Dans n'importe quelle fédération normale du monde, on appelle cela du fédéralisme. Ici, on appelle cela des gestes de souveraineté ou de rupture.
Pauline Marois a joué gros avec son projet de loi sur l'identité, mais elle semble avoir tiré le bon numéro.
Trois erreurs magistrales, donc, auxquels s’ajoute une autre erreur, encore pire celle-là : avoir nié toute l’affaire sous serment.
Visiblement, Pauline Marois et Gilles Duceppe veulent provoquer une réaction de rejet des fédéralistes