Les lois liberticides se succèdent (transactions en espèces, exploitations des données personnelles au motif de lutte contre le terrorisme) tandis que les droits élémentaires de chacun à la paisible jouissance sont de plus en plus bafoués (incivilités, vols et dégradations de propriété, rackets) en toute impunité.
Lorsqu’un Etat prend des lois pour se protéger mais n’assure plus l’ordre élémentaire il est temps de se poser des questions…
Le premier des survivalistes fut le cafard
Le cafard existe depuis 350 millions d’années, il a survécu à toutes les catastrophes et cataclysmes…, pas parce qu’il était intelligent ou brillant ou athlétique (à quoi sert d’être intelligent et sportif si c’est pour courir à sa perte ?)…, nous, les bipèdes qui n’avons que 200 mille ans d’existence, devrions connaître le secret du cafard : il survit parce qu’il va dans la direction opposée au vent qui lui signale l’approche d’un prédateur : survivre, c’est donc d’abord reconnaître puis fuir nos prédateurs.
Même si cela dérange intellectuellement, l’Etat-providence se mue progressivement en Etat prédateur dont le seul objet devient de se protéger lui-même à votre détriment.
Vous n’êtes pas obligé d’être survivaliste, de basculer dans l’anarchie ou le nihilisme… en revanche vous restez libre d’agir à votre niveau, il suffit de reconnaître que la collectivité est faillible et d’en envisager les conséquences, c’est également vrai pour la survie de votre indépendance financière, de votre niveau de vie à la retraite ou de votre santé !
Début 2015, démonstration que l’Euro est une arnaque, une gigantesque escroquerie, Mario Draghi a obtenu son imprimatur de la Cour européenne de justice…, la planche à billets en euro s’est mise à fonctionner à plein régime.
Joie et allégresse, l’Europe a ainsi le droit de masquer sa presque totale insolvabilité par de la fausse monnaie, comme les Etats-Unis et comme le Japon.
Si les gens s’intéressaient à l’argent et à la monnaie, tout le monde s’en porterait mieux, hélas, la plupart des gens préfèrent s’intéresser à la politique…, ce qui va nous coûter très cher puisque l’art de la politique contemporaine consiste à faire passer des vessies pour des lanternes…
J’en viens maintenant à une autre information qui va vous passer au dessus de la tête, en effet 95% des gens sont des beaufs-crétins lobotomisés, incapables de discernement…, d’ailleurs ces mêmes restent persuadés que toute dette doit être remboursée, que l’argent est une valeur sure, que la révolte des Grecs va ruiner la France… et blablabla…
La réalité est qu’en tant que contribuable vous payez des intérêts sur de l’argent qui n’a aucune existence réelle.
C’est très désagréable de savoir qu’on se fait rouler, n’est-il pas ?
Cependant, le statut d’une vérité désagréable évolue dans le temps…, au début, c’est une idée rejetée, assimilée à une théorie du complot, de la conspiration. Ensuite, c’est une idée dont on va entraver la propagation car elle est trop dérangeante, trop désagréable.
Mais l’idée résiste…, n’oubliez pas, c’est une vérité…, elle a donc la peau dure et persiste à cheminer.
Au bout de son chemin, cette idée devient un fait accepté comme une évidence.
Après, il ne reste plus qu’à agir.
Le monde croule sous les dettes dont la plupart ne correspondent à aucune épargne !
Ce n’est l’argent de personne.
Il s’agit simplement d’argent créé à partir de rien par des banques commerciales qui ont le privilège d’avoir une licence bancaire.
Avec un euro de fonds propres, elles peuvent prêter 20 euros, 30 euros, 40 euros selon les réglementations auxquelles on les soumet et leurs propres calculs.
Le vocabulaire est distordu pour vous faire croire qu’on parle de vrai argent, mais il n’en est rien.
L’accès au crédit est confondu avec le capital adossé à de l’épargne, les crises de solvabilité sont appelées crises de liquidité, etc.
Les banques prêtent donc et demandent des intérêts proportionnels au risque de l’emprunteur ; mais cela n’a rien à voir avec leur propre risque qui est nul puisqu’elles prêtent ce qu’elles fabriquent sans aucun mal…
Et c’est à ce système que la Constitution Européenne s’est solidarisée en transformant la population européenne (vous), en population d’esclaves !
