Ce que les médias de masse se sont abstenus de rapporter sur les événements de Charlottesville
Ce que les médias de masse se sont abstenus de rapporter sur les événements de Charlottesville
La manipulation totale !
Que c’est lassant de voir et revoir, toujours le même film. D’un côté, des manifestants payés pour manifester. De l’autre des contremanifestants payés pour foncer contre les manifestants. Entre les deux, des journalistes payés pour rapporter les résultats. Et nous comme des cons on marche. C’est vraiment navrant, d’autant plus que c’est peut-être les mêmes personnes qui payent tout ce monde.
Le Washington Post publie un appel à la violence civile dans son courrier des lecteurs
For anyone paying attention over the last 100 or so years, it was only a matter of time before America's establishment Left, meaning elected Democrats and the mainstream media, found themselves so frustrated they would finally come right out and validate violence, or what can only be described as political terrorism, against their ideological enemies.
Le retour du boomerang
Les politiciens et les médias saluent ces personnages quand ils apparaissent, souvent financés par la CIA, pour renverser le gouvernement d’un pays étranger. Ils condamnent la même mentalité et les mêmes actions chez eux. Mais la glorification de la violence d’extrême droite à l’extérieur justifie celle des groupes d’extrême droite intérieurs.
Le Russiagate restera dans l’histoire comme un des plus gros mensonges jamais inventés par les agences de renseignement US
Tarzan peau de banane
Il est tout à fait possible que le président Trump utilise la Corée du Nord pour éliminer la narrative perpétuelle des médias américains sur le Russiagate. En tous cas, cela marche. Après tout, dans la weltanschauung de l’Exceptionnalistan, la perspective d’une guerre et de ses récompenses possibles éclipse les accusations floues de « hacks » et autres soi-disant interférences russes dans les élections.
La guerre est toujours la faute de quelqu'un d'autre
Je tiens d'emblée à préciser que contrairement à un certain nombre d'auteurs, qui ne voient dans la propagande médiatique que des maladresses souvent involontaires; je pense pour ma part que les éditorialistes et journalistes ne sont pas plus bêtes que vous et moi, et je ne vois pas de raison objective pour laquelle ils seraient systématiquement à l'ouest s'agissant de traiter certains sujets, et pourquoi ces « erreurs » iraient toujours dans le sens voulu par Washington.
Une autre supercherie de propagande
Depuis l’annonce de la mort d’Oussama ben Laden par le président américain Barack Obama, le 2 mai 2011, il n’y avait toujours pas de photo « officielle » prouvant le décès du « chef d’Al Qaïda ». Suite aux spéculations en tous sens, la Maison blanche a d’abord confirmé l’existence d’images, tout en insistant sur le fait que le Président hésitait à donner son feu vert à leur diffusion parce qu’elles étaient « particulièrement atroces ».
Les fadaises du Wahington Post éventées
Jeff Bezos propriétaire du Washington Post, lié à la CIA, a admis aujourd'hui que l'histoire de l'ingérence russe dans l'élection étatsunienne est un tissu de mensonges. La tribune libre du Washington Post par Ed Roger a bien sûr été ignorée par les principaux médias traditionnels et la gauche libérale.
Une enquête des médias britanniques
L’homme discret qui sortait promener son chien tous les matins avait l’allure d’un directeur de banque de province. Peu de gens le connaissaient à Cochabamba, où le climat est d’une fraîcheur idéale.
Main-basse sur l'information : «L'information n'est plus libre»
Tucker Carlson malmène les «neocons»
Oh, que ce fut jouissif ! Et que nous avons eu de plaisir – plaisir bien trop rare pour les anti-interventionnistes que nous sommes – à voir non pas un mais deux néoconservateurs les plus en vue se faire descendre en flammes sur les écrans de la télévision nationale. À voir Tucker Carlson, dont l’émission est un brillant fanal de raison dans ce monde en voie d’obscurcissement rapide, remplir son rôle de service public en démolissant Ralph Peters ET Max Boot dans deux émissions successives.
Et la farce continue !
Le Borg américain [NdT : autre nom pour l’État profond] tente avec véhémence de décrire la Russie comme une ennemie de « l’Occident ». Leur propagande anti-russe s’inscrit désormais dans la campagne contre le président Trump, qui recherche une détente avec la Russie. Dénigrer un pays, ses citoyens et ses leaders demande des efforts intenses. Voici un exemple de la façon dont cette propagande est produite.
Le pouvoir illimité de la presse aux États-Unis
En s’arrogeant le titre de « 4ème Pouvoir », la presse états-unienne s’est placée à égalité avec les trois Pouvoirs démocratiques, bien qu’elle soit dénuée de légitimité populaire.
Une étiquette qui colle
Le réseau est en train de chanceler après une épreuve brutale qui a vu deux présentateurs interdits d’antenne, une information rétractée et une autre réécrite, des accusations de protestations mises en scène, la démission de trois employés clés et, plus récemment, une série continue de vidéos fuitées destinées à présenter CNN comme mentant au public au sujet des relations entre Trump et la Russie qui ont dominé la couverture médiatique du président jusqu’à présent.
«Déclassifié : Operation Mockingbird, la guerre froide culturelle de la CIA»
Le but premier, l’obsession de la CIA, véritable État dans l’État créé en 1947 par le Président Truman en réponse au renforcement du bloc de l’Est à la fin de la Seconde Guerre mondiale : abattre le communisme, bête noire de l’Amérique.
