Inde : contre l’islam conquérant, la stratégie du bulldozer

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Comment abattre la barbarie islamiste

Expulser de temps en temps un imam plus virulent que la moyenne, dont son pays d’origine ne veut pas, et qui trouve refuge dans la clandestinité… Ou fermer symboliquement pour trois mois une mosquée salafiste où l’on prêche le djihad, en liaison avec des organisations terroristes… C’est vouloir réduire les métastases d’un cancer généralisé avec de l’aspirine.


Pour éradiquer l’islamisme, les Indiens ont trouvé un vaccin !


Deux doses bien coordonnées suffisent : la pelleteuse ou le bulldozer pour démolir les immeubles, commerces et mosquées des fauteurs de troubles. Et leur mise au ban de la société, avec expulsion si nécessaire.


Les hindouistes qui représentent 80 % de la population indienne n’en pouvaient plus des agressions contre leurs personnes, leurs biens et leurs lieux de culte commises par des voyous, soutenus par les 14 % de mahométans.


À tel point que, cette année, les partisans du premier ministre Narendra Modi ont fêté sa réélection à la tête de l’Uttar Pradesh, l’État le plus peuplé de la Fédération, en défilant juchés sur des pelleteuses. Les plus motivés se sont même fait tatouer des bulldozers !


Depuis, la politique du bulldozer a fait des adeptes dans les autres États, forcés de constater que cette réaction musclée était une réponse très bien captée par les ennemis intérieurs.


S’y ajoute l’incitation à dégager vers les états voisins musulmans, en douceur, sans violences inutiles, simplement en privant les mahométans des aides sociales, souvent leurs principaux moyens de subsistance. Et en expédiant dans des bagnes les énergumènes à la comprenette trop obtuse pour saisir qu’il y a des limites à ne pas dépasser.


Pour dire à quel point ils en ont ras-le-bol, les hindouistes pour qui le respect de la vie est sacré, ont restauré en 2004 la peine de mort par pendaison pour certains crimes « signés » tels que assassinats de masse par des terroristes, viols collectifs, égorgements et décapitations.


Les Indiens ont eu plus de 13 siècles pour mettre au point le vaccin, l’expérimenter et savoir l’utiliser à bon escient.


Une longue histoire d’amour, de tolérance et de paix


Ils se battent depuis l’an 711 de notre ère contre ce cancer invasif, quand le Sind (partie Ouest du sous-continent) fut envahi par les mahométans. Ravages, saccages et carnages se succédèrent pendant des siècles contre ceux qui refusaient de se convertir.


Outre la destruction des temples hindouistes, bouddhistes et jaïns, des cités entières, femmes et enfants compris, furent passées au fil de l’épée ou brûlés vifs. Les plus « chanceux » étaient emmenés en esclavage pour être vendus sur les marchés d’Arabie.


La terreur atteignit son paroxysme entre 1211 et 1414 quand « nos frères musulmans qui nous aiment tant » (expression empruntée à Monseigneur Mohamed Duval, archevêque d’Alger) décidèrent d’éradiquer toutes les populations de Koufars. Provoquant des exodes massifs vers le centre de l’Inde (Dravida) et les régions himalayennes du Nord plus faciles à défendre.


Dans le même temps, sous un air plus avenant, la cinquième colonne des commerçants, des architectes et des artistes, préparait l’islamisation du Kerala (sud-Ouest du pays, carrefour maritime) et d’autres provinces, en faisant éclore partout des mosquées comme des champignons après la pluie.


La victimisation ne prend plus en Inde


En France, il est de bon ton de fustiger le lynchage d’une dizaine de musulmans par une foule furieuse en 2002… En se gardant bien de rappeler que c’était en réaction à l’assassinat de 300 pèlerins hindouistes, dans un train incendié par des mahométans qui en avaient bloqué les portes.


Il paraît que c’était un « accident ». Comme les 200 pèlerins mitraillés en 2006 sur les escaliers bordant le Gange à Varanasi (Bénarès) la ville la plus sacrée de l’hindouisme et du Jaïnisme, au bord de la plus sainte des sept rivières. Que diraient-ils si on leur rendait la politesse à La Mecque ?


Comme les bombes tuant en 2007 une cinquantaine de personnes dans des temples hindouistes à Hyderabad, autre ville sainte, à ne pas confondre avec son homonyme au Pakistan.


Comme la centaine de morts à Jaipur en 2008, dans un temple hindouiste. Et comme, cette même année, les attentats de Bombay revendiqués par les « moudjahidines du Deccan » téléguidés par le Pakistan, faisant 120 morts et 300 blessés malgré la prompte intervention des Forces Spéciales.


Une litanie interminable d’attentats. Comme en Europe. Et comme en France. Mais en Inde, on n’oublie pas. Et on ne pardonne pas.


Il n’y a plus que des intellos français, traîtres bien pourris de la tête, pour relayer les complaintes des pauvres mahométans persécutés partout. Eux dont la religion prône l’amour, la tolérance et la paix. On s’indigne de tant d’acrimonie à leur encontre.


Une autre organisation terroriste vient d’être mise hors d’état de nuire


Nos bien-pensants sont scandalisés par la répression tombée sur les dirigeants et les cadres de l’Islamic Popular Front of India.


