- « Actuellement, M. Harper attaque de front nos valeurs : c’est vrai avec la justice, c’est vrai dans le cas du registre des armes à feu, c’est vrai sur tous les fronts. Il investit de façon considérable dans les armes de guerre, qui n’ont aucune retombée pour le Québec, et ce ne sont pas des choix que nous ferions. » — Pauline Marois
- "Car si la valse des sondages fera des steppettes dans toutes les directions dans les prochains mois, la tendance lourde depuis plus d’un an est ce qu’elle est. Hormis quelques pointes, à moins d’un revirement majeur, le PQ n’est plus perçu comme l’alternative au gouvernement Charest. Et pour une bonne part des 40% d’électeurs souverainistes, ni comme un véhicule déterminé à agir pour l’avancement de son option. " - Josée Legault, 25 janvier 2012
- "Ne craignez pas, quand l’élection sera déclenchée, on ne parlera plus de la "dame de fer", mais de la "dame d’argile". À défaut d’avoir pu trouver un chef fédéraliste capable de conquérir l’électorat francophone, Gesca s’est choisi l’adversaire le plus vulnérable à la critique." - [Luc Bertrand, 26 janvier 2012->]
Si, au moins, ce 21% avait été dans un contexte défavorable ! Mais non ! Ce 21% est face au pire gouvernement de l’histoire du Québec et dans un contexte, depuis mai dernier au moins, où le Canada anglais dévoile son vrai visage : monarchiste, rétrograde, anti-Québec, francophobe et aux mains de la même Oligarchie qui cherche à nous faire disparaître. S’il était bien dirigé et s’il était cohérent avec son objectif, il ne pourrait manquer de capitaliser sur la faiblesse des ténors fédéralistes. Et la population en est parfaitement consciente comme en témoignent l’éviction des "partis du pouvoir" fédéraux (PCC et PLC) et le désenchantement vis-à-vis du BQ le 2 mai dernier. - Luc Bertrand, 27 janvier 2012
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