Rapport préléminaire
14 mars 2013
Monsieur Boily,
Tout à fait d'accord avec vous.
Mes salutations.
La multiplication des partis nuit à la cause
Psychodrame au PQ
Montréal dit non à Québec.
Voilà où nous mène à grands pas notre gouvernement libéral.
14 mars 2013
Monsieur Boily,
Tout à fait d'accord avec vous.
Mes salutations.
13 mars 2013
J'aimerais bien savoir qui a produit ce vidéo, c'est sans doute secondaire pour certains... Si on mettait autant d'énergie à combattre nos ennemis, les vrais, on l'aurait vite notre pays. Mais, pour aller dans le sens d'Albert Memmi, le colonisé, lui, c'est les siens qu'il combat; il cherche chez eux la moindre petite faille, sans doute pour se convaincre dans son inconscient qu'il est bien mieux avec le statu quo et la bienveillante attention du colonisateur. La haine des nôtres c'est aussi la haine de soi, C'est ce que j'ai compris.
Salutations.
4 mars 2013
Monsieur Parent,
Vous avez le droit le plus strict de critiquer le gouvernement Marois mais, en tout respect pour vous, vous en mettez un peu épais. Les bons médias, que vous dites parcourir quotidiennement, titrent déjà que "le PQ sabre dans l'aide sociale"( Le Soleil) ou "coupe en catimini dans l'aide sociale" (Le Devoir) mais, vous devez le savoir, le projet paru dans la Gazette officielle n'en est qu'à l'étape de la consultation publique et les mesures qui seront éventuellement adoptées pourraient bien être totalement différentes de celles déposées ou tout simplement retirées. Et puis, pour vous rassurer, je vous signale que le budget 2012-2013 ne prévoit aucune diminution dans les crédits alloués à l'aide sociale( 2,9 milliards de $, tout comme l'an passé).
On a pris l'habitude, dans les médias fédéralistes surtout, de faire des procès d'intention au gouvernement Marois pour des mesures qui sont à l'état de projets ou qui ne sont même pas encore annoncées, ou même sur la base de vagues rumeurs entendues sur la colline parlementaire. J'ai cru pendant longtemps, sans doute naîvement, qu'une population mieux informée et plus instruite connaîtrait mieux le fonctionnement de nos institutions publiques et échapperait à ces manipulations médiatiques. Je constate encore aujourd'hui que je me suis trompé.
Mes salutations.
23 février 2013
Monsieur Vincent,
Merci de rappeler à ceux qui se souviennent, et j'en suis, ces paroles entendues mille et une fois dans mon enfance à mon retour de l'école le midi. J'ai bien ri en les relisant, je les ai même chantonnées, mais vous me faites réaliser qu'on nous invitait déjà à cette époque à nous boucher le nez et à nous fermer les yeux pour ne pas voir tout cette saleté qui nous entoure au quotidien. On ne nous invitait pas au combat pour changer les choses, loin de là, mais à nous fermer les yeux et à tirer le meilleur de la vie sans se soucier du reste.
J'en connais beaucoup qui ont suivi ces "précieux" conseils parce qu'ils sont de toutes les festivités et ne lèveront jamais le petit doigt pour améliorer notre sort collectif.
Salutations.
11 février 2013
Madame Fournier,
Tout comme vous, j'ai porté le carré rouge dans les manifestations et ai appuyé fortement la cause étudiante. Mais, contrairement à vous, je trouve tout à fait raisonnable cette idée d'augmenter les droits de scolarité au rythme du coût de la vie, soit de 2 à 3%. Il s'agirait là d'un gain énorme pour les étudiants, sachant que le gouvernement précédent voulait les augmenter d'environ 80%. On ne réalise pas à l'évidence dans certains milieux que les finances publiques sont dans un état précaire et que le gouvernement doit faire des contorsions budgétaires énormes, à l'encontre souvent de l'opinion publique et de l'opposition à l'Assemblée nationale, pour permettre ce compromis plus que raisonnable.
Alors, si vous voulez retirer votre appui à ce gouvernement qui a pris d'énormes risques politiques en supportant la cause étudiante( ça explique pourquoi il est minoritaire), libre à vous mais, de mon humble point de vue, vous faites une très mauvaise lecture de la situation, et c'est aussi désespérant pour la cause de l'indépendance nationale qui a besoin plus que jamais de faire unité. Et, soit dit en terminant, je suis bien à l'aise de vous exprimer mon point de vue à ce sujet, n'étant pas membre de ce parti et ne leur devant rien.