L’affaire était tellement mirifique pour les banques, que des milliards ont été donnés aux principaux dirigeants des pays européens pour que « leur » pays adhère à cette Constitution, même si les populations ayant pu donner leur avis par référendum, ont voté NON…
En France, ce « mauvais vote » de 2005 a donc été écarté (c’est anti démocratique au possible) et il a été procédé à un nouveau « bon vote » entre amis du même bord…
Un « moyen » tellement performant qu’il sera ré-utilisé pour engager la France dans des guerres pétrolières…
Après la crise de 2008, l’endettement public a explosé.
Pour sauver le système financier (c’est-à-dire ceux auxquels des gouvernements avaient accordé une licence de création monétaire), les Etats se sont endettés.
Ils ont choisi la dette car sinon il aurait fallu lever l’impôt en quantité tellement extraordinaire que les gens se seraient révoltés.
La plupart des contribuables auraient refusé d’être taxés à seule fin de conserver leurs rentes à ceux qui touchent des intérêts sur de l’argent qui n’existe pas.
Le recours à la dette publique permet d’esquiver le débat démocratique sur l’emploi de l’impôt et donc sa justification.
Aujourd’hui, le cumul de la dette publique montre à l’évidence qu’elle ne pourra jamais être remboursée, les contribuables n’en ont pas la capacité.
Le cas particulier de la France…
Cette dette publique correspond majoritairement à de l’argent qui n’existe pas car une partie est dans les banques et les banques centrales, majoritairement car il y a malgré tout de l’épargne là-dedans, notamment en France.
Ce sont vos livrets A, vos assurances vie en euros et vos dépôts bancaires.
Ce cas particulier de la France explique pourquoi notre pays emprunte à un tarif si peu élevé comparé à celui des Etats-Unis.
Cependant, les épargnants français étant minoritaires en nombre, il ne sera politiquement pas trop risqué de les dépouiller pour tenter de prolonger le système.
C’est d’ailleurs ce que prévoit de faire le FMI avec la taxe Lagarde.
Pour le monde politico-financier, l’important n’est plus le remboursement du principal des dettes puisque c’est impossible ; l’essentiel est de garantir le flux des intérêts, sa rente, pour maintenir la fiction que le système est viable…, ce qui amène à une question primordiable : pourquoi payer des intérêts pour maintenir cette fiction ?
En tant qu’individu, épargnant et contribuable, vous avez intérêt à placer votre épargne (le vrai argent) de façon à ce qu’il ne soit en aucun cas confondu avec le faux argent (celui qui est créé par les banques) et hors de portée de la taxe FMI.
Vous avez intérêt à ne plus posséder aucune obligation (assurance-vie en euro, livrets A ou de votre banque)…, ainsi lorsque la révolte contre les intérêts injustifiés commencera, votre épargne sera moins en danger.
Evidemment, l’establishment politico-financier ne va pas vous simplifier la vie…, il ne veut pas de révolte…, pour l’éviter, il faut que vous restiez prisonnier du système financier.
Le contenu de votre porte-monnaie est donc en passe de devenir illégal.
La dernière grande idée évoquée par les autorités consiste à rendre le cash (les espèces) illégal.
Votre épargne liquide et vos revenus, obligatoirement parqués dans le système bancaire, seraient ainsi toujours prêts à être ponctionnés pour pouvoir payer ces intérêts indus.
C’est ainsi qu’à partir de septembre, les Français ne pourront plus rien payer en cash qui est supérieur à 1000 euros…, posséder plus sera considéré comme suspect…, dans peu de temps ce sera illégal…
Les Gouvernements prétendent ainsi lutter contre les activités illégales…, comme si les tueurs à gages, les maffieux et les maquereaux allaient cesser toute activité faute de monnaie !
Mais aussi, ces experts ont l’arrogance de nous vanter que cela éliminera la limite zéro sur les taux d’intérêt qui menottent les banques centrales depuis la crise financière !
