L’avocat qui a tout mis en œuvre pour entraver, en divers domaines, les justes applications de la Loi 101, avec plusieurs succès, ses alliés étant les juges de la Cour suprême du Canada, s’attaque maintenant aux éventuelles retombées exterminatrices du projet de Charte des valeurs québécoises.
L’argument fondateur de sa contestation repose sur une comparaison inique entre le sort des Juifs sous la dictature de Hitler et celui des musulmans du Québec, si la Charte était adoptée.
Ses attaques verbales et insultantes sont un crime de haine contre le peuple québécois, en raison de son appartenance à une nation historique de langue française et de culture chrétienne.
Un crime intolérable dans une société démocratique comme le Québec.
Un crime intolérable dans une société où le Parti au pouvoir, en l’occurrence le Parti québécois, invite le peuple, depuis plusieurs semaines, à débattre de son projet.
S’il y a au Québec, une instance habilitée à poursuivre un citoyen pour crime haineux, je crois que les Québécoises et Québécois de toutes origines, car nous sommes toutes et tous éminemment concernés par un tel délit antidémocratique, doivent se mobiliser pour exiger la mise en accusation de Julius Grey.
Julius Grey, le sommet de la démagogie haineuse
Un crime de haine contre le peuple québécois
Andrée Ferretti124 articles
"Rien de plus farouche en moi que le désir du pays perdu, rien de plus déterminé que ma vocation à le reconquérir. "
Andrée Ferretti née Bertrand (Montréal, 1935 - ) est une femme politique et
une écrivaine québécoise. Née à Montréal dans une famille mod...
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"Rien de plus farouche en moi que le désir du pays perdu, rien de plus déterminé que ma vocation à le reconquérir. "
Andrée Ferretti née Bertrand (Montréal, 1935 - ) est une femme politique et
une écrivaine québécoise. Née à Montréal dans une famille modeste, elle fut
l'une des premières femmes à adhérer au mouvement souverainiste québécois
en 1958.Vice-présidente du Rassemblement pour l'indépendance nationale, elle
représente la tendance la plus radicale du parti, privilégiant l'agitation sociale
au-dessus de la voie électorale. Démissionnaire du parti suite à une crise
interne, elle fonde le Front de libération populaire (FLP) en mars 1968.Pendant
les années 1970, elle publie plusieurs textes en faveur de l'indépendance dans
Le Devoir et Parti pris tout en poursuivant des études philosophiques. En 1979,
la Société Saint-Jean-Baptiste la désigne patriote de l'année.
Avec Gaston Miron, elle a notamment a écrit un recueil de textes sur
l'indépendance. Elle a aussi publié plusieurs romans chez VLB éditeur et la
maison d'édition Typo.
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