En juin 2016, Raïf Badawi, condamné à dix ans de prison et à 1000 coups de fouet pour avoir critiqué des dirigeants religieux saoudiens, en sera à sa quatrième année d’emprisonnement et cela, malgré des campagnes de sensibilisation actives de la section francophone d’Amnistie internationale Canada.
Or, il semble que son « statut soit maintenu » malgré une information du secrétaire d’État suisse aux Affaires étrangères, Yves Rossier, qui avait affirmé en novembre 2015 qu’une « procédure de grâce » avait été lancée concernant M. Badawi. Depuis lors, aucune nouvelle.
Toutefois, il semble que le nouveau ministre des Affaires étrangères du Canada, Stéphane Dion, aient ouvert les canaux de communication avec Amnistie internationale, ce qui représente déjà un progrès par rapport à l’administration Harper.
Néanmoins, je suis d’avis que l’intervention du premier ministre Trudeau pourrait faire avancer les négociations liées à la libération de Raïf Badawi. Alors, M. Trudeau, il est temps d’agir en fonction de vos convictions souvent affirmées envers les droits et libertés de la personne !
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