PQ - gouvernance nationale<br>Conseil national 14-15 et 16 mars

Triomphalisme canadian...

Federalism wins

The separatist movement cannot afford to waste its efforts on a hopeless cause.


The party that brought us two sovereignty referendums has finally woken up and smelled the federalist coffee. At a Parti Quebecois convention in Saint-Hyacinthe last weekend, an effusive and tearful Pauline Marois presided over her party's biggest policy shift in years-- PQ members voted to drop a promise to hold a third sovereignty referendum as soon as possible once elected. Instead, the party will focus on re...

Indépendance du Québec : les souverainistes tournent la page

Le Parti Québécois renonce à organiser un référendum sur la souveraineté de la Belle Province.


Ludovic Hirtzmann - «C'est un changement salutaire. Un chef sécessionniste responsable doit toujours travailler en accord avec l'opinion publique», a déclaré le chef du Parti libéral fédéral, Stéphane Dion. Le plus farouche partisan d'un Canada uni a félicité Pauline Marois pour son renoncement à tenir un référendum au cours d'une première législature. Si elle est élue, la chef du PQ veut désormais entreprendre une «c...

Commentaire sous forme de défi...

Quoi de neuf?



À défaut d'un référendum sur la souveraineté, pourquoi pas un référendum sur les pouvoirs essentiels à la préservation de l'identité québécoise? Ce n'est rien de neuf, direz-vous. En tout cas, mais cela n'a jamais été essayé. Bien entendu, Mme Marois ne ferait jamais quelque chose d'aussi hérétique.

Le PQ est de retour



Les journalistes n'en revenaient pas: le Parti québécois a pris en fin de semaine un virage idéologique substantiel sans déchirements publics. Pauline Marois aura réussi là où même René Lévesque s'est souvent cassé les dents! C'est la preuve que la nouvelle chef a son parti bien en main. Que sa façon de faire, discrète, consensuelle, respectueuse des militants, a porté ses fruits. Sans rien enlever à Mme ...

Québec

PQ - mars 2008 - "gouvernance nationale"



- Préciser, c'est diviser Denis Lessard Cyberpresse 17 mars Mme Marois a vécu en fin de semaine un rare moment d'unanimité au PQ. Les résolutions ont été adoptées hier en plénière, à la queue leu leu; le micro «contre» a paru inutile. Seul peut-être Jacques Parizeau a pu bénéficier d'un tel consensus à la tête du PQ à la veille des élections de 1994.

Québec

Pauline Marois a confirmé son emprise sur le PQ au conseil national



Saint-Hyacinthe -- Pauline Marois a triomphé au terme de son premier conseil national à titre de chef du Parti québécois. Les militants péquistes ont adopté de façon presque unanime ses grandes orientations: social-démocratie rénovée, axée sur la création de la richesse, et abandon de l'obligation de tenir un référendum. Qui plus est, toutes les propositions qui auraient pu embêter la chef péquiste ont été écartées ...

Une social-démocratie renouvelée au Parti Québécois

Discours de Pauline Marois au conseil national - mars 2008


Au terme d'un conseil national qui réunissait 500 délégués, la chef du Parti Québécois et députée de Charlevoix, Pauline Marois, est particulièrement heureuse et satisfaite des travaux réalisés par tous les militants au cours des derniers mois et de l'adoption aujourd'hui de multiples propositions innovantes pour faire avancer le Québec. « Ces travaux permettront au Parti Québécois de présenter une plate-forme é...

Discours de Pauline Marois à l’occasion de l’ouverture du conseil national



Mes chers amis, bonsoir, Quel plaisir de vous voir! Vous avez travaillé fort depuis octobre dernier et vous pouvez être fiers du travail accompli. Des assemblées de comtés aux assemblées de régions, nous voici enfin réunis pour déterminer ensemble quelles propositions pourraient s’inscrire dans notre prochaine plate-forme électorale. Vous avez mené une action politique constante, ouverte, claire pour repre...

