Suivi de "BAnQ ne prend pas les mauvais conseils", réplique de Lise Bissonnette
Quand la "clarté identitaire" se heurte à la plus pure mauvaise foi...
1837-38, Rébellions: Patriotes vs Loyaux
Le musée Pointe-à-Callière plonge au coeur d'un passé trouble
La lecture de la «lettre» du premier ministre Jean Charest démontre clairement l'irresponsabilité, sinon le vide intellectuel, qui anime le chef de l'État québécois.
Le devoir de philo
Le sociologue trouverait curieux que, 30 ans après l'adoption de la loi 101, on se satisfasse d'une francisation se limitant au domaine public
Dans certains cas, on ne se contente pas de rendre obligatoire la formation linguistique pour les nouveaux arrivants, on impose directement une connaissance linguistique aux candidats à l'immigration au point d'entrée.
Il faut se rendre à l'évidence: les mots «accommodements raisonnables» passent au mieux, à l'étranger, pour un étrange québécisme.
«Il est nécessaire de réaffirmer la prédominance du français au Québec 30 ans après la loi 101»
Mais il est manifestement plus rentable de tourner les Québécois en ridicule quand vous voulez vendre des livres en anglais.
Ce qui est rétrograde, c'est de prendre les Québécois pour des béotiens en leur présentant comme le salut de la nation ce qui n'est rien d'autre que de la petite politique partisane. - Vigile