Islam en Afrique : un génocide qui dure depuis 14 siècles

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Les esclavagistes-castrateurs

« Jeune Afrique » n’hésite pas à évoquer la triple traite négrière : l’occidentale (la plus dénoncée), l’intra-africaine (la plus tue) et l’orientale (la plus taboue).


Mais nos bonnes âmes repentantes refusent de se demander pourquoi, après quatorze siècles de traite, dont furent victimes des centaines de millions de Noirs, on n’en trouve presque plus dans les théocraties pétrolières.


Alors que les descendants de ceux exportés vers les Caraïbes et aux Amériques pendant environ deux siècles, achetés aux marchands arabes ou aux rois nègres islamisés, sont nombreux à témoigner de ce douloureux passé.


Une réponse est donnée par l’historien Youssouf Amar qui chiffre à plus de 80 millions entre l’an 950 et 1900 les décès des déportés par épuisement, déshydratation, famine, maltraitances, maladies, ou suite aux conséquences des castrations, hémorragies, septicémies. Avant même d’être mis au travail.


Titiane N’Diaye le gravier dans la babouche


Titiane est un intellectuel Sénégalais. Un vrai. Pas un ersatz comme Papa le ministricule macronard de la sous-culture woke. En plus, c’est un homme d’action autant que de réflexion. Un ancien légionnaire nanti d’une pleine valise de titres universitaires, ça ne court pas les rues.


Il se fait connaître avec un coup d’essai qui est un coup de maître : « Le Génocide voilé » un essai consacré à la traite arabo-musulmane qui moissonna toute l’Afrique du 7e au 20e siècle.


Il eût été plus juste de donner pour titre : Le génocide dévoilé. Après tous les mensonges élaborés par les mahométans pour cacher des faits dont ils sont très fiers. Mais uniquement entre eux. Car ils savent qu’en Occident, même les plus naïfs et les plus crédules pourraient être horrifiés par les pratiques de cette secte qui sème la terreur, la désolation et la mort partout sur son passage.


Dans cet ouvrage majeur, Titiane N’Diaye démontre que les traites transsaharienne et orientale ont été beaucoup plus meurtrières que la traite transatlantique. Il en veut pour preuve le fait que les 9 à 11 millions de déportés lors de cette traite ont aujourd’hui 70 millions de descendants.


Quand la traite arabo-musulmane a déporté dans les 200 à 300 millions de personnes qui n’ont aujourd’hui que 1 million de descendants, à cause de la castration systématique pratiquée pendant près de quatorze siècles.


Il est assez intéressant de noter que des Arabes comme l’écrivain Karim Allouche et le psychanalyste Malek Chebel ont fini par lever le voile (sans jeu de mots) sur ce sujet tabou. Même s’ils ont tendance à charger les Turcs, voire les Européens, de la responsabilité de leurs ancêtres.


Et ils assument difficilement le fait qu’au XVIIe siècle, les esclaves blancs razziés par les musulmans sur les côtes d’Europe furent plus nombreux que les Africains déportés aux Amériques !


Des témoignages accablants


Citation : « Stanley constatera que dans certaines régions d’ Afrique, après le passage des Arabes, il ne subsistait guère plus de 1 % de la population. Dans le Tanganyika, les images des horreurs de la traite étaient partout visibles.


Nachtigal, qui ne connaissait pas encore la région, voulut s’avancer jusqu’au bord du lac. Mais à la vue des nombreux cadavres semés le long du sentier, à moitié dévorés par les hyènes ou les oiseaux de proie, il recula d’épouvante.


Il demanda à un Arabe pourquoi les cadavres étaient si nombreux aux environs dOujiji et pourquoi on les laissait aussi près de la ville, au risque d’une infection générale. L’Arabe lui répondit sur un ton naturel, comme s’il se fût agi de la chose la plus simple du monde : « Autrefois nous étions habitués à jeter à cet endroit les cadavres de nos esclaves morts et chaque nuit les hyènes venaient les emporter. Mais, cette année, le nombre des morts a été si considérable que ces animaux ne suffisent plus à les dévorer. Ils sont dégoûtés de la chair humaine. »


« La colonisation arabe était bien pire que la colonisation européenne » affirme le romancier soudanais Abdelaziz Baraka Sakin, auteur de « La Princesse de Zanzibar », un ouvrage interdit au Koweït et à Oman, et boycotté tant dans les théocraties orientales que les dictatures islamistes.


