Avant les motivations financières, le coup d'éclat du gouvernement Charest s'explique d'abord par des motifs politiques.
Si tel est le cas, nous pourrons vraiment dire alors que nous y sommes allés pour rien et que nos soldats y ont laissé leur vie en vain.
Dans tous les discours importants de la fin de semaine, le français a été relégué au titre de lointaine langue officielle.
Voici comment le leader parlementaire du gouvernement, Jacques Dupuis, résumait la « logique » derrière cette décision : « Il y a des cas particuliers qui requièrent qu’on regarde le cas particulier et qu’on puisse adapter les règles aux cas particuliers sans les abaisser. »
le mouvement souverainiste n'est pas aussi endormi qu'aimeraient le croire les conservateurs à Ottawa.
Cette impression voulant que le vote adéquiste ait systématiquement migré vers le PLQ et le PQ ne tient pas la route.