En fait, les banques centrales qui essaient de fixer des taux trop négatifs pour ruiner les populations, craignent que les gens iront se réfugier dans le cash (souvenez vous de ce qu’Eric Cantona disait avec justesse et prophétie en préconisant de retirer tout l’argent possible des comptes de tout un chacun dans les banques).., donc en payant les décideurs gouvernementaux à ériger des lois liberticides incluant des limitations drastiques de l’argent cash, les banques préparent l’asservissement général des populations…
En réalité, ce qui est voulu n’est pas la fin des activités illégales au sens de criminelles ou contraires à la morale ; ce qui est voulu, c’est qu’aucune activité ne puisse échapper à la taxation la plus arbitraire, au paiement de la rente indue, des intérêts de la dette.
Voilà.
La boucle est bouclée : sans monnaie autre que numérique ou digitale, plus aucun échappatoire…
Mais comme d’habitude, les technocrates omniscients n’auront pas tout prévu et un autre système se mettra en place…
Le « NON » Grec est d’ailleurs une révolte contre le système !
La monnaie n’est pas une « convention sociale », comme le pensait Platon qui fut keynésien avant l’heure…, la monnaie est la garantie de notre liberté de pouvoir dépenser ce que nous avons légitimement acquis comme et quand bon nous semble…, même si le « quand » se situe loin dans le temps.
Cette liberté est un droit naturel fondamental qui ne dépend pas des droits nationaux et qui garantit notre propriété…, car la seule garantie à toute épreuve, c’est la valeur intrinsèque de la monnaie, comme le pensait Aristote.
Dire qu’il y a trop de dettes publiques est devenu banal.
En France, ce fardeau pèse plus de 33.000 euros par habitant…, il serait plus juste de dire que chaque personne qui travaille doit 87.000 euros.
Comment en sommes-nous arrivés là ?
La dette est avant tout de l’impôt qui n’a pas été levé, de l’impôt stocké, prêt à être levé.
La dette est le cumul de budgets déséquilibrés depuis 1974.
L’Etat dépense plus que ses recettes fiscales…, cependant, notre gouvernement arrive encore et toujours à emprunter à bon compte car nos créanciers étrangers savent que « la réserve d’épargne personnelle des Français » couvre le passif national ; la France (au contraire de la Grèce) est forte d’une armée de fonctionnaires dévolue à la noble mission de faire rentrer les impôts !
Pourquoi jusqu’à présent nos gouvernements ont-ils préféré le déficit à lever des impôts ?
Parce que pour taxer, il aurait fallu débattre, convaincre du bien-fondé de telle ou telle dépense :
Etes-vous d’accord pour offrir pour le statut d’intermittent du spectacle aux artistes ? Pas sûr si le dernier spectacle de votre maison de la culture vous a assoupi après 20 minutes.
Etes-vous d’accord pour payer la retraite à 50 ans aux cheminots (personnel roulant) alors que votre boulanger qui fait de l’excellent pain ne la prendra qu’à 62 ans (en admettant qu’il y ait suffisamment de nouveaux entrants pour lui payer sa rente) ?
Souhaitez-vous vraiment aider les chauffeurs de taxis face à la “concurrence sauvage” des véhicules avec chauffeur ? Peut-être pas si vous avez attendu 45 minutes sous la pluie la dernière fois que vous avez eu besoin d’un taxi et qu’une fois dans la voiture les odeurs du berger allemand mouillé (pour la sécurité) et de la boule de parfum pendue au rétroviseur vous ont donné la nausée.
Une discussion parlementaire révèlerait finalement que telle ou telle dépense n’a d’autre but que de favoriser tel ou tel lobby dont le mérite principal est le nombre de voix qu’il peut apporter au gouvernement en place.
Politiquement, il est donc bien plus sage d’esquiver le débat et de recourir en douce au déficit financé par l’emprunt.
Qu’est-ce qu’un “bon impôt” ?
La véritable origine de la dette publique est donc d’abord un déficit de démocratie. Un vieux principe de droit (le Bill of Rights des colons américains) dit “pas de taxation sans représentation” : en démocratie représentative, celui qui paie l’impôt a le droit de participer au débat.
Autrement dit le “bon impôt” serait celui qui a été débattu et démocratiquement accepté… et inversement : le déficit est une déviance du fonctionnement démocratique.