La géographie a déterminé l’histoire


En l’an 614 de notre ère, vingt trois prêcheurs mahométans déguisés en marchands traversent la mer rouge. Ils s’installent à Axoum aujourd’hui en Éthiopie. Dans l’année qui suit, une centaine de pèlerins viennent les renforcer.


Mais l’Éthiopie, où fleurissent des communautés chrétiennes depuis l’an 330, ne se laisse pas convertir facilement. Malgré de multiples tentatives par l’or ou par le sabre, c’est avec l’Inde un des échecs les plus cuisants des mahométans. Aujourd’hui encore, moins d’un tiers des habitants se prosterne cinq fois par jour.


Les mahométans ne sont pas racistes, mais…


Les Éthiopiens sont des Chamites. Leurs phénotypes sont proches de ceux des Orientaux. Leur épiderme est certes bien bronzé mais ils n’ont ni le nez camard ni la bouche lippue. Leur morphologie, leur volume crânien et leur angle maxillo-facial sont différents des paramètres médians relevés chez les Africains.


En outre, ils ont une civilisation. Avec des villes. Des routes. Des structures économiques et administratives. Et des armées bien entraînées. Lointains descendants des guerriers Blemmyes qui ont infligé des défaites aux pharaons et, plus tard, fait reculer les légions de Rome, cette culture épanouie aux confins du monde connu d’alors, est la seule à avoir conclu un traité équilibré avec l’empereur Auguste. Ces gens-là ne se soumettent pas sans se battre.


Mieux encore, certaines féodalités sont gouvernées par des reines guerrières, les candaces. Se faire battre par des femmes, c’est l’horreur absolue pour des mahométans ! Alors, ils préfèrent aller exercer leurs talents ailleurs.


Au Soudan « bilad es Sûdâan » pays des Noirs. Synonyme d’esclaves en arabe


Des communautés rurales éparpillées, pauvres, souvent rivales entre elles, avec peu d’armes en métal, étaient des proies faciles. Mais comme un bon musulman ne doit pas mettre en esclavage un autre musulman, les soldats d’Allah n’étaient pas trop motivés à convertir leurs nouveaux colonisés.


Ils diffusaient un islam approximatif, sans combattre avec beaucoup de conviction les résurgences d’animisme, puisqu’il n’est pas interdit selon les théologiens de la sunna d’asservir et de retenir dans les fers les « mauvais musulmans ». Pour parfaire leur éducation ?


Les Noirs enchaînés étaient d’abord castrés avant d’être mis au travail


Les spécimens les plus beaux et les plus chanceux évitaient les travaux forcés en abondant les bordels privés de princes pédérastes, barricadés dans des forteresses montagneuses d’Arabie, où nul n’irait voir ces actes sacrilèges, insultes à la « vraie religion ». Il existait même des maisons d’éducation spécialisées où l’on distendait l’anus de garçonnets eunuques pour favoriser l’usage auquel on les destinait.


La traite a perduré, discrètement, même au temps de la colonisation anglaise et après. Dénoncée par la S.D.N et l’O.N.U. Avant que ces clameurs soient mises en sourdine en 2008. Puisque les pays riverains de la mer Rouge avaient signé la charte contre l’esclavage, il n’existait plus ! C.Q.F.D.


Au Nord du continent, les migrations allèrent de l’Ouest vers le Sud


Entre l’an 641 et 647 de notre ère, les mahométans s’emparent de l’Égypte, puis de la Libye et de la Tunisie. La conquête du Maghreb se poursuit sous la dynastie des Omeyyades, par l’Algérie en 680 et le Maroc en 681.


