<< Le véritable patriote ne connaît point les personnes, il ne connaît que les principes >> Saint-Just
<< Un républicain est toujours plus attaché à sa patrie qu'un sujet à la sienne, par la raison qu'on aime mieux son bien que celui de son maître. >> Voltaire
<< La Suisse est une démocratie directe. Le peuple suisse est souverain et représente la plus haute instance politique du pays. >> Extrait d’un bulletin référendaire : Nous avons le dernier mot
La cartographie des pays évoluant vers le sens commun de l’action patriote-démocratico-républicaine depuis le 1er--2ème mandat présidentiel de Donald J. Trump est imparable en Occident(1). Cette prise de conscience collective est le résultat du Nouvel Ordre Mondial du 45-47 Président des États-Unis, qui continuera à s’affirmer en 2026. L’évolution de cette action patriote-démocratico-républicaine, dont les mass médias mondialistes anti-USA-Trump(2) la qualifient d’extrême droite (sic), est le réveil de la majorité de l’électorat qui s’est fait prendre depuis les années 1990 par la propagande antipatriote de la néo-aristocratie globaliste woke-écolo-socialo-communiste et ses complices financiers prédateurs de fonds publics, des régimes néo-impérialistes anti-occidentaux et des narco-États (Vénézuéla, Colombie, Mexique), narco-États qui seront les prochains pays à faire face au Nouvel Ordre Mondial cité.
Ce bref aperçu fourni par l’IA fait remarquer trois aspects distinctifs ayant entre eux la considération de partager un objectif commun, à savoir que le patriotisme, le républicanisme et la démocratie directe, quand ils font partie et sont appliqués dans un État-de-Droit, le déclin, la corruption, le saccage de biens publics et privés systémiques (taux d’intérêts et inflation des prix indus à des législations confiscatoires), le surendettement de l’État, l’immigration incompatible, la prédation des ressources naturelles, la confiscation financière par les impôts et taxes, le confinement par des moyens totalitaires…, sont inexistants par l’action de ces trois préceptes politiques unitaires du Pouvoir collectif par ce droit immuable de la Démocratie directe : Nous avons le dernier mot :
Le patriotisme est l'amour du pays, tandis que le républicanisme cherche le « bien commun » (la res publica), et la démocratie (directe ou représentative) est la gouvernance par le peuple ; ces concepts se rejoignent dans l'idéal d'une nation où les citoyens, unis par un attachement à leur patrie, participent activement (directement ou via des représentants) à la gestion de la chose publique pour l'intérêt collectif, même si la démocratie directe est difficile à appliquer à grande échelle et que le républicanisme met l'accent sur la loi et la liberté civique.
Le sens commun du patriotisme est un profond attachement sentimental et une fierté envers sa patrie, qui se traduit par la volonté de la défendre, de la promouvoir et de contribuer à son bien-être, souvent basé sur des valeurs partagées comme la liberté, la justice, et l'histoire commune. Il s'agit d'un sentiment d'appartenance et de devoir civique, allant de l'amour pour son pays à l'engagement actif pour son progrès, tout en se distinguant du nationalisme par son aspect plus inclusif et moins agressif envers les autres nations.
Caractéristiques clés
- Amour et fierté : Sentiment positif pour son pays, ses valeurs, sa culture et son histoire.
- Dévouement et sacrifice : Disposition à se battre ou à se dévouer pour les intérêts de la nation.
- Civisme : Participation active à la vie publique, respect des lois et engagement pour le bien commun.
- Valeurs communes : Fondé sur des principes partagés comme la justice, l'égalité et la liberté.
- Contrastes : Souvent opposé au nationalisme, le patriotisme se veut l'amour de son pays plutôt que la haine des autres.
Manifestations courantes
- Participation civique et engagement bénévole.
- Respect des symboles nationaux (hymne, drapeau).
- Soutien mutuel entre citoyens, surtout en temps de crise.
- Défense du pays face à des menaces extérieures.
Une notion nuancée
Il existe des formes variées, allant d'un patriotisme respectueux (confiance) à un patriotisme critique (remise en question pour le bien de la démocratie). Le patriotisme peut être un puissant moteur d'unité et de construction nationale, mais il doit rester ancré dans des valeurs humaines universelles pour éviter de sombrer dans des excès.
