Une politique linguistique basée sur le principe du « français, langue commune » implique des exceptions pour l’anglais. C’est l’esprit et la lettre de la Loi 101.
Par contre, une politique linguistique fondée sur le principe de la « nette prédominance du français » n’implique pas que le français soit la langue commune. Il sous-entend la cohabitation de deux langues, le français et l’anglais.
Cette politique linguistique qui provient de l’arrêt Ford de 1988 de la Cour suprême du Canada qui impose le principe de la « nette prédominance du français », en prenant pour référence la Charte canadienne des droits, la Charte de Trudeau.
Depuis, malheureusement, le principe de la « nette prédominance » s’est introduit dans notre vocabulaire, la Commission Larose l’a validé en douce, et le Parti Québécois en fait aujourd’hui le titre de la section sur la langue de la Proposition principale.
Conférence - mardi 8 février
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