La nuit du Nouvel An 2016 restera gravée d’une pierre noire dans l’histoire continentale. Partout en Europe du Nord, notamment l’Allemagne, des hordes de migrants et de faux réfugiés ont agressé, violé et violenté des femmes européennes. Selon les derniers bilans, plus de 500 plaintes ont été déposées pour la seule ville de Cologne, dont 200 concernant des agressions sexuelles.
Tous les agresseurs étaient d’origine extra-européenne, à l’exception d’un homme originaire des Balkans. Vingt monstres ont été formellement identifiés. Parmi ces hommes âgés de 16 à 32 ans, on trouve sept Marocains, trois Algériens, un Tunisien, un Syrien, un Turc, un Iranien, un Albanais, un Somalien, un Libyen, un Nord-Africain de nationalité inconnue et un homme de nationalité inconnue. Cinq d’entre eux se trouvaient illégalement en Allemagne, deux d’entre eux se trouvaient dans des situations non élucidées, les autres étaient des « demandeurs d’asile » (y compris issus de pays qui ne sont pourtant pas en guerre, mais c’est au peuple allemand de demander des comptes à Angela Merkel).
Je ne m’attarde pas sur les autres viols de masse commis en Allemagne, en Suède, en Finlande ou en Suisse. Je ne m’attarde pas, non plus, sur les viols commis à Calais ou bien sur la tentative de viol avortée d’une jeune fille par trois migrants afghans armés d’un couteau dans un TER versaillais. Je ne prends pas la peine de vous raconter en détail le meurtre de la fillette de sept ans d’un couple suédois qui s’était porté volontaire pour accueillir un migrant érythréen, ni le viol d’un jeune Allemand de seize ans par un migrant d’une trentaine d’années qu’il avait eu la faiblesse d’aider à accomplir ses démarches administratives.
Pourquoi le faire ? Nous décrivons les multiples drames causés par l’immigration de masse sous les insultes permanentes de la gauche bien-pensante et les cris d’orfraie de la droite libérale de monsieur Pierre Gattaz, trop heureux de bénéficier d’une main-d’œuvre encore meilleur marché. Ce que la presse nous apprend aujourd’hui, nous le savons depuis longtemps. L’immigration est le problème fondamental auquel notre continent, et notre pays, sont confrontés. Et ça ne date pas d’hier. Non, cela dure depuis déjà quarante ans. La seule différence entre hier et aujourd’hui ? Il n’est plus possible à personne de le cacher. C’est trop gros, trop voyant. Attentats terroristes, églises brûlées, insécurité, crise économique, viols de masse : voilà le produit de l’Europe de Schengen.
Quelques irréductibles continuent pourtant à nier farouchement la réalité. Si Claude Askolovitch a ouvert les yeux en déclarant sur i>Télé que la « réalité correspond très exactement au discours de l’extrême droite (sic) », il n’est pas suivi par tous ses petits condisciples.
Michèle Cotta a déclaré sans rire que les « migrants n’ont pas l’habitude de boire de l’alcool ». La belle affaire ! C’est donc pour ça qu’on a retrouvé un lexique arabo-allemand sur l’un d’entre d’eux, accompagné de phrases telles que « Je veux baiser » et « Je vais te tuer ».
La super-féministe Caroline De Haas ne sait pas qui choisir entre ces deux victimes de l’homme blanc que sont les femmes et les « anciens colonisés ». Elle a ainsi déclaré ceci sur Twitter : « Ceux qui disent que les agressions sexuelles en Allemagne sont dues à l’arrivée des migrants : allez déverser votre merde raciste ailleurs. » Mieux vaut nier la vérité que se confronter à ses propres contradictions, semble-t-il.
À l’identique : une militante des No Borders italiens reçoit actuellement des pressions des membres de l’association pour cacher le viol que lui a fait subir un migrant, le Parti socialiste n’a pas condamné les viols commis par les migrants en Allemagne pour éviter les « amalgames », la police suédoise s’est entendue avec les médias locaux pour ne pas médiatiser une série d’agressions sexuelles perpétrées par des migrants…
Tout cela est avéré. Silence radio de la gauche Terra Nova. Son utopie est notre cauchemar. Le cauchemar de l’Europe, voire sa fin programmée tant ses défenses immunitaires naturelles sont perpétuellement sapées par ces véritables traîtres qui sont nos maîtres.
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