Australie et Nouvelle-Zélande : autres terres de conquête pour l’islam

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Comme en France, la même recette islamiste : intimidation et terrorisme

Des faits divers plus éloquents que de grands discours.


En 1999, Rodney Ansell, le vrai Crocodile Dundee, une gloire nationale, saoul et déprimé, force un barrage de police. Sanction immédiate sans passer par le juge : 30 balles dans le corps. C’est la règle. On l’applique sans états d’âme.


En 2005, des viols collectifs sont commis à Sydney par des « Orientaux » sur des femmes non musulmanes. Pour éviter des émeutes, les autorités passent l’éponge. Après tout les « sheilas » les avaient provoqués avec leurs minijupes.


Qu’elle est loin l’Australie que j’ai connue où, dans le moindre « diner’s » du bush, il fallait prouver qu’on était « a rough and tough guy » en faisant un bras de fer avec un malabar local, et à défaut de le battre, résister assez longtemps pour être respecté.


Le souk a commencé alors qu’ils étaient à 2 % !


En 2012, des mahométans démolissent et incendient le centre de Sydney pour protester contre le film « Innocence of Muslims » qui narre la vie criminelle de leur pédo-prophète. Le film sera retiré illico de l’affiche.


Comme en France et partout ailleurs, interdit de dévoiler aux yeux des ignorants et des crédules la face cachée de la RATP (religion d’amour, de tolérance et de paix) et la vie édifiante de leur vénéré modèle.


Finalement une version islamiquement correcte, révisée par l’université Al Azhar du Caire, sera autorisée par la police religieuse. C’est celle que vous pouvez trouver sur YouTube qui vous entube comme d’habitude.


Les 15 et 16 décembre 2014, un Iranien, Hanon Monis, qui ne devait pas aimer le chocolat, assassine froidement 3 otages qu’il retient au Lindt Café de Sydney avant d’être abattu par un sniper de la police. Épargnant la vie des 20 autres otages. Tollé international. Ce malheureux était un déséquilibré. Bien évidemment. Même s’il a déployé une banderole avec des sourates à la gloire des martyrs morts pour Allah, on ignore ses motivations. Un grand classique.


Les bateaux refoulés, c’est l’écume de la vague


À en croire le gouvernement de Canberra, aucun bateau de migrants n’aurait réussi à accoster en Australie depuis 2015. Comme par hasard 2015 est l’année de création de « Reclaim Australia » (Reconquérir l’Australie) qui organise des manifestations contre l’islam dans toutes les grandes villes australiennes.


La dernière arrivée massive d’intrus remonterait à juin 2014, quand 157 clandestins avaient été interceptés dans l’océan Indien et transférés au centre de rétention de l’île Christmas. Une image virale qui indigne les collabos et réjouit les patriotes. Mais la réalité est plus complexe.


Le gouvernement ne se vante pas de verser chaque année des rançons de dizaines de millions de dollars à l’Indonésie musulmane pour que ce pays reprenne ses ressortissants. Lesquels reviendront à la première occasion.


Le pays-île-continent a 30 000 km de côtes, parfois sur des centaines de km de zones désertiques. Ces rivages ne peuvent être tous surveillés, d’autant que la densité de population est faible : 3 habitants au km2 (pour 120 en France).


Jusque en 1973, l’Australie avait une politique migratoire cohérente. Elle accueillait des migrants du monde entier sous trois conditions :


1/ D’abord qu’ils soient caucasiens, de préférence protestants


Les Latins catholiques et les Slaves orthodoxes étaient acceptés une fois sur place, mais on ne faisait rien pour les attirer.


Quant aux Zoulous et aux Bédouins, faute de visas, on ne les laissait même pas descendre de l’avion. Les « touristes » et étudiants-bidon qui trompaient leur monde étaient invités à s’en retourner chez eux au plus vite. Mais la « vertueuse communauté internationale » au service du NWO et vendue aux pétrodollars fustigeait ces comportements xénophobes.


À l’époque, l’Australie était un pays presque aussi propre que la Suisse ou Singapour. Et les taux de criminalité et de délinquance étaient parmi les plus bas du monde. D’autant que les flics étaient encouragés à flinguer sans autre forme de procès les individus louches qui refusaient d’obtempérer.


