L’Institut Jean Garon est né!

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Un hommage bien mérité

Alors que Jean Garon entrait hier soir à titre posthume au Temple de la Renommée de l’agriculture lors d’une soirée au Château Frontenac à Québec, La Vie agricole annonce en collaboration avec la famille Garon, la création de l’Institut Jean Garon.



Lors d’une soirée de préparation à la création de l’Institut Jean Garon mi-septembre, Mme Garon, rencontrée chez elle, a confié à La Vie agricole être très heureuse du prix posthume décerné à Jean Garon par le Temple de la Renommée. Elle nous a également déclaré : `` L’Institut est dans la suite de l’idéologie de Jean de poursuivre le débat ! ``


M. Guy Duval, le président du journal La Vie agricole, lequel a coédité en 2013 les mémoires de Jean Garon, a quant à lui déclaré :


«D’ores et déjà des actions concrètes sont planifiées avec la sortie d’un livre sur la Gestion de l’offre coédité par VLB Éditions et La Vie agricole en mars prochain.  Nous visons également l’octroi de premiers mandats de recherche d’ici la fin de 2015», a précisé M. Duval.


Non partisan et indépendant de tout intérêt particulier, le nouvel institut entend s’inspirer de l’héritage de M. Jean Garon, ministre de l’Agriculture des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec de 1976 à 1985. Il fut également collaborateur au Journal La Vie agricole de 2010 à 2014.


Trente ans plus tard,  les principaux éléments de l’héritage de Jean Garon sont toujours pertinents, notamment la primauté de la ferme familiale, la défense des mécanismes de mise en marché collective   et la recherche du plus haut niveau possible d’autosuffisance alimentaire.


Quelle sera la ferme familiale de demain? Quel avenir pour la gestion de l’offre à l’heure de la mondialisation?  Le syndicalisme agricole peut-il survivre à ses propres contradictions?  Voilà autant de thèmes que l’Institut Jean Garon pourra explorer en faisant appel aux meilleurs chercheurs.


Enfin, L’Institut se définit comme un instrument de visibilité visant à donner aux grands enjeux agroalimentaires, plus de place dans l’espace public et médiatique.






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