André Pratte écologiste ! Contre la création de richesse ! - On aura tout vu

Dire NON - La recette canadianisatrice

Dire NON au pétrole et OUI à Rabaska - Bélugas OUI - Québécois de Lévis NON

Tribune libre

N'importe quoi !
Dire non au pétrole
Pourquoi alors perdre son temps (et sa crédibilité environnementale) à chercher du pétrole au monde des bélugas ?
André Pratte - Éditorial - La Presse 2 août 2009

« Crédibilité environnementale » de... RABASKA !


Un site industriel aux portes fluviales de Québec, Ville du Patrimoine mondial !? À 800m de notre Chartre d'Amérique, la cathédrale Île d'Orléans de Félix !? Vraiment !?
Pas de prospection même ! Pour justifier... Rabaska !
Alors qu'il n'y a rien eu d'assez vicieux à engager contre les écologistes pour mettre de l'avant quelques emplois qui nous sauveraient de la disette aux portes de Québec... et maintenant que le projet est accepté il faudrait refuser le pétrole !
Refuser même de le prospecter pour savoir ce que l'on a entre les mains !?
Vraiment !?
Le PrattiGescagnatiévisme est aux abois !
Comme l'écrit l'éditeur de Vigile...
Un Québec riche en pétrole serait-il plus favorable à l’indépendance ? Les fédéralistes, maquillés en environnementalistes, semblent le redouter...

Bien sûr qu'ils le redoutent... Cependant qu'ils tentent en vain de régler le compte du souverainisme... Pas de pétrole... nous disent-ils.
C'est de l'argent en banque... et ils espèrent ainsi l'empocher le jour où, croient-ils, les Québécois auront renoncer à fonder un État valide et légitime sur leur territoire national du Québec.
Ils rêvent ! Ce sont eux les rêveurs !
Et OUI, c'est de l'argent en banque... mais pour nous !
Pas pour les canadianisateurs...
ET, le pétrole, ce n'est pas que des gaz à effet de serre, c'est aussi du plastique et mains produits qui bien utilisés ne sont pas polluants et c'est aussi en ce qui concerne celui du Québec, 1000 fois moins polluant que d'exploiter les sables bitumineux de l'Ouest canadian...
Mais ça, ça ferait mal aux canadians...
PAS DE PÉTROLE AU QUÉBEC DONC !? Vive la pollution de l'Ouest !
Et ce sont les mêmes qui nous disent qu'il faut créer à tout prix de la richesse, il n'y a que ça de vrai ! RABASKA à la clé !
N'importe quoi et son contraire !
Je croirai André Pratte écologiste lorsqu'il s'opposera à Rabaska et à l'inondation du Québec pour harnacher la moindre rivière.


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3 commentaires

  • Ouhgo (Hugues) St-Pierre Répondre

    3 août 2009

    Il semble que Mme Marois aurait quelque chose à dire là-dessus:
    Mme Marois en vacance, j’espère que non !
    30 août 2008
    Il semble bien que Mme Marois n’était pas en vacance. En fait elle était accompagné par un de ses député (M Camil Bouchard) qui semble avoir pris des bonnes notes de la stratégie de la Norvège visant à tirer le maximum de sa ressource pétrolière. C’est du moins ce que l’on peut conclure de l’éditoriale du journal Le Devoir qui commente sur cette visite. Je vous soumet un extrait pertinent :
    ...................................................................... ..........
    http://www.ledevoir.com/2008/08/21/202297.html
    (…) « Le PQ croit avoir trouvé un cheval de bataille pour rendre concrètes les aspirations souverainistes : l’exploration et l’exploitation des gisements de pétrole et de gaz que recèlent le lit du Saint-Laurent et le site de Old Harry au large des îles de la Madeleine. Le gouvernement fédéral n’a toujours pas délivré de permis pour l’exploration de ces gisements. Les négociations entre Québec et Ottawa à ce sujet achoppent. Le Québec n’a pas les pleins pouvoirs pour lancer ce grand projet d’autosuffisance énergétique. « Quand on dit ça aux gens, ils sont outrés », a fait valoir Mme Marois. Le potentiel d’hydrocarbures représenterait un minimum de 20 milliards en redevances et autres revenus sur dix ans, avance-t-on au PQ.
    La chef péquiste et le porte-parole en matière d’environnement, Camil Bouchard, ont effectué à la fin de juillet une mission en Norvège qui « concilie l’exploitation de ses ressources gazières et pétrolières avec le développement durable », ont-ils affirmé.
    À l’instar de l’État norvégien, le gouvernement du Québec doit être le maître d’oeuvre de l’exploitation pétrolière et gazière au Québec. La société norvégienne StatoilHydro, dont l’État détient plus des deux tiers des actions, extrait 60 % des barils de pétrole de la mer du Nord. L’État norvégien détient des intérêts minoritaires dans toutes les entreprises engagées dans l’exploitation de cette ressource, a souligné en outre M. Bouchard. Grâce aux redevances et aux profits de la société d’État, la Norvège, qui ne compte que 4,6 millions d’habitants, a ainsi constitué un formidable fonds de 550 milliards qui fait saliver les péquistes. « Ça nous libérerait de notre dépendances au pétrole étranger et améliorerait notre balance commerciale », a avancé Mme Marois. Un gouvernement péquiste formerait une société d’État, qui pourrait se nommer Pétro-Québec, pour se consacrer à l’exploration, à l’extraction et à la distribution d’hydrocarbures. « Tout est imaginable », a dit Pauline Marois. » (...)
    JCPomerleau

