PQ - gouvernance nationale<br>Conseil national 14-15 et 16 mars

Marois a piqué au vif les libéraux



Québec - Les libéraux jugent que les «gestes de souveraineté» que promet de faire Pauline Marois une fois le Parti québécois au pouvoir sont «antidémocratiques» et relèvent de la stratégie de «la cage à homards», une accusation que rejette la chef péquiste, qui veut agir à «visage découvert». Le ministre responsable des Affaires intergouvernementales canadiennes, Benoît Pelletier, a tiré à boulets rouges, hier,...

Autre bon signe...

Dion juge que Marois se comporte en irresponsable



Martin Ouellet - La Presse Canadienne Québec - Après les libéraux du Québec, Stéphane Dion est à son tour tombé à bras raccourcis sur Pauline Marois, mercredi, l'accusant d'être une irresponsable qui veut enfoncer la souveraineté dans la gorge des Québécois. Avec sa proposition de s'approprier petit à petit de nouveaux pouvoirs pour le Québec, la chef du Parti québécois tente de réal...

PLQ et ADQ raillent Marois



Tommy Chouinard et Malorie Beauchemin - Libéraux et adéquistes jugent antidémocratique la stratégie de Pauline Marois qui voudrait faire des «gestes de souveraineté» dès qu'elle accéderait au pouvoir, avant même la tenue d'un référendum. Le chef bloquiste Gilles Duceppe appuie quant à lui la démarche de Pauline Marois, en autant que les gestes de souveraineté d'un éventuel gouvernement pé...

Feu le référendisme?

Il ne servirait à rien à la direction du PQ de nier qu'il y a dans ce qu'elle s'apprête à proposer une rupture, non pas avec l'objectif ultime de la souveraineté, mais avec la démarche consacrée par le dernier congrès.


Des ministres du gouvernement Charest s'empressaient hier de tirer à boulets rouges sur la chef du Parti québécois, Pauline Marois, après qu'elle eut déclaré que, devenue première ministre, elle poserait des «gestes de souveraineté» avant un référendum. Avant de s'inquiéter de voir le «chaos» s'installer, selon le mot de Benoît Pelletier, attendons que soit terminée la révision en cours du programme péquiste portant su...

Lettre à Gérald Larose et Denis Monière

La relance du mouvement indépendantiste

Avant de discuter des moyens, on doit discuter de la nature même du projet


Vos textes publiés récemment dans Le Devoir appellent une discussion fondamentale au sein du mouvement indépendantiste québécois. Ces textes, je l'espère, sauront ranimer la flamme indépendantiste dans les coeurs québécois. Je crois que nous sommes tous d'accord pour dire que le mouvement indépendantiste québécois va mal. Vous divergez toutefois -- très légèrement à mon avis -- sur les moyens de reprendre l'init...

Parti québécois

Des "gestes de souveraineté" avant un référendum

Marois choisit son camp dans un débat qui divise les militants


Pauline Marois a fait son choix. Elle donne raison à Gérald Larose et à sa stratégie plus musclée. Elle reproche à Denis Monière de "s'arrêter aux moyens et à la mécanique". M. Larose a, lui, "une vision plus large", a-t-elle plaidé. L'idée est de "faire avancer le Québec vers plus de pouvoirs et plus de moyens" afin de le conduire à la souveraineté, a-t-elle expliqué.

Nouvelle benoiserie! Pas facile de "vendre" la subordination... Et pourtant, les fédéralistes jovialistes pensent y parvenir en stigmatisant à l'avance les "gestes de rupture" possibles annoncés par les "purzédurs" du PQ. "Possibles?" Pourtant pas trop menaçant, ça...

Pelletier juge que Marois bafoue la démocratie

«Après (un référendum sur la souveraineté), vous faites quoi si la population vote encore non?», s'est-il demandé.


Le ministre des Affaires intergouvernementales, Benoît Pelletier (Photo PC) Jocelyne Richer - Presse Canadienne Québec - L'étendue des pouvoirs que s'arrogerait un gouvernement péquiste pour flirter toujours davantage avec la souveraineté du Québec a amené libéraux et souverainistes à croiser le fer mardi. Ainsi, selon le ministre Benoît Pelletier, la chef du Parti québécois, Pauline M...

PQ, le calme avant la tempête



La lune de miel de Mme Marois tire à sa fin : les péquistes seront moins discrets lorsque les caméras fixeront leur objectif sur les microphones au conseil national. Ils seront fermes sur leurs valeurs, mais ils ne seront pas tous souples sur les moyens...

