Pas nécessairement la meilleure façon de s'illustrer
DÉPENSES ÉLECTORALES
Des dépenses près de 4M$ pour l’élection du 7 avril
Pour la première fois depuis des années, le Parti québécois a détrôné le Parti libéral en matière de dépenses électorales. Les troupes péquistes ont injecté près de 4 millions de dollars pour tenter de remporter les élections du 7 avril dernier.
Manque de flair incompréhensible sauf... si le déclenchement des élections était une fuite par le haut
En 2007, Jean Charest savait qu'il avait fait une mauvaise campagne et il savait qu'il se dirigeait vers un gouvernement minoritaire. En 2012, il jugeait avoir fait une bonne campagne dans les circonstances, mais il savait qu'il perdrait, même si son parti a beaucoup mieux fait que prévu.
L'organisation Marois est la première responsable de la défaite du PQ le 7 avril dernier
Il y a 30 ans, le Premier Mai 1984, paraissait le premier numéro de l’aut’journal. L’objectif était d’élaborer et de diffuser un aut’ point de vue, indépendantiste et progressiste, absent du paysage médiatique québécois.
{{Rappelons quand même que Vigile avait réclamé sa [démission pendant la campagne électorale->http://www.vigile.net/Le-DGEQ-doit-demissionner]}}
Le directeur général des élections du Québec (DGEQ), Jacques Drouin, quittera ses fonctions le 11 juillet: il a remis sa démission au président de l'Assemblée nationale, Jacques Chagnon, mercredi.
{{7 avril : Les non-francophones ont voté à 93 % pour le PLQ ! }}
Depuis le dépôt du projet de Charte de la laïcité, la question s'est posée de l'impact possible de cette initiative sur le vote.
{{Les habituels sympathisants péquistes ont été très nombreux à bouder le PQ qui n'a pas fait le plein de ses voix}}
Ce serait un facteur plus déterminant encore que le seul écrasement du vote péquiste
On a souvent entendu que la hausse de la participation électorale favorise le Parti québécois. L’élection de 2012 semble confirmer cette croyance. Or, avec un taux de participation assez semblable à 2012, l’élection de 2014 offre un résultat fort différent.
{{Le PQ a gagné la bataille de la charte mais perdu la bataille de l’emploi}}
Je vais continuer de déposer sur ce blogue des éléments d’analyse sur l’élection d’avril 2014, afin de contribuer à un débat éclairé pour la suite. N’hésitez pas à m’alimenter dans la section commentaires.
{{Où et pourquoi ils sont partis:}}
C’est la grande région de Montréal qui a sonné la défaite de Mme Marois. Bien que le PQ ait perdu des votes partout au Québec, les conséquences sont plus importantes dans cette région.
Lundi soir, le Parti libéral du Québec (PLQ) a fait des gains considérables partout dans la province, aux dépens du Parti québécois (PQ) et de la Coalition avenir Québec (CAQ).
{{Au travail !}}
ÉLECTIONS 2014
Au lendemain de l’élection du 7 avril, le premier ministre élu, Philippe Couillard, soulignait à propos de l’avenir du Parti québécois et de la souveraineté qu’« une idée ne meurt jamais ». À charge maintenant pour le Parti québécois de décider s’il veut toujours porter cette idée, puis, le cas échéant, de définir comment il la fera progresser.
{{Rien n'est jamais acquis}}
«Le monde change», même chez les patriotes
Que s’est-il passé pour que le Parti québécois subisse une des pires défaites de son histoire, lundi dernier ? La circonscription de Borduas, dans la vallée du Richelieu, forteresse péquiste, berceau de la révolte des patriotes, a basculé dans le camp de la Coalition avenir Québec. Zoom sur les causes d’un séisme électoral.
Une victoire bien plus relative que décisive
LE PREMIER MINISTRE PHILIPPE COUILLARD
Philippe Couillard a remporté une victoire décisive lundi avec l’élection de 70 députés. À la tête d’un gouvernement majoritaire, il aura maintenant la chance d’orienter le développement du Québec.
{{«Rose de Tokyo» Pelletier en mission commandée (voir Wikipédia)}}
L’intuition féminine en a pris pour son rhume ; Pauline Marois et le Parti québécois encore davantage. Même pour ceux, comme moi, qui croyaient que le PQ se dirigeait vers un mur, on reste bouche bée devant l’étendue du désaveu. Puis pris d’un frisson pour le sort cruel qui attendait la première femme première ministre du Québec.
Ils prennent leurs désirs pour des réalités
Les fédéralistes se gardent de déclarer le mouvement indépendantiste comme chose du passé mais se réjouissent du résultat de l'élection du 7 avril.
{{André Pratte ne voit pas que son NON n'a recueilli que 45 % des voix, soit moins que les 50,5 % du référendum de 1995}}
Avant d'être une victoire pour le Parti libéral du Québec, les élections d'hier constituent une défaite pour le Parti québécois tel que dirigé par Pauline Marois
Pour une fois qu'il dit quelque chose d'intelligent ! Mais il faut comprendre qu'il a absolument besoin de ce repoussoir sans lequel il n'est plus rien
Le mouvement souverainiste n'est pas mort malgré la déroute électorale du Parti québécois de Pauline Marois, estime le chef du Parti libéral du Canada, Justin Trudeau.
{{Le choix vous appartient}}
Le pire peut encore être évité
Est-ce vraiment ça que vous voulez ?
