Les fédérastes européens aussi puants que les nôtres
Non sequitur – ou l’art de bien mentir
Les langues présentent parfois des tournures qui permettent de mentir, au détriment de toute logique. L’une d’elles est le « non sequitur », qui se traduit en latin par « la suite ne correspond pas ». Cela permet à ceux qui l’emploient d’introduire un argument fallacieux car il y a parfaite déconnexion entre les prémisses et la conclusion, c’est à dire entre la première partie de la phrase énoncée et la deuxième.