Voir un ami pleurer...
À Gilles
Cher Gilles, Bien que je considère absurde la présence de députés québécois au Parlement canadien, j’éprouve pour toi une grande admiration. Il n’a pas dû être facile, tout au long de ces années, de prendre la route d’Ottawa et de siéger en ce lieu hostile aux Québécois. Je ne t’ai pas toujours approuvé. Tu m’as parfois fait sortir de mes gonds. Je t’aurais souhaité impitoyable, mordant, souriant, moins fédéraliste...