Les Libéraux, c’est les magouilles de Jean Charest, les interrogatoires de Philippe Couillard par l’UPAC, les perquisitions au PLQ, la Dépossession tranquille par l’Empire Desmarais, le scandale de l’industrie de la construction et du financement illégal du PLQ, les pertes « mystérieuses » de 40 milliards à la Caisse de dépôt, les scandales du CUSM (gracieuseté du tandem Couillard-Porter) et du CHUM, la révolte étudiante et les carrés rouges, le printemps des casseroles, le scandale des garderies, les démissions des ministres Whissell, Dupuis, Normandeau, Tomassi, Beauchamp et Courchesne dans un parfum de scandale, les liaisons dangereuses Pietro Perrino / Luigi Coretti, la cécité volontaire de Gérald Tremblay pendant que ses alliés libéraux pillaient Montréal, le gangstérisme du maire Gilles Vaillancourt de Laval, etc… C’est aussi la perspective de voir Philippe Couillard signer la Constitution de 1982 sans même consulter les Québécois.
Pour certains, l'affaire est déjà réglée
Au moins 25 circonscriptions devraient donner lieu à des luttes serrées
Le scrutin d’aujourd’hui s’annonce comme un des plus chaudement disputés des dernières années : au moins 25 circonscriptions donnent lieu à des luttes serrées, souvent à trois candidats, en raison du regain de vie de la Coalition avenir Québec (CAQ) de François Legault.
Faites votre devoir de citoyen !
JOUR D’ÉLECTIONS
Le dénigrement électoral est à la mode. « Campagne strictement négative », « vide », « sans enjeu », « lançage de boue », etc. À partir de ces critiques et déceptions en partie fondées, plusieurs électeurs en viennent à rejeter la politique en général et la participation électorale en particulier. C’est là une erreur.
Denis Lessard montre dans cet article qu'il sait quelque chose que vous ne savez pas. Devinez quoi !
Quand l'adversaire écope d'une pénalité au hockey, les entraîneurs mettent leurs cinq meilleurs joueurs sur la glace. Pour les chefs des trois principaux partis, voici ce que cela donnerait, les gros canons des gouvernements Marois, Couillard et Legault.
La boule de cristal de Jacques Duchesneau...
Jacques Duchesneau prédit une défaite au candidat vedette du Parti québécois, Pierre Karl Péladeau. Il affirme que le grand patron de Québecor «ne fait pas l'unanimité» dans la circonscription de St-Jérôme, qu'il a occupée pendant un an et demi.
Tout espoir n'est pas perdu
QUÉBEC 2014 | GRAND SONDAGE
À trois jours du scrutin, rien n’est joué. Les libéraux de Philippe Couillard sont toujours en avance dans les intentions de vote, mais la remontée de la Coalition avenir Québec vient brouiller les cartes et transforme cette fin de campagne en une lutte à trois dans les comtés francophones.
Le suspense jusqu'à la fin
Bilan au terme de cinq semaines de campagne difficile
Le marathon tire à sa fin. Les traits tirés, la voix usée, les chefs achèvent une campagne électorale dure, marquée par des accusations contre l’intégrité de leurs opposants, qui a laissé sur leur faim des électeurs désabusés.
Tout autre choix eût été une trahison
ÉLECTIONS 2014
Les Québécois se choisiront lundi un nouveau gouvernement au terme d’une campagne électorale à ce point décevante que bon nombre d’électeurs se rendront voter sans enthousiasme.
La politique, c'est l'art du possible
Pauline Marois fonde sa promesse de baisses d'impôt sur des surplus budgétaires additionnels qui n'apparaissent pas dans son budget et qui seraient dégagés grâce à une meilleure performance de l'économie. Ce n'est ni de la « pensée magique » ni une « fausse promesse », selon elle.
Louise Mailloux s'impose
Plus de 250 personnes assistaient, ce mercredi, 2 avril, à un débat très attendu entre les candidats qui briguent les suffrages dans la circonscription de Gouin. Le candidat libéral brillait par son absence, tandis que la CAQ était représenté par Paul Franche et Option nationale par Olivier Lacelle.
Bon à prendre
Au Québec, l’électeur est sans cesse martelé par les mêmes slogans réducteurs entraînant confusion ou peur. Il est ballotté entre des programmes électoraux sans vision et trop flous pour être évalués.
En plein délire
Même si aucun sondage n'a accordé plus de 20% des intentions de vote à la Coalition avenir Québec, François Legault a formé un comité de transition au cas où il prendrait le pouvoir. Et il envisage déjà une réorganisation de la haute fonction publique.
La menace Libérale
Si j’étais enseignante, je serais inquiète de l’arrivée possible des libéraux au pouvoir.
La cheffe, l'équipe, le parti, le programme, les autres choix
J’appuie encore le Parti Québécois. Sa campagne électorale a été souvent misérable, parfois de bas étage et rarement inspirante. Mais une bonne campagne ne signifie pas un bon gouvernement.
Couillard le revanchard
Pauline Marois et François Legault seront sanctionnés par les électeurs, le 7 avril, pour leur ton acrimonieux et leurs insultes à son endroit, croit Philippe Couillard.
GÉOGRAPHIE
L'auteur de sa biographie le confirme dans une dédicace
Photo ci-contre, de gauche à droite : Félix-Antoine Duval, Sophie Deraspe et Mathyas Lefebure.
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pour qu’ils puissent les voir et se sentir appréciés
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Intelligence artificielle
Branle-bas de combat à l’école Bedford
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Élections américaines
À propos du service médical obligatoire
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