Recette pour un suicide national
La question se pose. Après une série de grands revers historiques : la conquête, le désastre des Patriotes, la tragédie des deux référendums et les autres déconvenues telles la péripétie des élections où une minorité de possédants s’empare du pouvoir incessamment, il est normal d’envisager, pour le Québec, une fin collective plus ou moins lente mais inexorable. Évidemment une nation ne meurt pas d’un coup sec. Elle ...