En définitive, le peuple québécois sera toujours tributaire aux décisions contraires à ses intérêts nationaux par l’absence de ce trinôme patriotisme, républicanisme et démocratie directe puisque ce manque de Pouvoir suprême collectif fait que des groupes minoritaires organisés par leur appât de gains économiques(3), prébendes et privilèges politiques étant représentés à l’Assemblée Nationale du Québec, à la Chambre des communes, au Sénat, dans des institutions internationales et organismes financés par Ottawa ou par l’État québécois.
Toutefois, la majorité de l’électorat canadien-français a toujours voté contre ceux ayant trahi leur mission politique de défendre et promotionner les intérêts nationaux du Québec. La supercherie politique dont s’est avérée être la CAQ de François Legault depuis 2020 subira le même sort que les partis qui ont trahi leur mandat programmatique proposant ces intérêts nationaux.
Cependant, la majorité francophone de souche ne tiendra plus cette majorité politique décisionnelle jusqu’à 2040 dû à l’effet de la dynamique démographique de l’électorat allophone contraire à 90 % au pouvoir de décider à quelle organisation politique déléguer ce pouvoir décisionnel. En effet, depuis le référendum volé de 1995 la majorité de l’électorat canadien-français à retirer la confiance politique aux partis ayant trahi leur mission d’accomplir leur mandat respectif centré sur ces intérêts nationaux du Québec.
De plus, autre objectif à atteindre sera que tous les biens publics ayant été volés au peuple québécois par des moyens législatifs tronqués ou par des ingénieries financières frauduleuses seront retournés à l’Administration étatique du Québec quand celui-ci aura atteint sa pleine souveraineté nationale.
Jean-Louis Pérez-Martel
____________________
*. Avant-hier, 15 décembre 2025, l’antipatriote et carriériste François Legault, depuis la privatisation de Provigo en 1998, décidée par l’imposteur premier ministre Lucian Bouchard (1996-2001), affirme, ce << nationaliste à temps partiel >>, en entrevue par la connivence fédéraliste de << Radio Cadenas >> afin de continuer avec sa perfide manière de faire peur à l’électorat canadien-français(4) pris en otage depuis le vol du référendum de 1995(5) (90 % de l’électorat allophone est contre la pleine souveraineté du Québec), que : « Les Québécois, ils n’en veulent pas, de la souveraineté. » C’est sur ce constat que mise François Legault en vue des prochaines élections générales, même s'il reconnaît que tout n’est pas mauvais dans l’option référendaire qu’il défendait jadis.
Dans une entrevue accordée au chef d’antenne Patrice Roy, le premier ministre du Québec, qui compte toujours demander un troisième mandat aux Québécois en octobre 2026, a tenu à relativiser les récents sondages, qui lui prédisent un fort vent de face pour l’année à venir. C’est présentement son adversaire du Parti québécois (PQ), Paul St-Pierre Plamondon, qui caracole en tête des intentions de vote.
<< [Les Québécois] n’ont pas encore commencé à se dire : "Est-ce que je veux d’un référendum sur la souveraineté du Québec? " >> estime-t-il. Et la réponse à cette question, selon lui, est claire : << Je suis convaincu qu’il y a une grande majorité de Québécois qui ne va pas voter oui à un référendum. >>
Ainsi, << le PQ ne restera pas au niveau où il est actuellement [dans les sondages] >>, prédit M. Legault. << Les gens vont comprendre que "Paul St-Pierre Plamondon" égale "un référendum dont on ne veut pas". >>
N’empêche, le regain du sentiment identitaire que provoquerait une campagne référendaire n’est pas pour lui déplaire. << Un référendum, ce serait bon pour le français >>, avance-t-il. Je l’avoue.
<< Mais ce serait mauvais pour l’économie >>, nuance-t-il aussitôt, prédisant << une période de quatre ans d’incertitude qui ferait mal >> en cas de victoire du PQ.
