Il est sidérant de constater que de véritables « no go zones » interdites au sexe féminin puissent exister en plein Paris.
Relayée par Le Parisien, la pétition lancée par les femmes du quartier Chapelle-Pajol, situé dans les dixième et dix-huitième arrondissements de la capitale, a suscité une vive émotion médiatique. Il est sidérant de constater que de véritables « no go zones » interdites au sexe féminin puissent exister en plein Paris.
En cause : des bandes ethniques constituées d’hommes seuls qui terrorisent les passantes, leur interdisant l’accès aux cafés et aux restaurants. Dans le quartier, une faune sévit, s’arrogeant tout pouvoir sur les Parisiens honnêtes. Trafiquants de drogues, « migrants » échoués là, Africains écoulant des sacs Vuitton contrefaits et « jeunes » méprisent les riveraines, assimilées à du bétail, à un butin de guerre.
« Désormais, la place de la Chapelle, la rue Pajol, la rue Philippe-de-Girard, la rue Marx-Dormoy, la station de métro et le boulevard de la Chapelle sont abandonnés aux seuls hommes : plus une femme, dans les cafés comme la Royale ou le Cyclone. Pas un enfant dans le square Louise-de-Marillac. Certaines d’entre nous se terrent chez elles »
ont ainsi déclaré les pétitionnaires. Des mots que l’on croyait réservés à des pays plus arriérés que le nôtre, aux mœurs frustes et grossières. Malheureusement, l’immigration de masse et le laxisme auront très vite raison du mode de vie français si nous n’agissons pas.
Toutefois, ces faits ne sont pas nouveaux. Quand ils avaient cours dans les banlieues et les périphéries urbaines, ils n’émouvaient pas beaucoup les belles âmes qui s’égosillent sur les plateaux de télévision. Contrairement aux habitants de notre plus grande métropole, les Français les plus modestes n’ont jamais eu de représentants pour dévoiler les sévices qu’ils subissaient…
Quand un auteur du Club Mediapart écrit que la surpopulation masculine du quartier « peut créer un sentiment de malaise pour les femmes », ajoutant que le « non-aménagement public accentue le sentiment d’insécurité » dans une zone où on aurait « du mal à tenir sur un trottoir » ; il oublie qu’on a longtemps expliqué aux Français l’antithèse de son raisonnement, c’est-à-dire que les gamins des « quartiers populaires » étaient violents parce qu’ils habitaient des zones tenues à l’écart des activités de la ville…
L’expression « sentiment d’insécurité » devrait, d’ailleurs, être bannie du champ lexical des hommes et des femmes politiques, tant elle est méprisante pour ceux qui sont les victimes du désordre public généralisé qui s’est emparé de la France depuis plus de 30 ans. Cette novlangue est le cache-sexe de la faillite de l’État à assurer sa mission première, telle que définie par ceux qui l’ont imaginé – les Bodin, Machiavel et Hobbes : protéger !
Les gauchistes névrotiques sont en train de monter leur croix. Obnubilés par Big Other, victime ontologique de l’Occident, de la France ou du patriarcat, ils lui passent tout et finiront par y passer. À Paris, certains d’entre eux ont même eu l’outrecuidance d’insulter les femmes pétitionnaires, de les culpabiliser en les qualifiant de « racistes ». Ils sont pires que les agresseurs, tant parce qu’ils sont à l’origine de leur venue que parce qu’ils offrent un cadre idéologique au laisser-faire.
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