Le trio infernal
Sous le signe d’une violence planifiée, chaotique et déstabilisatrice, depuis 90 jours se déroulent des affrontements au Venezuela qui dépassent l’habituel. Derrière l’apparente lutte pour la démocratie –où s’affrontent a des partisans de la démocratie libérale représentative avec ceux qui cherchent à approfondir la démocratie participative, directe et active − se vit une guerre irrégulière qui utilise des formes de violence jusqu’à présent ignorées dans le pays, dont l’objectif est de générer la peur et la terreur dans la population. Une terreur paralysante.
Le nouveau maccarthysme
On sait qu’en France la politosphère et la médiasphère sont en osmose permanente. L’une et l’autre viennent de passer du Poutine bashing au Trump bashing. On s’est félicité qu’Emmanuel Macron ait fait un geste réparateur vis-à-vis du président russe. Mais les propos qu’il lui a tenus ne dégagent pas vraiment sa politique de celle de ses prédécesseurs. Quand on parlera du retour légitime de la Crimée à la Russie au lieu de parler de son « annexion », on fera preuve de bon sens, et de politique. Curieux que nos russophobes de service ne parlent jamais de l’annexion de la Palestine par l’État d’Israël, ni de celle de la moitié de l’île de Chypre par la Turquie… Poids et mesures vont rarement ensemble.
CNN confondue
La première partie, diffusée le 26 juin 2017, montre un producteur-en-chef de CNN, John Bonifield, responsable de séquences non-politiques, affirmer que les accusations de collusion entre la Russie et l’équipe Trump ne sont que « des conneries » diffusées « pour l’audience ».
L'intensité de la propagande constitue un signe que la guerre est déclarée
Si vous voulez comprendre le degré auquel les médias libres occidentaux sont en train de bâtir un monde alternatif de demi-vérités et de mensonges pour manipuler leur public, nous sous-informer et s’assurer de notre consentement, il ne pourrait pas y avoir un meilleur cas d’école que leur traitement du journaliste d’investigation prix Pulitzer Seymour Hersh.
Fake News aux États-Unis
Le célèbre quotidien new-yorkais a retiré ses affirmations selon lesquelles 17 agences des services de renseignements américains avaient confirmé que la Russie se trouvait derrière le piratage du Parti démocrate en 2016.
CNN passe à la moulinette
Nouvelle «révélation» de Project Veritas: enregistré à son insu, un producteur de la chaîne américaine a déclaré que Donald Trump était un «clown» et un «fou», et que les électeurs américains étaient «stupides comme de la merde».
Les «fake news» des médias américains
La campagne anti-russe de CNN est entièrement dictée par l'obsession de faire grimper sa cote d'écoutes
A senior producer at CNN has described the intense speculation that Russia aided the Trump presidential campaign as “bullsh*t.” Filmed on a hidden camera, CNN producer John Bonifield admits the organization’s anti-Russia reporting is purely for ratings.
La propagande au service des gouvernements
Edouard Bernays est un expert en contrôle mental et en conditionnement de masse. C’est un neveu viennois de Sigmund Freud, et comme son oncle un bon lecteur de Gustave Le Bon. Il émigre aux Etats-Unis, sans se préoccuper de ce qui va se passer à Vienne… Journaliste (dont le seul vrai rôle est de créer une opinion, de l’in-former au sens littéral), il travaille avec le président Wilson au Committee on Public Information, au cours de la Première Guerre Mondiale.
La culpabilité est de droite, même quand la gauche est coupable
Et si c’était un pro-Trump qui avait tiré sur des démocrates?
Imaginez si, avant de passer à l’acte, le gars avait écrit sur sa page Facebook: «Les démocrates sont les communistes des États-Unis. Hillary Clinton et Obama ont détruit la démocratie, il faut les détruire.»
Le hara-kiri américain
L’affaire du Russia-gate a pris une étrange tournure depuis que les partisans de la destitution du président Trump disent que son renvoi devrait précéder l’achèvement de l’enquête et en fait, précéder d’avoir vu ce qu’il y a à voir – bien qu’un des objectifs de l’enquête au moins est que le gouvernement américain joue cartes sur table.
La prostitution du bien commun au service des intérêts particuliers des élites en est venue à corrompre le sens même de ce concept
The theory of American civics is that the competitive process of every group advocating for its narrow self-interests will magically generate the Common Good, that is, a political and social order that serves everyone's common/shared interests.
Les Québécois finiront-ils par en faire autant ?
Indignés par la publication «de délires et de mensonges» dans leurs médias, des Britanniques se sont mis à brûler les éditions des quotidiens, comme le Daily Mail, le Sun ou encore le Daily Express, a indiqué le portail américain d’information BuzzFeed.
Une diabolisation indispensable
Le livre intitulé « Poutinophobie » du journaliste et homme politique italien Giulietto Chiesa a été publié l’an dernier. « Poutinophobie » est en fait une russophobie 2.0, comme l’affirme l’auteur, puisque la russophobie 1.0 a été une constante historique et la principale composante de la politique occidentale envers la Russie. Elle dure de la guerre de Crimée à l’effondrement de l’Union Soviétique, et même depuis plus longtemps encore.