  • Archives de Vigile Répondre

    3 août 2009

    M. Lamothe,
    La question que je me pose, pourquoi est-ce récent ? Pourquoi ne savons-nous que récemment que notre sous-sol regorge d'énergies fossiles ? Comment se fait-il que les compagnies gazières et que les pétrolières n'aient pas connu, su, ce que des « études universitaires » nous disent depuis « quelques années » ?
    Si effectivement, comme cela semble bien être le cas maintenant que n'est plus caché ce fait, au point où on nous dit qu'il faudrait y renoncer, de telles ressources se trouvent sur notre territoire national, comment ne pas penser que telles multinationales ont fait exprès de détourner les yeux à des fins politiques canadianisatrices.
    Il faudrait savoir dans quelle mesure et avec quels effets. Par exemple, permettre l'exploitation extrêmement polluante des sables bitumineux de l'Ouest canadian qui nous fait être aujourd'hui sous la botte canadianisatrice de la Art-Peur conservatrice. Ainsi, après avoir privilégié outrageusement pendant près d'un siècle l'Ontario avec le pacte automobile, on aura privilégié l'Ouest canadian avec l'exploitation des sables bitumineux en cachant délibérément le fait que nous avons du gaz et du pétrole...
    Remarquez, ce masque nous aura fait développer notre énergie hydroélectrique.
    Mais ce fait aura aussi permis à l'odieux projet Rabaska d'obtenir que les abords forestiers, champêtres, agricoles et récréotouristiques de Québec et de l'Île d'Orléans obtiennent abusivement, à coup d'argent, de chantage et de promesses de rétributions de taxes municipales dérisoires, soient transformés en zone industrielle. Ce qui est un non-sens du même ordre que celui qui a fait un temps des abords du fleuve une poubelle de réservoirs pétroliers qu'il nous a fallu démanteler et décontaminer et cela nous aura pris 30 ans, cela pour livrer ce qui apparaît à toutes et tous d'évidence, être aujourd'hui un exceptionnel jardin sur fleuve heureusement mis en valeur par l'aménagement de la Promenade Samuel de Champlain.
    Si on prend la peine de vouloir freiner les multinationales et prospecteurs nationaux, c'est donc que les hypothèses sont loin d'être farfelues. Il y a du gaz et du pétrole propre au Québec.
    Hydro-Québec ( hydraulique et hydrocarbures )
    Ne serait-il pas temps de dès maintenant nationaliser le secteur et de créer Hydrocarbure-Québec afin de gérer une exploration et une exploitation respectueuse de l'environnement et de nos droits ? Ce pourrait être une division d’Hydro-Québec , renationalisée, en nationalisant hydraulicité, hydrocarbure, et... aussi le vent...
    Il faut expulser du gouvernement du Québec les canadianisateurs à la Jean Charest pour reprendre en main le Québec qui nous appartient laissé à l'abandon ou vendu par Jean Charest.
    Un moteur-roue qu'on a saboté, du vent dont les risques ont été nationalisés et les profits privatisés. Le n'importe quoi de la liquidation de nos ressources et de nos actifs au profit des amis du Régime. ET là... il faudrait même s'empêcher de savoir la valeur de nos actifs... Le n'importe quoi et son contraire dans leur fallacieuse suffisance sophistique à son meilleur !

  • Archives de Vigile Répondre

    3 août 2009

    Depuis quelques années déjà, plusieurs études universitaires convergentes ont démontré qu'il existe un potentiel pétrolifère et gazier plus qu'important dans l'estuaire et les basses terres du Saint-Laurent; de même que sur une bonne partie du sous-sol de notre fleuve. De plus, le pétrole et le gaz québécois seraient considérés comme propres contrairement au pétrole sale des sables bitumineux de l'Alberta.
    Dans pareil contexte, il n'est donc pas surprenant que monsieur André Pratte s'oppose avec tant de véhémence à ce qu'on aille plus avant au niveau de l'évaluation et de la prospection pétrolifères; sachant que les résultats confirmeront et corroboreront les études universitaires antécédantes.
    On ne veut surtout pas que la nation québécoise prenne conscience de toute la richesse qui regorge en son sous-sol. Si, par malheur, les québécois devenaient riches, cela pourrait sûrement attiser davantage leur désir d'indépendance; doivent se dire les fédéralistes canadians.
    Ainsi la richesse qui est bonne pour l'Alberta n'est pas bonne pour le Québec.
    L'indépendance du Québec: une nécessité!!!
    Jacques Lamothe (Trois-Rivières)