Nos ancêtres qui avaient promulgué le 26 août 1789 la Déclaration des droits de l’homme, avaient bien vu venir ce risque et prévu d’y remédier avec les articles 12 à 15.
Article 12 – La garantie des droits de l’homme et du citoyen nécessite une force publique ; cette force est donc instituée pour l’avantage de tous, et non pour l’utilité particulière de ceux à qui elle est confiée.
Article 13 – Pour l’entretien de la force publique, et pour les dépenses d’administration, une contribution commune est indispensable ; elle doit être également répartie entre les citoyens, en raison de leurs facultés.
Article 14 – Les citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d’en suivre l’emploi, et d’en déterminer la quotité, l’assiette, le recouvrement et la durée.
Article 15 – La société a le droit de demander compte à tout agent public de son administration.
225 ans plus tard ces sains principes sont lettre morte…
La contribution commune est-elle nécessaire ?
La contribution commune est-elle librement consentie ?
La contribution commune est-elle également répartie selon les facultés ?
En matière fiscale, la force publique est-elle utilisée à l’avantage de tous ?
Si nous pouvions répondre assurément “oui” à toutes ces questions, le déficit et la dette n’existeraient pas.
Dans ce sens, nous pouvons conclure que la dette et le cumul des déficits sont contraires aux Droits de l’homme.
Et la moralité, dans tout ça ?
La question de la moralité de l’impôt mériterait d’être aussi débattue car, même en supposant un parcours constitutionnel, majorité n’est pas nécessairement synonyme de légitimité et encore moins de moralité.
Est-il légitime ou moral que l’impôt de tous finance ce qui choque des convictions respectables de certains : des associations de fous, des édifices religieux, l’avortement, l’euthanasie, une agriculture polluante, une pêche dévastatrice, le nucléaire, des interventions militaires ?…
Avez-vous d’ailleurs remarqué que les déclarations de guerre se font rares tandis que les interventions armées justifiées par de vagues principes se multiplient ?
Une chose est de débattre puis voter une guerre en assemblée, une autre est de se cacher derrière des organismes internationaux, des principes fumeux et des discours entremêlant des grands mots rassurants comme “Droits de l’homme”, “paix”, “sécurité” et “stabilité”… qui sonnent bien dans les chaumières au JT de 20h00.
La dette publique est d’abord le résultat d’un déficit de démocratie qui promeut le capitalisme de copinage, la distribution de faveurs.
Notre démocratie est devenue une farce et les épargnants naïfs en seront les dindons.
L’encours mondial de titres de dettes pèse désormais plus de 100.000 milliards de dollars, un montant multiplié par 2,5 depuis 2000.
Les Etats ont emprunté 43.000 milliards.
L’industrie financière plus de 40.000 milliards, et “l’économie réelle” moins de 10.000 milliards.
100.000 milliards de dollars, c’est le double de la valorisation de toutes les entreprises cotées dans le monde.
Ces chiffres dépassent notre entendement, ils dépassent nos capacités financières.
C’est bien là tout le problème car la dette publique n’est pas “la dette de personne”…, la dette publique correspond à de l’argent que l’Etat n’a pas et comme l’Etat ne gagne pas d’argent, il lève des impôts.
Cette dette représente donc des impôts en devenir pour nous, à moins, bien sûr, que les Etats décident de ne pas la rembourser…
Mais un pays qui déciderait de ne pas rembourser ne pourrait plus emprunter.
Or en France, beaucoup de prestations sociales sont financées à crédit.
Couper le robinet des allocations n’est pas bon politiquement lorsque chaque habitant reçoit en moyenne chaque année 8.000 euros de prestations sociales.
Revenons au panorama mondial.
Pour ciseler finement à coups de hache ce tableau économique, nous avons donc pour 150.000 milliards de dollars d’actifs financiers…, hors ces mystérieux produits dérivés qui errent dans le monde étrange du shadow banking, de la finance de l’ombre.
Un tiers représente des actions d’entreprises confrontées à une conjoncture économique morose, la croissance étant essentiellement obtenue à coup de replâtrages statistiques.
Un autre tiers est de la dette adossée à la capacité de contribuables vieillissants à payer de plus en plus d’impôts.