2/ Ensuite qu’ils aient des compétences dont le pays pouvait avoir besoin


L’éventail était large. Des maçons et électriciens aux médecins et infirmiers, en passant par les frigoristes, les mécaniciens, les électroniciens, les ingénieurs, les scaphandriers et les cuisiniers. Les opportunités ne manquaient pas. Chaque région établissait une liste de ses besoins, remise aux nouveaux arrivants.


Les glandeurs-guitaristes-surfeurs étaient des postes réservés aux rejetons de la bonne bourgeoisie locale, le temps que jeunesse se passe.


Les nouveaux venus pouvaient bénéficier pendant 6 mois du « welfare » (le RMI local) pour leur laisser le temps de s’installer, trouver du travail ou monter leur boîte. Au-delà, les parasites et les profiteurs étaient foutus dehors.


3/ Enfin qu’ils n’aient pas une fiche Interpol aux fesses et qu’une fois sur place, ils respectent les lois et règlements du pays d’accueil


Une banale altercation avec les voisins, une bagarre de bar, un refus de priorité ayant froissé de la tôle, laisser son chien divaguer et ne pas ramasser ses crottes, étaient des motifs suffisants pour vous faire sermonner par la police et infliger une amende. Et on vous virait comme un malpropre en cas de récidive ou de cumul de petites infractions.


Les délinquants qui avaient échappé aux balles des cops étaient envoyés dans des fermes et des chantiers pénitentiaires pour bagnards. Tout ce qu’on peut en dire, est que les prisons françaises étaient des clubs de vacances en comparaison.


1973 le commencement de la fin


Cette année-là, le gouvernement de gauche abolit la peine de mort, remplace la plupart des matons par des travailleurs sociaux, et décide de « peines allégées » pour les plus dangereux criminels multirécidivistes qu’il faut réinsérer.


En outre, à partir de 1973, le gouvernement décide de démanteler la politique d’immigration qui avait prévalu jusqu’alors. Au lieu d’essayer d’assimiler les nouveaux étrangers, les autorités adoptent la dangereuse illusion mondialiste selon laquelle la pluriethnicité et le multiculturalisme seraient des sources d’enrichissement intellectuel et de progrès social.


La porte était ouverte pour que les mahométans rappliquent en masse


Le cancer de l’islam en a profité pour étendre ses métastases. Comme sur toute la planète. Avec son cortège de saletés, de fainéantise, de délinquance et de crimes. Imposés par les Nations désunies qui menaçaient d’infliger à l’Australie les mêmes sanctions économiques anti-apartheid qu’à l’Afrique du Sud !


Il en est venu de plus de soixante pays à la fois, à la suite des guerres en Bosnie, Soudan, Somalie, Liban, Irak, Afghanistan. D’autres fuyaient la misère en Malaisie, Indonésie, Fidji, Bangladesh.


Pour certains, la dictature et un mix de misère et de guerre justifiaient leur exil d’Iran, de Turquie, du Pakistan, d’Albanie, d’Égypte.


Comme en France, les envahis qui refusent l’islam conquérant sont mis au ban de la société. Lavage, essorage et repassage des cerveaux assurés par des enseignants gauchistes et la caste politico-médiatique corrompue.


Ainsi, lorsqu’un inévitable ras-le-bol pousse les Australiens à fustiger les conquérants de leur pays et à réclamer leur expulsion, des milliers de gogos viennent soutenir les mahométans, subjugués par une propagande incessante en leur faveur.


Bien entendu personne n’évoque la famille Al Banna, qui a installé là-bas aussi une succursale des Frères musulmans, pour promouvoir l’islam le plus radical, et rappeler à l’ordre ceux et surtout celles qui prennent des libertés avec la charia.


Les mahométans ont raison de se rengorger de la stupidité des kouffars


Il m’arrive de parcourir les médias islamiques. C’est toujours utile de savoir ce que pense l’ennemi et de connaître les mauvais coups qu’il prépare.


