On se rend compte qu'il existe actuellement un grave problème de refus d'intégration chez une frange de plus en plus large d'immigrants multiethniques non-occidentaux, en général ceux qui vivent en communauté hermétique qui cherche à reproduire son mode de vie d'origine. Cette sorte d'immigration mal sélectionnée est une menace réelle à nos acquis et doit être mise au pas énergiquement.
À lire: Comment distinguer les bons des mauvais immigrants?
Des groupes d'immigrés indésirables rejettent nos lois et les contestent judiciairement
Pour prouver leur mauvaise foi, ces étrangers qui veulent le rester ont entrepris de contester systématiquement toutes les lois québécoises approuvées par la population native conçues pour la protéger en tant que nation fondatrice.
Il suffit de penser à la loi 101 faisant du français la langue d'usage, la loi 21 assurant la laïcité de l'État et de son personnel.
À lire: La loi québécoise sur la laïcité doit être élargie
Projet de loi 84 sur l'intégration nationale
De plus, le nouveau projet de loi 84 sur l'intégration nationale piloté par le ministre Jean-François Roberge n'est même pas encore adopté que des organisations anti-québécoises et pro-ethniques comme la fumeuse Ligue des droits et libertés ont annoncé qu'ils entendent la faire dérailler. Une telle attitude antagoniste est condamnable et indigne. Cette organisation et ses semblables qui se veulent si vertueuses favorisent les minorités religieuses et ethniques non nées ici à notre détriment et doivent être déboutées.
À lire: Plusieurs lois québécoises adoptées pour combattre des pratiques religieuses inacceptables
Le modèle assimilationniste est tout indiqué
Pour toutes ces raisons, il conviendrait d'adopter un modèle de gestion des immigrants éprouvé, le modèle assimilationniste. C'est un modèle par lequel le groupe majoritaire fait en sorte que pour leur bien les nouveaux arrivants adhèrent à sa culture et délaissent la leur dont on ne veut pas entendre parler. Il impose ses valeurs supérieures et non négociables aux nouveaux arrivants qui doivent prendre l'engagement officiel d'adopter nos moeurs et coutumes, et d'abandonner toutes celles qu'ils apportent et qui sont irrecevables et représentent un vecteur de recul sociétal assuré. Ce modèle assimilationniste devient ainsi la base du vivre-ensemble applicable à tous sans exception.
À lire: La mentalité islamique, tout aussi condamnable que la religion islamique
Il serait destructeur de laisser les pays arriérés du tiers-monde primitif nous contaminer, au sens propre (recrudescence de maladies contagieuses dont ils sont infectés à l'arrivée) comme au sens figuré (par exemple de scandaleuses pratiques comme les mariages arrangés et forcés chez les hindous établis ici, ou le voilement islamique forcé des femmes musulmanes).
À lire: Accentuons la spécificité québécoise par des lois différentes du Canada pour s’en démarquer
Nos valeurs doivent l'emporter sur les leurs
L'objectif louable d'un gouvernement, c'est de faire en sorte que le système d'éducation valorise nos valeurs les plus élevées, en proposant des comportements, des attitudes, des règles de vie à la fois aux élèves et à l'ensemble du personnel enseignant.
À lire: Quelles sont les valeurs québécoises?
Un aspect intéressant de l'enseignement serait de démontrer en classe pourquoi les valeurs étrangères sont à combattre ici, afin que les enfants d'immigrés voient tout ce qu'il y a de fautif dans leur culture, leurs pays d'origine et qu'ils se sentent visés. Et si ces élèves venus d'ailleurs peuvent à leur tour contester leurs parents et leur mentalité répréhensible, ce sera un pas dans la bonne direction pour que notre société ne tombe pas entre leurs mains.
Le projet de loi 84 à l'étude
Rappelons que le projet de loi 84 si prometteur du ministre Jean-François Roberge entend proscrire entre autres le voile intégral des établissements d’enseignement, incluant chez les élèves, et étendre l’interdiction du port de signes religieux à tous les futurs membres du personnel des écoles, incluant les éducatrices en service de garde. C'est un minimum.
À lire: Le projet de loi 84 sur l'intégration nationale au Québec On émigre au Québec pour y vivre à la québécoise, ou on ne vient pas
Cégep et université
On lit que cette interdiction bénéfique devrait être étendue au niveau Cégep. Idéalement, il faudrait l'étendre aux universités.
Pour y arriver, un simple amendement à la loi actuelle suffirait pour retirer le droit acquis du port de signes religieux à ceux qui sont déjà en fonction, un point faible regrettable de la loi 21. L'entourage de ces étrangers récalcitrants et nuisibles qui donnent le mauvais exemple devrait leur mener la vie dure jusqu'à ce qu'ils se conforment ou démissionnent, pour aller ultimement sévir dans une autre province.
À lire: Non à une société pluraliste au Québec
Même dans l'espace public
L’interdiction du port de signes religieux devrait éventuellement s'étendre à tout l'espace public. La religion relève du domaine du privé et du lieu de culte, pas ailleurs.
À lire: La prière islamique de rue doit être interdite partout au Québec
Bien entendu, au Québec, on accepte que tous les signes de notre religion soient conservés ; on est chez nous après tout. C'est notre patrimoine, notre héritage, c'est notre religion, qu'on soit pratiquant ou non, qui encadre encore notre conception du bien et du mal pour la plupart d'entre nous. On garde tout ce qui est à nous, et on ne cède jamais rien aux étrangers. C'est la meilleure attitude pour se faire respecter. Il faut qu'ils sachent c'est qui mène ici -certainement pas eux.
À lire: Au nom de quoi le Québec devrait-il être si inclusif? Ceux qui répondent ou pas à nos critères: 27 catégories
Conclusion
On n'a certainement pas besoin de se faire encercler par des communautés multiethniques ouvertement antagonistes qui ont entrepris de nous déciviliser par tous les moyens et de s'imposer contre notre volonté collective.
Tous les immigrants ont le devoir d'adopter nos usages, que cela leur convienne ou non. Un tel engagement officiel et écrit devrait même faire partie des conditions d'admission.
L'alternative: quitter.
À lire: Diversitaire ou identitaire? Mais, identitaire, voyons!
Note: cliquez sur les termes surlignés en bleu pour approfondir davantage votre réflexion sur le sujet
Laissez un commentaire Votre adresse courriel ne sera pas publiée.
Veuillez vous connecter afin de laisser un commentaire.
Aucun commentaire trouvé