Ils refusent de comprendre que cette filiale d’Al Qaïda, surveillée depuis des années, avait été infiltrée pour trouver des preuves des crimes commis par ses membres : des mutilations aux égorgements et décapitations au nom d’Allah, de ceux qu’ils accusaient d’apostasie ou de blasphème. Et de sévères punitions pour les femmes indociles tabassées et défigurées. Avec des trafics de drogues et de véhicules volés pour l’argent de poche.


Nos intellos de carnaval s’indignent que cette organisation terroriste à la vitrine bon chic bon genre (quelques universitaires, journalistes, fonctionnaires et magistrats parlant un anglais impeccable pour duper les étrangers) ait été interdite, et que des dizaines de ses militants aient été arrêtés dans tout le pays, particulièrement au Kerala, où l’organisation a fait preuve d’un « dynamisme » conquérant époustouflant. Avec menaces, promesses, corruptions et chantages.


Armes, explosifs, scanners de la police, uniformes et plans des lieux stratégiques ont été découverts. Une panoplie pour parfaits tueurs organisés. Mais il paraît que c’était uniquement pour se défendre contre les affreux hindouistes et les méchants bouddhistes !


Un premier ministre bien décidé à écraser l’ennemi intérieur


En Inde, la politique de Narendra Modi, premier ministre depuis 2014, se réclame de l’Hindutva, un courant idéologique vigoureusement anti-musulmans. L’inde aux Indiens. Dans une nation hindoue.


C’est dit sans complexes ! Et sans se soumettre aux influences étrangères, comme celles des USA et de l’Eurocrature qui fustigent son attitude, jugée malveillante envers les pauvres gentils mahométans persécutés.


Par un effet de ricochet, les conflits entre hindouistes et mahométans se sont exportés en Grande-Bretagne comme à Leicester, ville conquise par l’islam. Mais où les hindous ne baissent pas les yeux ni ne rasent les murs, apeurés comme des Blancs désemparés.


La préférence nationale, une excellente solution !


Les collabos français qui tiennent en main les médias ne comprennent pas qu’en Inde, quand plusieurs membres d’une même famille hindouiste sont égorgés, leurs biens accaparés et leur maison incendiée, on ne dise pas qu’on a affaire à des déments qu’on ne peut pas condamner, parce qu’ils sont victimes du choc des cultures et ne connaissent pas les bons codes.


On ne comprend pas non plus que Narendra Modi, nationaliste assumé, applique des mesures économiques et sociales de préférence nationale au profit de ses vrais concitoyens, et au tout premier plan les hindouistes. Et limite on retire leurs droits aux « autres », en proportion de leur rejet de la société et de leur refus d’en respecter les règles.


On comprend encore moins sa loi sur la citoyenneté de 2019 qui associe l’attribution de la nationalité indienne à un mélange de considérations ethniques, civiques et religieuses pour les nouveaux venus. Et surtout la refuse ou la retire aux délinquants, terroristes et autres fauteurs de troubles.


Notre amie Giorgia aurait quelque chose de semblable dans ses cartons. On verra si elle osera aller jusqu’au bout quand elle gouvernera effectivement.


Maintenant avec Modi, les « beaux esprits » parlent de discriminations intolérables quand il dit que les barbus porteurs ostensibles de Kamis, gandoura, keffieh et autres vêtements islamiques sont ingérables et non-intégrables. Et ce « monstre » refuse le port du voile à l’école et a interdit les hurlements dissonants des appels à la prière dans les lieux publics !


Le religion ne doit plus justifier les crimes terroristes


Il n’est pas question de remettre en cause la liberté des cultes dans un pays qui compte une dizaine de religions historiques et une centaine de sectes. Mais de rappeler que toute croyance relève du domaine privé et doit s’exercer de façon neutre dans le respect de ses voisins et de l’ordre public. La paix sociale en dépend.


Pour la petite histoire, en Uttar Pradesh son État d’origine (l’Inde est une république fédérale) Modi a fait voter en 2020 une législation visant à contrôler les mariages interreligieux entre une hindouiste et un mahométan, quand celui-ci affiche des convictions radicales dans lesquelles il entend entraîner son épouse. Pas de « love jihad » comme pour ces Françaises qui ont suivi leur seigneur et maître en Iraq pour y devenir des criminelles à leur tour.


Modi n’est pas homme à se laisser impressionner par les récriminations des donneurs de leçons.


Indira Gandhi, icône de l’Occident, qui le trouvait un peu excessif, en avait fait un fugitif contraint de se déguiser en brahmane ou en trimardeur pour se déplacer dans son propre pays. Où les mahométans arrogants tenaient alors le haut du pavé. Mais la complaisance des deux Gandhi envers les islamistes ne leur a pas porté chance.


Un philosophe français, jongleur de fêtes foraines, facile à identifier, avait déclaré naguère : « J’ai très peur pour l’Inde qui a une diversité splendide ».


Moi j’ai eu très peur pour la France quand j’ai vu qu’après avoir bulldozérisé un squat transformé en mosquée à Calais, nos politicards se sont crus obligés de faire démolir une église « par souci d’équilibre » pour ne pas mécontenter les caïds de la mafia islamique.


Heureusement que de plus en plus de peuples comprennent combien l’islam, cette croyance cruelle, barbare et arriérée, est un danger pour la civilisation, et sont décidés à entraver ses visées hégémoniques.