche 25 janvier. Beaucoup de gens se sont réjouis, dont chez certains avec une impudeur outrancière. On a vu ainsi des dirigeants du PS français, n’est-ce pas MM. Cambadélis et Désir, qui il y a deux ans encore établissaient un véritable blocus à l’égard de Syriza voler au secours de la victoire.