Un troisième tiers est de la dette d’établissements financiers qui ont trop prêté soit à des démocraties surendettées, soit à des ménages confrontés au chômage et à une baisse de leurs revenus.
Tous ces “machins” sont ce qu’on appelle des “actifs financiers”.
En réalité ce ne sont que des bouts de papier adossés à une vague promesse de payer un jour…
Comment on vous force à souscrire à de la mauvaise dette ?
Il est évident que toute cette dette devient de plus en plus pourrie mais il est très difficile d’y échapper.
S’en défaire mettrait le système actuel en péril, ce que ne souhaitent pas nos autorités bienveillantes qui n’ont que le souci de notre bien-être de la crèche à la tombe (sic !)…
Ainsi les banques centrales nous disent qu’une petite inflation serait nécessaire à une économie florissante.
C’est un mensonge flagrant.
Le but du capitalisme « honnête » est de produire plus ou mieux, pour moins cher.
Par conséquent, le capitalisme « honnête » conduit à baisser les prix, il est déflationniste !
Mais les banques centrales et les gouvernements ont besoin d’une petite inflation pour capter votre argent et le faire travailler à leur profit.
Si vous gardiez sous votre matelas vos économies, elles se feraient ronger.
A 2% par an de hausse des prix, vous perdez la moitié de votre épargne en trente-cinq ans.
Vous croyez donc (et les gouvernement vous le font croire) que vos solutions alternatives ce sont donc le livret A (de la dette d’Etat), les livrets rémunérés de votre banque (de la dette des banques).
Ahahahahahahah !
Savez-vous aussi que les fonds d’investissement n’ont pas le droit d’avoir de la trésorerie en vrai cash ?
Si vous versez 100 dans un fonds qui décide sur le moment de n’en investir que 10, les 90 restant devront être placés dans de la dette bien notée (celle des Etats et des banques).
Ainsi le veut la réglementation financière.
Pas d’inflation = pas de raison de souscrire à ce monceau de dette.
En 2014, le besoin de financement net des Etats était de 2.800 milliards de dollars, ce qui veut dire qu’il fallait rajouter 6,7% au tas déjà existant de dettes publiques alors que la croissance de l’activité économique était bien inférieure.
A ce stade, je vois déjà votre œil (bovin) se noircir d’une malsaine méfiance, cher lecteur, et je vous entends penser : “foin de tout cela, point de livrets et autres dettes malsaines, je garde mon cash, du vrai”.
Désolé de devoir vous décevoir, le FMI a déjà la riposte si vous succombiez à ce comportement incivique : vous serez “chypriotisé”.
En cas de besoin, une taxe sur les dépôts en espèces sera levée !
A nouveau, je vois votre sursaut de révolte, cher lecteur, et je vous entends penser : “mais alors, il me faut de l’or, ce truc jaune que Goldman Sachs a déjà maudit par deux fois, qui n’est la dette de personne, qui ne dépend d’aucune vague promesse de quelque politique renégat”.
Oui, peut-être, si vous en trouvez…, cela devient de plus en plus difficile, il en est beaucoup parti en Asie, l’Allemagne aimerait bien remettre la main sur le sien, même l’Ukraine s’est récemment fait piquer sa réserve.
A l’issue de cette crise monétaire, certains auront de l’or et d’autres auront des “actifs financiers”…, jusqu’au moment où personne ne voudra plus desdits actifs financiers car il y en aura trop.
En attendant, nous sommes dans la phase « extend and pretend »…, les banques centrales prolongent les prêts et les gouvernements font semblant de croire qu’ils peuvent être remboursés.
Ceux qui ne sont pas dupes en profitent pour s’en débarrasser en douce, avant qu’il ne soit trop tard.
Bon courage…
Post-scriptum : que « ceussent » qui n’y comprennent rien…, qui continuent de croire aux « vérités » établies…, qui s’abreuvent des racontars audio-visuels des merdias « aux ordres »…, qui persistent à croire que l’Amérique est un Grand pays qui est venu nous « sauver » en 1944…, qui vont revoter Sarkozy ou Hollande…, qui pensent que les Grecs vont ruiner la France… et qui ne savent pas lire plus de 10 lignes…, aillent se faire f…
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