Mes salutations.
28 décembre 2012
@ Le Chevalier du Lys,
C'est le clou de la journée! Selon vous qui lisez si bien dans le coeur de tout un chacun, les électeurs de QS ne voteraient pas en faveur de la souveraineté si le projet de référendum était piloté par le PQ, de crainte de se retrouver avec un gouvernement de droite après l'indépendance. Si je comprends bien, mieux vaut rester dans le Canada avec la droite de Harper au pouvoir qu'avec un PQ au pouvoir après l'indépendance! Quel raisonnement!
Il faut l'haïr pas à peu près le PQ pour tenir de tels propos. Si par hasard c'était vrai et que c'est également ce que vous pensez, ça en dirait long sur la profondeur des convictions souverainistes de certains. Je m'arrête là.
Salutations.
27 décembre 2012
@ Le Chevalier du Lys,
Vous dites: "Moi, ce qui me renverse, c'est de voir des souverainistes qui croient encore que le PQ est souverainiste". Je ne suis pas membre du PQ mais je voudrais vous répondre parce que votre affirmation est erronée. D'abord, dans mon livre à moi, en régime démocratique, un parti politique c'est d'abord et avant tout ses membres, avec leurs attentes et leurs convictions; ce sont les membres qui définissent un parti et non ses dirigeants. Or, selon le sondage Léger du 24 novembre dernier, 83% de ceux qui appuient le PQ voteraient en faveur de la souveraineté s'il y avait un référendum aujourd'hui( c'est plus que le 80% d'ON et beaucoup plus que le 50% de QS). Qu'on le veuille ou pas, ces chiffres, il me semble, démontrent de façon très nette que le PQ est et demeure un parti très fortement souverainiste.
Je ne sais pas pourquoi vous vous acharnez à répéter à dire le contraire sur ce site. Espérons que ce n'est pas une certaine partisanerie qui vous aveugle et vous empêche de voir des réalités aussi évidentes.
Mes salutations à vous.
11 décembre 2012
Monsieur Marineau,
Quelle déception j'ai éprouvée en lisant votre texte! Je ne sais si c'est une habitude chez vous mais je note que vous reprenez presque textuellement dans votre texte d'aujourd'hui le contenu de celui publié ce matin dans Le Soleil sous la plume de Michel Corbeil, un bon journaliste employé de Paul Desmarais qui s'est donné pour mission de combattre le projet d'indépendance du Québec. Au cas où vous l'ignoriez, le Comité de sages que veut créer madame Marois n'a pas pour mandat de dresser la liste des bons et mauvais coups passés, tant du côté des libéraux que des péquistes, mais de définir des règles et critères pour mieux encadrer le processus de nominations aux postes supérieurs de la haute fonction publique. Il n'y a pas de partisanerie associée à ce mandat-là, il ne consiste qu'à revoir les règles actuelles pour éviter à l'avenir la répétition de cas comme celui d'André Boisclair. Le motif est noble, pourquoi chercher à y voir de la partisanerie?
Je lis régulièrement vos textes, monsieur Marineau. Ils sont bien écrits et généralement constructifs. Mais celui d'aujourd'hui illustre bien un commentaire que je faisais hier sur Vigile. J'y déplorais en effet que certaines personnes, qui se disent par ailleurs de bons patriotes et souverainistes, fassent le jeu de notre adversaire politique en reprenant, souvent mot pour mot et sans exercer leur sens critique, les interprétations trop souvent abusives et tordues que fait la presse fédéraliste des moindres gestes posés par ce gouvernement, dans le but évident de le faire mal paraître.
Je crois comprendre que vous êtes maintenant membre d'Option nationale; ce n'est pas un reproche, c'est un parti que je respecte. Il est toutefois à espérer que ce n'est pas une certaine partisanerie, celle-là même que vous dénoncez, qui vous pousse à vous en prendre à tout propos au gouvernement du Parti québécois. Il n'y aura pas de pays du Québec, monsieur Marineau, si on n'arrive pas d'abord individuellement à se libérer du contrôle que veut exercer sur nos façons de penser cette presse hostile.
Mes salutations.
10 décembre 2012
@ Monsieur Bergeron,
Je partage pleinement votre point de vue. Il est regrettable que notre gouvernement national, déjà la cible de l'oligarchie capitaliste et fédéraliste et les médias qui sont à son service, soit en plus dénigré sans retenue par des gens qui se disent de grands patriotes. Ce gouvernement minoritaire est loin d`être parfait mais il est pour l'instant le seul espoir que nous avons de garder ouverte la voie de notre libération nationale.