Réponse à Gérald Larose

Le devoir de cohérence



Chacun a ses propres valeurs et je ne discuterai pas celles de Gérald Larose, mais je crois que la cohérence est la principale valeur qui doit fonder l'action politique dans une société démocratique parce que les citoyens ont besoin de confiance et de fiabilité pour exercer un choix éclairé entre divers projets politiques. Or le Parti québécois, au nom de l'électoralisme, n'a pas été un parangon de vertu à cet éga...

S'il était chef...

Le texte de M. Larose a été salué avec enthousiasme sur le site indépendantiste Vigile.net.


Le texte de M. Larose, d'abord publié dans le numéro de décembre de l'Action nationale et que Le Devoir a reproduit dans son édition d'hier, a été salué avec enthousiasme sur le site indépendantiste Vigile.net. «Un stratège s'est levé: Gérald Larose», s'est réjoui un de ses chroniqueurs réguliers, Michel Gendron. «Larose nous donne le goût du combat. L'état de désorganisation actuel du mouvement indépendantiste ne l'empêche pas de voir ce qui est positif dans la présente conjoncture» alors que «le PQ ne mobilise plus parce qu'il ne sait plus mobiliser».

Le référendisme congédié



Le projet de l'indépendance du Québec est un grand projet. Si la majorité des pays ont conquis la leur avec des fusils, le Québec, lui, entend y accéder par les urnes. Démocratique, ce combat est donc à mener tous les jours, sur tous les fronts et dans tous les domaines, conscients que ceux qui, depuis 1982, déclinent au quotidien le Canada agissent exactement de la sorte... sans référendum. (...) Ceci étant, faut-il renoncer au processus référendaire? Congédier le référendisme n'équivaut pas à renoncer au processus référendaire. C'est rompre avec la représentation que des souverainistes se font d'un «grand jour» ou d'un «grand soir» euphorique et que des fédéralistes se font «de l'inconnu et d'un trou noir» cataclysmique.

Une impatience nécessaire



L’indépendance est une nécessité vitale et son urgence impose une posture politique qui n’a pas à pactiser, même sous couvert de pragmatisme, avec un ordre délétère dont nous connaissons maintenant tous les rouages. Il faut, bien sûr, éviter de confondre l’urgence et la précipitation. Mais rien ne sert de se perdre dans des impasses déjà fréquentées. Il faut retrouver le sens de l’intransigeance pour éviter que notre idéal ne se délite dans les lourdeurs de la gestion provinciale ou dans la rhétorique compensatoire si caractéristique des combats mal conduits. Il faut démontrer, rendre évident et dénoncer sans relâche ce que la propagande occulte : les coûts et la souffrance tue que nous inflige la sujétion canadian sont intolérables. Il faut le faire au nom de la dignité aussi bien qu’en vertu des principes de régie de la gouverne et de l’intendance.

Si j'étais chef... (sans prétention aucune au poste)

"à nouveau contexte, nouvelles stratégies et nouveaux porteurs de projets"


Le contexte ayant radicalement changé, pourquoi les stratégies ne changeraient-elles pas ? Si j’étais chef, mais je n’ai aucune prétention à l’être, quelle serait ma proposition ? D’abord une posture générale sans ambiguïté. Deuxièmement, un choix précis d’axes stratégiques transformant la gouvernance provinciale en gouvernance souverainiste. Troisièmement, l’injection, dans les grandes missions de l’État et ses principales politiques, de contenus annonçant un peu mieux le type de société auquel la souveraineté permet d’aspirer.

Que faire du Parti québécois?

En acceptant de construire l'identité nationale dans le cadre canadien, le Parti québécois de Pauline Marois invalide la nécessité de la souveraineté et la dévalue comme projet politique.


(Photo PC) On peut avoir toutes sortes de raisons de faire de la politique. Certains s'engagent parce qu'ils sont attirés par le pouvoir et la possibilité d'influencer les politiques gouvernementales. D'autres militent dans un parti parce qu'ils ont des convictions qu'ils veulent diffuser et faire partager par leurs concitoyens. Sans porter de jugement sur la valeur morale ou sur la légitimité de ces types de motivati...

Québec

POUR LA SURVIE DU QUÉBEC FRANÇAIS - Guide d’accès à l’indépendance



Mélanie Tremblay - Le controversé avocat, libre-penseur et activiste politique, Me Guy Bertrand a fait le lancement de son livre Guide d’accès à l’indépendance: pour la survie du Québec français à un endroit propice à la provocation dirons certains, dans les murs de l’Assemblée nationale du Québec. Entrevue avec Guy Bertrand. Famille, collègues et amis, c’est une centaine d’invités qui étaient au ...