Tout le monde sait très bien, on en a abondamment parlé ici, que les médias fédéralistes se font un malin devoir de faire grand cas de la moindre petite erreur du gouvernement du Parti québécois, le seul qui pour eux représente une menace au statu quo canadian. Ils essaient donc par tous les moyens d’ébranler la confiance de ceux et celles qui sont encore favorables à ce gouvernement et à notre cause nationale, en publicisant à outrance des supposées errances( qui souvent s’expliquent) sur de petits dossiers auxquels le public est sensible étant donné la situation des finances publiques et la corruption qui court.
Ce qui est désolant ici, c’est de voir des gens sympathiques à la cause de la souveraineté du Québec reprendre les textes de ces médias fédéralistes et en faire eux-mêmes grand cas, en leur donnant souvent une importance démesurée. Croit-on ainsi bien servir notre cause nationale en relayant ces dossiers ? Ne pourrait-on pas se concentrer sur des enjeux pas mal plus fondamentaux pour notre avenir collectif et laisser ces médias faire leurs sales besognes sans s’en rendre complices ? Il me semble qu’on a tous mieux à faire, n’est-ce pas ?
La multiplication des partis nuit à la cause
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3 commentaires
Archives de Vigile Répondre
11 décembre 2013Il n'y a rien qui me dit que M. Marineau n'est pas fédéraliste et partisan du PLQ. Ses écrits me font penser à quelqu'un qui de cache derrière ses écrits. A beau mentir qui vient de loin.
Archives de Vigile Répondre
10 décembre 2013Contente de lire votre commentaire! Je me disais la même chose que vous en lisant l'article de Monsieur Marineau. Il me semble qu'il y aurait mieux à faire que chercher des poux au PQ!
Yves Rancourt Répondre
10 décembre 2013Des lecteurs de Vigile pourraient se demander à quoi veut en venir au juste ce texte. Pour information, j'ai écrit ce texte en réaction à celui de Monsieur Marineau intitulé "Favoritisme et copinage.Le refuge payant d'André Boisclair au COMEX".
C'est Vigile qui a décidé de reprendre ici mon commentaire fait à Monsieur Marineau, en le coiffant d'un titre de son cru, ce à quoi je ne m'objecte bien sûr aucunement.