9 raisons

Pourquoi Trump veut-il annexer le Canada mais pas le Mexique ?

pour ne pas tiermondiser les États-Unis

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Tribune libre

Le président Trump parle de sa volonté d'annexer le Canada (et d'acquérir le Groenland), mais pas le Mexique. Tant qu'à faire, ne pourrait-il pas chercher à élargir son pays dans les deux sens, à la pleine grandeur du continent américain ? Mais un tel projet ne semble pas faire partie de ses plans. Et personne ne semble avoir encore relevé encore cette curieuse omission.



De multiples raisons surgissent rapidement à l'esprit pour expliquer ce qui l'en retient. En un mot, il est clair que le Mexique ferait vite reculer les États-Unis au même niveau sous-développé qu'il est.


Ce qui rend le Mexique sous-civilisé par rapport aux États-Unis et au Canada :


Mexique, empire de la drogue – L'Express


1- Présence des dangereux cartels à tous les niveaux qui contrôlent à peu près tout



Indice de perception de la corruption Mexique | Sciences Po Observatoire  politique de l'Amérique latine et des Caraïbes



2- Corruption généralisée à tous les niveaux de gouvernance : gouvernement, armée, police, entreprises et citoyens, c'est leur modus vivendi.


Sur la liste des pays les plus corrompus de la planète, le Mexique arrive au 126è rang sur 180 pays, très loin derrière dans le deuxième tiers des pires.


Source : LISTE COMPLÈTE DES PAYS SELON L'INDICE DE CORRUPTION



Taux d'homicides Mexique | Sciences Po Observatoire politique de l'Amérique  latine et des Caraïbes



3- Violence extrême et quotidienne. On tue pour une poignée de pesos dévalués.


Sur la liste des pays au plus haut taux d'homicides volontaires, le Mexique arrive au 3è rang sur les 180 pays du monde, avec 31 000 meurtres annuels, 100 par jour ! C’est qu’ils ont la gâchette facile ces gens-là. Ça s’entretue sur un temps rare, el gringo !


Source : Liste des pays violents au plus haut taux d’homicides volontaires




Mexique: la pauvreté pousse les jeunes dans les bras des cartels - La Libre



4- Criminalité répandue et déclenchée dès le plus jeune âge



Pavot à opium : superficie détruite Mexique 1995-2015 | Statista


5- Production de drogues de toutes sortes à grande échelle dans les champs des fermiers participants.



Fentanyl mexicain : la drogue qui empoisonne les États-Unis


6- Laboratoires clandestins de fentanyl et autres drogues chimiques mortelles


Coup de force de l'armée | Radio-Canada


7- Trafic d’armes



Peut être une image de carte et texte


8- La langue espagnole qui se répandrait à la grandeur des États-Unis. Le gouvernement américain a récemment été forcé de passer une loi faisant de l'anglais la langue officielle du pays tellement le problème est devenu criant.




9- Le niveau national d'intelligence affiche un quotient intellectuel moyen de 86, c'est-à-dire 14 points en-dessous de la moyenne normale de 100 des pays occidentaux, ce qui est un écart significatif. Ce n'est pas avec un tel bassin de population qu'on peut créer aux États-Unis des Silicon Valley, des universités comme celle de Harvard ou Princeton, des cliniques médicales Mayo, ou envoyer des fusées dans l'espace. Mais ramasser des fraises dans un champ, ah pour ça oui. On en sait quelque chose.


À consulter : liste des pays classés par intelligence. Le Mexique arrive au 62è rang, avec un quotient intellectuel moyen de 86.



Un quotient intellectuel moyen de 86 pour une population entière est à la limite de la tranche d'intelligence faible de 85.


IRCC on X: "Avis aux voyageurs mexicains: Il faut demander un visa ou une  nouvelle autorisation de voyage électronique (AVE) pour entrer au Canada.  Si une AVE a été liée à un


Pas de comparaison avec le Canada


Considérant la présence de tous ces éléments négatifs si caractéristiques des pays sous-civilisés, on comprend pourquoi le choix du Canada par le président Trump lui paraît si avantageux : PIB élevé, société évoluée de niveau équivalent, dynamisme de la population, ressources naturelles abondantes, esprit d'entreprenariat, main-d’œuvre qualifiée, possibilité de mieux sécuriser le Nord contre la Russie et la Chine (comme il voudrait le faire avec le Groenland), etc.


À lire : La seule raison d'être de l'indépendance: donner un pays à sa nation



Mais comme chacun sait, le Canada n'est pas à vendre. Tandis que même si le Mexique l'était, le président Trump ne serait pas acheteur. Ni du reste de l'Amérique centrale et du sud d’ailleurs. Maintenant on comprend mieux pourquoi.


À lire : 11 nouvelles raisons de faire l'indépendance du Québec en 2025



Souveraineté canadienne : l'Armée intensifie son entraînement dans le  Nord-du-Québec | Le téléjournal avec Patrice Roy


De la souveraineté du Canada à la souveraineté du Québec, il n'y a qu'un pas


Il reste cependant que la conjoncture actuelle pourrait être virée à l'avantage de l'obtention de la souveraineté du Québec. Si la souveraineté est si avantageuse et importante aux dires du Canada qui ne cesse de le crier sur toutes les plateformes, c'est à plus forte raison encore plus valable pour nous les Québécois qui sommes vraiment une nation nettement plus distincte autant des Canadiens que des Américains. Peu importe au fond que le Canada devienne américain ou pas, en autant que le Québec en profite pour acquérir sa propre souveraineté face à ces 2 pays qui nous seront à jamais étrangers.


À lire : Si les Canadiens décident de devenir américains, les Québécois choisiront de devenir souverains



Voyez le raisonnement ici : La menace d’annexion du Canada, un levier vers l’indépendance du Québec ?



Note: cliquez sur les termes surlignés en bleu pour approfondir davantage votre réflexion sur le sujet



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Réjean Labrie927 articles

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Réjean Labrie est natif de Québec. Il a fait une partie de sa carrière dans la fonction publique provinciale.

Il tire la plus grande fierté d’être un enraciné de la 11ème génération en sol natal. Son élan nationaliste se porte sur la valorisation de la culture québécoise et sur la préservation de l'identité culturelle québécoise et de sa démographie historique.

Il se considère comme un simple citoyen libre-penseur sans ligne de parti à suivre ni carcan idéologique dont il se méfie comme des beaux parleurs de la bien-pensance officielle.

L'auteur se donne pour mission de pourfendre les tenants de la pensée unique, du politiquement correct, de la bien-pensance vertueuse, toutes ces petites cliques élitistes qui méprisent le bon peuple.

Plus de 925 articles publiés en ligne ont été lus un million et demi de fois par tous ceux qui ont voulu partager une réflexion s'étendant sur une période dépassant 15 ans. À preuve que l'intérêt pour une identité nationale québécoise affirmée ne se dément pas, quoi qu'on en dise.





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