Québec

Conseil national du Parti québécois

Marois gomme les désaccords avec ses militants



St-Hyacinthe — À son tout premier Conseil national en tant que chef du Parti québécois, Pauline Marois a choisi de montrer pattes blanches devant ses militants, gommant les divergences entre le contenu de bon nombre de propositions soumises en fin de semaine et son ambition de rénover à la fois le parti et la social-démocratie péquiste. «Le cahier des résolutions illustre bien le sens de la rénovation du Parti québé...

Les jambes du PQ



Quand il a entrepris de déstabiliser Pierre Marc Johnson, en 1987, Jacques Parizeau l'a accusé d'avoir fait du PQ un parti cul-de-jatte en coupant les deux jambes qui le portaient depuis sa fondation: la souveraineté et la social-démocratie. Plusieurs au PQ ont interprété de la même façon le renvoi du référendum aux calendes grecques et la volonté exprimée par Pauline Marois de «moderniser» la social-démocratie en l...

L’anglais fait-il partie de l’identité québécoise ?



Dans le contexte anglicisant de l’Amérique du Nord, le développement d’une identité bilingue chez une minorité linguistique s’avère ainsi une voie rapide et à sens unique vers l’anglicisation. Le PQ doit veiller à ce que le Québec ne s’engage pas dans cette voie.

Un acte de foi

Ce week-end, c'est un peu le Super Bowl de la politique québécoise. L'ADQ sera en congrès pendant que le PQ tiendra son Conseil national.


Ce week-end, c'est un peu le Super Bowl de la politique québécoise. L'ADQ sera en congrès pendant que le PQ tiendra son Conseil national. Le PQ jasera de "conversation" nationale et de "gouvernance" nationale. Faut dire que les péquistes sont plutôt coincés. Le PQ menant chez les francophones, la chicane serait mal vue. Et Pauline Marois les a bien avertis: viennent avec elle la mise au rancart du référendum et cett...

Pauline Marois entraîne le PQ vers un autonomisme décomplexé !



Pour l’élite péquiste, il fallait en finir avec la stratégie référendaire, et tout particulièrement avec l’exigence de la tenue d’un référendum sur la souveraineté durant le premier mandat. Pauline Marois en avait déjà fait la condition de son couronnement à la direction du PQ. Voilà, ce sera sans doute fait au prochain Conseil national du PQ qui doit se tenir les 14-15 et 16 mars prochain. Derrière quels or...

Québec et Kosovo - réplique à Louis Bernard

Il n’y a que deux conditions gagnantes : débattre collectivement et voter majoritairement



Pour cette raison, nous n’avons surtout pas besoin du dangereux exemple du Kosovo, du vote sur la reconnaissance de la Nation québécoise et de la Cour Suprême pour conquérir notre propre indépendance. Nous avons juste besoin d’une majorité absolue de votes à l’occasion d’une élection ou d’un référendum pour enclencher le processus d’accession à l’indépendance par l’Assemblée nationale pour quitter la monarchie constitutionnelle du Canada.

Tempêtes

Première tempête idéologique pour Mme Marois qu’on accuse de vouloir mettre la souveraineté au rancart. C’est un peu comme si on accusait Miss Météo de faire pleuvoir.


Ce que je ne comprends pas, c’est cette Conversation nationale qu’elle nous promet une fois le PQ au pouvoir. Je ne comprends pas conversation nationale. Je ne comprends pas que les stratèges du parti aient pu laisser passer cette loufoquerie qui vient de donner de la job aux caricaturistes pour les deux prochaines années.

Un virage nécessaire



Dès le dépôt de son bulletin de candidature à la direction du Parti québécois, Pauline Marois avait posé le caractère indispensable de la rénovation du programme de son parti. Le week-end prochain, les militants péquistes seront invités à mettre au rancart l'étapisme référendaire qui, depuis 35 ans, oriente leur action pour plutôt s'engager dans une démarche de gouvernance nationale. Il s'agit d'un virage à 90 degrés. ...

