Cette gauche qui n’en est plus une, acoquinée avec les pires éléments de l’islam, a bien du mal avec la réalité.
Alain Finkielkraut, ce dangereux polémiste qui refuse de penser comme on le lui demande, a été sorti de la Nuit debout des gauchistes qui veulent « foutre en l’air le système » aux cris de « sale juif ». Il faut se rappeler que l’écrivain avait été vilipendé pour avoir employé l’expression « Français de souche » sur un plateau de télévision. François Hollande l’a employée, lui, pour désigner des nazillons profanateurs de cimetière : « J’étais la semaine dernière à Sarre-Union, dans ce cimetière dévasté par de jeunes lycéens, Français de souche comme on dit, ignorants au point de ne pas avoir vu les écritures en hébreu, inconscients pour ne pas avoir remarqué les étoiles de David, mais à ce point intolérants pour renverser le monument dédié aux victimes de la Shoah », trop heureux de pouvoir « stigmatiser » ces Français normaux « blancs », comme disait le regretté Coluche, dont habituellement il ne reconnaît même pas l’existence. Pour une fois qu’ils étaient les auteurs de ces actes anti-juifs.
Dans le même temps, Roger Cukierman, président du CRIF, a expliqué, avec une bonne dose du réalisme désormais proscrit : « La quasi-totalité des actes est commise par des jeunes musulmans, issus d’une communauté où les préjugés antisémites sont désormais très ancrés. Le mal est désormais structurel, installé. » Il rejoignait en cela une autre réalité évoquée par Zemmour sur le profil des dealers de drogue en région parisienne. C’est vrai, mais il ne faut pas le dire, explique-t-on à ces extrémistes du principe de réalité qui osent dire les choses exactement comme elles le sont. L’un et l’autre ont, bien sûr, été priés de la fermer, au besoin avec une condamnation à la clé.
Ce gouvernement persiste à inculquer une vérité hors-sol avec les deux axes bien connus de la propagande, par une sémantique de combat montée en dogme dans des clips sur le racisme qui ne correspondent à aucune réalité, ou dans une campagne auprès des entrepreneurs pour les convaincre d’embaucher la « diversité ». Mais aussi par un arsenal répressif consistant à punir toute velléité d’établir une vérité vérifiable par des trublions qui ont le seul défaut d’être plus érudits que la moyenne.
Il serait beaucoup plus simple d’autoriser les statistiques ethniques dans tous les domaines, y compris celui de la délinquance, alors qu’elles ne le sont que quand il s’agit de montrer que les enfants de l’immigration sont stigmatisés à l’embauche, ce qui est très vrai. Dans sa « bien-pensance » idéologique perpétuelle, ce gouvernement oublie simplement que si embaucher la diversité permettait de gagner plus d’argent, les entreprises le feraient depuis longtemps sans qu’il ne soit besoin d’une énième coûteuse campagne. Finalement, cette gauche qui n’en est plus une, acoquinée avec les pires éléments de l’islam, a bien du mal avec la réalité, à ce point qu’elle choisit de la nier, quitte à utiliser la mauvaise foi.
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