Avant de traverser le détroit de Gibraltar en 711, les Arabes prennent le temps de convertir ou d’éradiquer les autochtones Berbères. L’islamisation de l’Afrique proprement dite s’accélère au 10ème siècle avec l’irruption des Almoravides sur les rives du fleuve Sénégal.


De l’autre côté du continent, des sultanats musulmans avaient commencé à s’installer en Somalie au 7e siècle, puis dans toute la Corne de l’Afrique au 9e siècle. Et au 12e, le sultanat de Kilwa s’étendait jusqu’au sud du Mozambique.


Une pieuse légende entretenue jusqu’à nos jours, la même que pour l’Inde musulmane, le Sri Lanka et le Myan Mar, voudrait que des autochtones se soient convertis librement et spontanément. Impressionnés par le sens de la justice, la bonté, la douceur et la probité intrinsèque des mahométans.


Les féroces djihads interethniques


En Afrique de l’Ouest, les djihads Peuls remplacèrent les rezzou endémiques par des guerres ininterrompues du XVIe au XIXe siècle. Ces raids de terreur furent stoppés par la colonisation européenne. Et reprises après les indépendances. Al Quaïda et l’État islamique en Afrique sont leurs successeurs.


En 1750, les Peuls avaient établi un sultanat et soumis à la charia une immense région comprenant les pays actuellement désignés comme Cameroun, Guinée, Mali, Mauritanie, Niger, Nigeria et Sénégal. Avec des possessions territoriales éparses au Bénin, au Burkina Faso, en Côte d’Ivoire , en Gambie, au Ghana, au Sierra Leone, au Togo et jusqu’au Soudan.


Là étaient les principaux réservoirs d’esclaves gérés par des marchands arabes et des rois nègres fournissant les Européens pour la « traite triangulaire ». Subsistent de ces temps passés, les 90 000 esclaves en Mauritanie, recensés par l’ONU pour lesquels les autorités opposent un déni vigoureux et outré.


Aujourd’hui en France, les Peuls représentent environ les deux tiers des « nouveaux Français » mélanodermes. Les plus respectés descendent des chefferies de marchands d’esclaves. Ils n’ont rien perdu de la morgue et de l’esprit conquérant de leurs ancêtres. Omar le calamar est un de leurs fleurons.


Les immigrationnistes complices des esclavagistes


N’en déplaise aux médias qui encensent ces « grands humanistes » ceux-ci contribuent à entretenir la chaîne de l’esclavage moderne. Ainsi sur une vidéo, diffusée par CNN en 2017, et qui a fait le tour du monde, on pouvait voir le long des routes migratoires menant à la Libye, des femmes, hommes et enfants venus de toute l’Afrique vendus comme des marchandises pour quelques centaines de dollars. La plupart étaient des migrants sénégalais et ghanéens, capturés pendant leur périple pour être revendus en péninsule arabique.


À l’est du continent, la traite continue avec les Djandjaouids


Cette appellation récente vulgarisée par les occupants anglais au Soudan désigne des pillards musulmans de races mêlées. Mercenaires, bandits de grands chemins et terroristes fanatiques, la plupart ne sont pas des Soudanais. Beaucoup sont des Baggaras, nomades originaires du Tchad et du Niger.


Ils se revendiquent « Arabes » quand tous les phénotypes coexistent dans ce peuple. Mais un point commun les unit : quand ils en retirent un bon prix, ils sont parmi les plus dynamiques fournisseurs en esclaves des Yéménites et des Saoudiens. Bien que les uns et les autres opposent un démenti formel.


Il s’agirait de miséreux recueillis par pure charité islamique, une forme du zakat. Et s’ils s’acquittent de menus travaux pour exprimer leur reconnaissance à leurs bienfaiteurs, qui leur ont en plus offert le voyage à la Mecque, seuls des Kouffars à l’esprit tordu peuvent y voir de l’esclavage.


Ces gens sont libres même s’ils sont surveillés en permanence, nourris des restes des repas, enfermés ou enchaînés la nuit, tabassés pour des peccadilles et utilisés pour satisfaire la libido de leurs maîtres. Puisque Allah a voulu qu’il en soit ainsi.


Christian Navis


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