Un virage majeur

La plupart des onze gestes proposés sont relativement anodins et n'annoncent pas d'interminables chicanes.


Mais plus profondément, la proposition du conseil exécutif national, qui veut modifier radicalement le fameux article 1 du programme, est en fait une façon de reconnaître qu'une victoire de la souveraineté n'est pas réalisable dans un avenir prévisible, qu'elle cesse d'être un objectif immédiat pour devenir une possibilité beaucoup plus lointaine, ce qui appelle une stratégie progressive et beaucoup moins agressive.

Le PQ ne sera pas pris au sérieux si...

VOUS ÊTES INVITÉS À SOUMETTRE VOS PROPRES CRITÈRES qui vous permettront d'adhérer à ce parti en train de mettre à jour son programme électoral.


Le [PQ veut renouer avec les Québécois->12233], tant mieux. Les souverainistes sont tannés du flou et de l’indécision. Ils veulent un plan d’action qui s’inscrit dans un horizon menant à l’indépendance. Si le plan qu’il propose ne paraît suffisamment radical et crédible, si le leadership se révèle faible ou indécis, le PQ ne réussira pas à convaincre sur ce point. Dans ce cas, les Québécois ne voteront pas pour l...

Chantons la victoire...

Parti Québécois has nothing to offer but talk

While true believers keep the sterile old notion alive, however, most Quebecers simply get on with their lives, within a federal system that serves all Canadians well. Why, then, does anyone need the PQ?


How interesting it would have been to see Pauline Marois's face when she heard no less an authority than Stéphane Dion offer his hearty congratulations on her party's new sovereignty policy. Does Dion have it in him to mock an opponent? His comment must have seemed like mockery to the Parti Québécois leader, who had just unveiled the policy that party delegates will be asked to approve next weekend. Instead of ...

Conversation nationale

Continuer de reculer

Le Parti québécois nous convie à une ennième et indéfinie commission Bouchard-Taylor


Vouloir l'indépendance, c'est souhaiter que le Québec grandisse en conversant davantage, et souverainement, avec le monde. S'affirmer, s'affranchir, pour mieux s'ouvrir. Or, voici que le PQ, qui se prétend promoteur de cette idée, propose plutôt, à travers son concept de conversation nationale, d'intensifier ce que nous faisons déjà depuis trop longtemps : se regarder le nombril. Se dire à nous-mêmes n...

Pauline Marois propose une «conversation nationale» à la place d'un référendum



«Nous sommes un parti souverainiste, nous allons nous reconcentrer justement sur le débat autour du projet de pays, autour du projet du Québec, a indiqué Mme Marois. La gouvernance nationale, c'est de nous assurer que le Québec progresse, avance, récupère des pouvoirs, que sur tous les fronts nous occupions pleinement le terrain jusqu'à ce que nous soyons souverains.»

"Conversation nationale"

Contre le bla-bla national, cette capitulation inavouée...



Madame Marois vient de prendre une décision importante! Elle va organiser des conversations sur l’indépendance! N’est-ce pas magnifique? On a tellement peu parlé de l’indépendance depuis une trentaine années! Enfin, on va tenir une « conversation nationale » sur la « gouvernance ». On va parler des mérites de l’indépendance, de stratégie, du temps qu’il fait. Stéphane Dion se réjouit, et je le comprend...

Renouer avec les Québécois : de l'urgence d'agir

Un plan d'action pour sortir du désarroi et de la dispersion.


Réflexions à propos du plan de "gouvernance nationale" du PQ. Ne réclamant pas ce mandat, le PQ ne tiendra pas de référendum. C'est une évidence qui s'impose au nom du respect des règles démocratiques. La réaction des intégristes canadian ne surprend pas. Le [prattouillage->12219] de GESCA n'y changera rien. Benoit Pelletier, un universitaire métamorphosé en triste politicien, accuse sans surprise le PQ d'ado...