Ainsi Oumma.com, site en français, prouve bien l’internationalisation de leurs projets de conquête. Ils se félicitent ouvertement des testings dans la rue façon anti-France et écrivent à propos de l’Australie :


« Amusez-vous à insulter les musulmans dans la rue en Australie, et vous verrez ce qui se passe ! Tel était l’objectif de l’expérience édifiante « Muslim Hate – Social Experiment », mettant en scène un Australien qui avait pour mission d’apostropher des musulmans et de les critiquer, en les traitant de terroristes, tout en prenant les badauds à témoin. La réaction des passants ne s’est pas fait attendre, elle a été tout simplement épatante. »


Ces braves couillons ont pris le parti des envahisseurs, persuadés que ces malheureux sont brimés, maltraités, et victimes d’injustices et de vexations racistes. Puisqu’ils l’ont dit à la télé, c’est donc vrai.


Là-bas aussi, un « Reconquête » émerge lentement mais sans faiblir


Dans ses communiqués de presse, l’organisation, « Reclaim Australia » (Reconquérir l’Australie) constituée en communautés à travers toute l’Australie grâce au téléphone arabe (!) affirme ne pas être un groupe raciste ni des partisans de la suprématie blanche, mais de simples patriotes qui aiment leur pays et veulent préserver leurs valeurs et leur mode de vie, contre des délinquants aux mœurs étrangères qui prétendent les remplacer.


Les politiciens véreux et les journaleux vendus y voient l’influence des nazis. Une accusation délirante reprise in extenso par le docile Wikimerdia. Nul ne résiste aux virements de pétrodollars sur des comptes numérotés dans des paradis fiscaux. Et des flics à la cervelle de moineau tabassent les Aussies qui ne font qu’exercer dans la rue leurs droits constitutionnels de « demonstration ».


À l’inverse, lorsque des contre-manifs de bâchées, d’enturbannés et de collabos dénoncent l’islamophobie, les unités de la police anti-émeute ont ordre de les laisser passer et de regarder ailleurs, quand ils brisent des vitrines, pillent des magasins et incendient des bus et des voitures.


À Melbourne, les forces de l’ordre ont fini par disperser des manifestants après de violentes échauffourées. Cinq personnes ont été arrêtées. Que des militants de « Reclaim Australia » qui s’opposaient aux fauteurs de troubles. Qu’on n’a pas réussi à identifier, paraît-il. Un Français ne serait pas trop dépaysé !


En tout cas, ce fut un bon entraînement pour massacrer en 2021, aux LBD et aux gaz incapacitants les manifestants anti- faux vaccins. Avant d’en enfermer quelques-uns dans des centres de rééducation. Un traitement ignoble qu’on n’oserait jamais infliger aux soldats d’Allah.


La Nouvelle-Zélande associée à l’Australie file elle aussi un mauvais coton


Le monde entier a exprimé sa réprobation après le massacre de Christchurch en 2019 et Jacinda Ardern, la première ministresse young leader de Davos et de la Trilatérale, a versé son torrent de larmes de crocodile.


Mais on s’est bien gardé de dire que l’augmentation exponentielle des crimes et des délits commis par les mahométans ces dernières années en NZ comme ailleurs, sans parler des « incivilités » quotidiennes qui pourrissent la vie des gens honnêtes, ont constitué un terreau propice à une détestation de ces allogènes dans laquelle des agités comme Brenton Tarrant puisent leur motivation.


Et histoire de jeter un peu plus d’huile sur le feu pour exaspérer les gens, et pouvoir ensuite se présenter en victimes, Imran Khan, le Premier ministre du Pakistan, a osé exiger du gouvernement NZ qu’un hommage national soit rendu aux victimes de la fusillade, qualifiées de martyrs.



Ce à quoi Jacinda a obtempéré, en se déguisant avec un hidjab pour la circonstance.


Dans la foulée, des milliers de connes qui se croient féministes (mais fantasment d’être des femelles soumises ?) ont publié, principalement sur Twitter, des photographies d’elles déguisées en Belphégor, accompagnées de commentaires de soutien aux mahométans.


On dit que les lapins sont hypnotisés par les cobras, au point qu’au lieu de détaler, ils restent immobiles, et se laissent dévorer sans réagir. L’Occident est un immense clapier de lapins crétins.


Christian Navis


Climats sous influence (climatorealist.blogspot.com)