Le boulet
Stephen Harper en avait autant besoin que d'un mal de dents: une enquête publique sur les relations entre Brian Mulroney et Karlheinz Schreiber.
Le premier ministre n'a toutefois pas eu le choix. S'il avait pu résister aux pressions de l'opposition et opter, la semaine dernière, pour la nomination d'un conseiller indépendant chargé de lui indiquer la voie à suivre, sa position est devenue intenable hier. D'abord, parce que Brian Mulroney a lui-même souhaité la tenue d'une telle enquête et, ensuite, parce que le Globe and Mail a révélé que M. Schreiber avait...