La loi 101 est un échec. Il ne faut pas une langue commune mais une langue « d'État du Québec ».
LANGUE FRANÇAISE
Loi 101 : des objectifs loin d’être atteints
La loi 101 est venue, c’est vrai, améliorer le solde des substitutions linguistiques que les immigrants effectuent vers le français (de 10 à 55 %) et a aussi amélioré le statut socio-économique du français. Ces améliorations, cependant, sont de trop faible ampleur pour empêcher la minorisation des francophones au Québec (le poids des francophones a ainsi chuté de 3,4 % de 2001 à 2016, ce qui est la plus importante chute jamais mesurée).