<< Je ne veux pas qu’il y ait de référendum. Oui, ce serait bon pour le français. Mais ce serait mauvais pour l’économie. Et de toute façon, on le perdrait! >> -- François Legault, premier ministre du Québec
François Legault, ancien ministre péquiste, en viendrait-il à militer pour le camp du « non » advenant une campagne référendaire? << Je ne réponds pas à des questions hypothétiques >>, rétorque simplement le premier ministre. << On sait que la majorité va voter contre. >>
(…).
Legault : « Un référendum serait bon pour le français, mais mauvais pour l’économie »
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2214224/francois-legault-entrevue-patrice-roy-referendum
Les Québécois sont surendettés: 37% d'entre eux vivent de paie en paie | Une époque formidable ⚖
https://www.youtube.com/watch?v=oYCHv1ZeE94
Hallucinant qu’il continue avec les mêmes manipulations quand les sondés ne veulent plus de lui comme gouvernant qui a trahi la majorité des Canadiens Français…
François Legault défend son bilan à Tout un matin
Le premier ministre du Québec François Legault était de passage dans les studios montréalais de Tout un matin.
https://ici.radio-canada.ca/info/videos/1-10548725/francois-legault-defend-son-bilan-a-tout-un-matin
De plus, quelle alternative aura François Legault comme premier ministre quand tous les produits fabriqués au Québec exportés aux États-Unis seront soumis aux tarifs douaniers par la cessation du libre commerce stipulé dans l’actuel Accord de libre-échange Canada–États-Unis–Mexique (ACEUM) ? La pleine souveraineté du Québec ainsi que son adhésion étatique aux États-Unis est l’une des solutions la plus viable pour les intérêts nationaux du Québec :
Le libre-échange avec les États-Unis, « c’est terminé », affirme Tiff Macklem
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2214548/tiff-macklem-taux-directeur-tarifs-incertitude
1. Ce sont déjà 6 pays en Amérique Latine ayant délégué leur pouvoir politique à un parti patriote (d’extrême droite, sic), depuis les 2 mandats du Président des États-Unis, contre ceux prônant le socialo-communisme. Le dernier de ces pays est le Chili.
Chili : José Antonio Kast est élu président, l’extrême droite de retour au pouvoir
https://www.youtube.com/watch?v=Lk8BQmcRogE
2. (…). << La BBC, autrefois respectée et aujourd'hui discréditée, a diffamé le président Trump en modifiant intentionnellement, malicieusement et de manière trompeuse son discours dans le but flagrant d'interférer dans l'élection présidentielle de 2024 >>, a dénoncé lundi un porte-parole des avocats du républicain contacté par l'AFP.
<< La BBC a depuis longtemps l'habitude de tromper son public dans sa couverture du président Trump, au service de son programme politique de gauche >>, a-t-il ajouté.
(…).
Trump réclame 10 milliards de dollars à la BBC dans une plainte pour diffamation
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2214267/trump-poursuite-bbc-diffamation
3. En exemple : Emanuel Cabral, le financier impliqué au financement lors de la course de Pablo Rodriguez à la chefferie du PLQ sous enquête criminelle de l’UPAC(6). Autre financier de la mafia politique << libérale canadian >> intéressé à une future privatisation de la SAQ ou à un changement législatif(7) lui permettant de débiliter le monopole de cette société étatique rapportant environ 1,4 milliards (ventes 4,1 milliards) de dollars nets par année à l’État québécois. Veuillez consulter l’information sur ce lien pour saisir comment la trame politico-mafieuse se tise : l'homme d'affaires montréalais Emanuel Cabral
4. Comment le gouvernement de François Legault par son chantage-sabotage politique trahit les intérêts nationaux du Québec
5. Opération citoyenneté: Jean Chrétien refuse de témoigner au comité parlementaire
Ottawa avait accéléré des dizaines de milliers de dossiers de citoyenneté dans les années précédant le référendum
Scandale des commandites https://fr.wikipedia.org/wiki/Scandale_des_commandites
6. Crise au PLQ : chronologie d’une chute
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2214511/crise-parti-liberal-pablo-rodriguez-chronologie-dates
7. Les distillateurs et consommateurs souhaitent la fin du monopole de la SAQ














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