Le PQ de Pauline: un activisme improductif?



(...) Pourquoi madame Marois prolonge-t-elle la fuite en avant de son parti alors que non seulement elle ne convaincra pas ainsi les mous, adéquistes ou pas, mais continuera de perdre et des votes et des membres ? Alors que cette stratégie ne fera pas progresser d’un iota la cause qu’elle prétend défendre ? Je ne mets pas en cause son intégrité mais son jugement, et pas seulement le sien. À force d’avoir peur de f...

Prattouillage

L'étapisme extrême



La chef du Parti québécois, Pauline Marois, disait hier «détester» le mot étapisme. La démarche suggérée par l'exécutif du PQ aux militants est pourtant la version la plus extrême de l'étapisme depuis l'époque de Pierre Marc Johnson. Si l'approche des dirigeants du parti est approuvée par le conseil national de la semaine prochaine, le Parti québécois ne proposera aux électeurs ni l'indépendance ni un référe...

La vraie leçon du Kosovo



La vraie leçon du Kosovo, ce n'est pas que le Québec, à la suite d'un référendum gagnant, pourrait déclarer unilatéralement son indépendance. C'est beaucoup mieux. C'est que, dans de telles circonstances, le Canada n'aurait pas le choix et serait obligé de négocier de bonne foi avec le Québec les modalités de son accession à l'indépendance. Cette obligation de négocier de bonne foi n'est pas nouvelle. Elle a ...

Québec

Exit le référendum, bienvenue la «Conversation nationale»



Le nouvel article 1 du programme péquiste, s'il n'en tient qu'à la direction du PQ, proposera aussi 11 gestes de «gouvernance nationale» qui peuvent tous être réalisés dans le cadre de la Constitution canadienne.

Stratégie pragmatique - gouvernance nationale

Si on s'y mettait

Il faut extirper le projet de l'indépendance nationale des griffes de la mécanique référendaire


Au lieu d'en rêver, mettons-nous au boulot. C'est l'essence de la proposition de gouvernance souverainiste. Et quand ils se présenteront, le peuple du Québec lèvera les obstacles. Par référendum s'il le faut. Mais d'abord, extirpons le projet de l'indépendance nationale des griffes de la mécanique référendaire et de son calendrier et réintégrons-le totalement dans le périmètre du politique. Les élections d'abord. La gouvernance ensuite. Autrement dit, donnons-nous un plan de match crédible et rigoureux nous conduisant à la souveraineté, soumettons ce plan au débat électoral, cueillons le mandat démocratique explicite à cet effet et allons de l'avant.

Québec

Stratégie pragmatique - gouvernance nationale

La gouvernance souverainiste de l’État et l’accession du Québec à la souveraineté

Synthèse des exposés de Gérald Larose, Denis Monière et Philippe Leclerc lors de la soirée-débat tenue par les IPSO le 28 janvier 2008


Le 28 janvier dernier, environ 80 participants sont venus échanger avec messieurs Larose et Monière sur le thème de ce que pourrait être une gouvernance souverainiste dans le contexte fédéral actuel. Ce débat s’inscrit dans le cadre de la réflexion que portent les Intellectuels pour la Souveraineté sur ce qui pourrait être la meilleure démarche pour atteindre la souveraineté du Québec, compte tenu de la conjoncture pas...

Les fausses bonnes idées



Dès qu'elle a annoncé sa candidature à la direction du Parti québécois, Pauline Marois a mis une chose au clair: si elle devenait chef, il ne serait plus question de lier l'élection du PQ à un nouveau référendum sur la souveraineté. « C'est dans la corbeille de la mariée », avait-elle dit dans le temps. Bref, ce n'était pas négociable. Dans quelques semaines, donc, un conseil national du PQ devra ratifier un n...