Il n'y a rien de plus désolant par les temps qui courent de voir des gens, qui se disent libres d'esprit, reprendre bêtement à leur compte, parfois mot à mot, les pseudo-arguments utilisés par cette presse hostile pour mal faire paraître notre gouvernement. C'est malheureusement ce genre de discours que l'on va devoir supporter jusqu'à nous en donner la nausée pendant la période des Fêtes.
Mes salutations à vous.
7 décembre 2012
@ Le chevalier du Lys
Monsieur,
Faisons preuve d'un peu de réalisme si vous le voulez bien. Vous auriez suggéré de combler le trou de 1,6 milliards de $ en instaurant Pharma-Québec, une idée à laquelle je suis d'ailleurs sympathique. Pour ce faire, il faut faire adopter une loi à l'Assemblée nationale, chose qui est impossible à court terme avec une opposition qui s'oppose à presque tout. Le gouvernement a choisi plutôt d'abolir la règle du 15 ans de protection comme le suggérait l'IREC; c'est un premier pas. Même si la loi créant Pharma-Québec avait été adopté rapidement, ça aurait pris des mois à tout mettre en place et il aurait fallu éponger le 1,6 milliards quand même sur le budget actuel, ce que le gouvernement n'avait pas le choix de faire pour éviter la décote. Pas si facile de gouverner comme le dit monsieur Boily.
Je vois néanmoins que votre idée est faite et que vous considérez que le PQ est l'"ennemi à abattre". J'espère que vous n'êtes pas aveuglé par la partisanerie sinon il n'y a plus de discussions possibles. J'essaie de mon côté de voir les choses le plus objectivement possible. Soit dit en passant, je n'ai jamais été membre du PQ et suis capable de prendre mes distances, croyez-moi.
Mes salutations respectueuses.
6 décembre 2012
@ Monsieur Pierre Tremblay,
Je respecte votre point de vue, croyez-moi, mais je ne vois pas les choses de la même façon. Le PQ a hérité avec son élection d'un État en très mauvaise posture: des finances publiques précaires( trou de 1,6 milliards de $, dette incontrôlée), des problèmes criants à tous les niveaux(recul de notre langue nationale, corruption endémique, crise étudiante et sous-financement universitaire, spoliation de nos ressources naturelles, problèmes non réglés en santé, en environnement et quoi encore. Pour tout faire ça, nous, les sages électeurs que nous sommes, avons donné à ce gouvernement un lance-pierre pour affronter une armée équipée de bazookas, bien supportée par une puissante oligarchie et des médias qui veulent détruire ce parti en même temps que notre rêve de pays.
On ne semble pas réaliser que les défis de ce gouvernement-là sont énormes et auraient nécessité au moins un plein mandat de 4 ans, et ce avec une majorité en chambre. Mais, trois mois à peine après son élection, nous les bons Québécois souverainistes, on lui rentre dedans comme s'il était en fin de mandat et l'ennemi à abattre, en reprenant le plus souvent à notre compte les arguments que nous suggèrent les médias hostiles à notre cause. Pourrions-nous, sur ce site surtout, exercer un peu notre sens critique face à cette presse hostile qui ne cherche qu'à réduire à néant tout ce qui nous reste de dignité nationale?
Mes salutations à vous.
6 décembre 2012
Monsieur Boily,
Vous avez tout à fait raison, c'est très difficile de gouverner quand on est minoritaire, surtout quand on a sur le dos l'oligarchie fédéraliste et tous les médias hostiles à notre cause.
Mais, moi, ce qui me fait le plus mal dans ce temps-ci et me tue à p'tit feu, c'est de voir des vigiliens(je ne parle pas de vous, croyez-moi) reprendre à leur compte et nous répéter les propos souvent tordus des Marrissal et autres journalistes de cette presse hostile, qui travaillent chaque jour avec acharnement pour tuer tout espoir que le Québec devienne un jour un pays indépendant. Il y en a qui ne prennent aucun recul, ne se posent aucune question sur les intentions qui se cachent derrière les pseudo-arguments de ces journalistes, ils achètent tout et nous reservent à leur façon cette soupe immonde pour mal faire paraître le seul gouvernement qui peut pour l'instant tenir tête à cette oligarchie. Il y a de quoi à en brailler. Excusez-la.
Mes salutations respectueuses à vous.
Personne ne suit Yves Rancourt. Soyez le premier!