Rencontre avec Charles Castonguay
La manipulation des chiffres par Statistique Canada
Rencontre avec Charles Castonguay
Le Barreau ne fait pas autant de zèle pour défendre le français...
Dans sa requête déposée vendredi, le Barreau demande que l'entièreté des lois, règlements et décrets du Québec soient déclarés «nuls, inopérants et sans effet». Gros après-midi au bureau...
Michel C. Auger : un propagandiste radio-canadien totalement décrédibilisé
« Le français ne s’est jamais si bien porté au Québec », selon Michel C. Auger. C’est du moins ce qu’il laissait entendre hier lors de son passage à Tout le monde en parle. Voilà un mythe qu’il faut déboulonner. Et vite.
Douaniers unilingues anglophones : nous en sommes encore là après 40 ans de bilinguisme canadien ?
Pour l'organisme Impératif français, les deux langues officielles au Canada sont l'anglais et le « bilingue ». L'organisme a réagi par la voix de son président, Jean-Paul Perreault, à un rapport préliminaire d'enquête du Commissaire aux langues officielles qui fait état d'une plainte déposée contre l'Agence des services frontaliers du Canada (ASFC).
Une institution en perdition sous l'ancienne vice-reine du Canada
Au terme d’un premier mandat à la tête de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), Michaëlle Jean mérite-t-elle d’être reconduite dans ses fonctions lors du prochain Sommet qui se tiendra en Arménie en octobre ?
L'anglicisation rampante de Montréal se poursuit
Une étude de l'Office québécois de la langue française (OQLF) montre qu'il reste beaucoup de chemin à faire dans le dossier de l'affichage commercial en français sur l'île de Montréal. L'OQLF a analysé le cas de 3 612 entreprises, dont 2 963 ont pignon sur rue et 649 se trouvent dans des centres commerciaux.
Le Canada est une machine a broyer les francophones
Le gouvernement fédéral vise, d’ici 2023, 4,4 % d’immigrants francophones à l’extérieur du Québec. Cette proportion varie selon les époques ; par exemple, elle était de 1,46 % de 2006 à 2011, mais la cible établie par « le cadre stratégique pour favoriser l’émigration au sein des minorités de langue officielle en milieu minoritaire de 2004 » était aussi de 4,4 %.
Le bilan s'améliore parce que les critères sont à la baisse !!!
Les entreprises montréalaises seraient de plus en plus nombreuses à se conformer à la Loi 101, selon une étude de l'Office québécois de la langue française (OQLF). Mais cette augmentation serait principalement due à un affaiblissement de la loi, estime l'organisme Impératif français.
Quel sale coup nous réserve Mélanie Joly ?
Les organismes francophones au pays ont les yeux rivés mercredi sur le gouvernement fédéral, qui doit dévoiler son Plan d'action sur les langues officielles.
Le français, langue étrangère au Canada
Le grand patron de l'Autorité des marchés financiers (AMF) est bien conscient de la frustration grandissante des investisseurs qui n'ont pas accès à des opérations de financement d'entreprises canadiennes parce que celles-ci décident de ne pas traduire leur prospectus. Mais il soutient du même souffle que la solution appartient au gouvernement.
Tribune libre
Emmanuel Macron se doit de placer la langue officielle de la république française au tableau d’honneur de ses allocutions publiques en France et sur la scène internationale
C’est en ces termes plutôt discordants, voire antithétiques, que le président de la France s’est exprimé lors de la visite du premier ministre du Québec Philippe Couillard à Paris, tout en ajoutant d...
Les mondialistes sont dénoncés pour leur anglomanie
Le mouvement Impératif français a égratigné des politiciens et a salué une artiste au cours d'un déjeuner tenu dimanche à Gatineau, en Outaouais.
L'anglicisation rampante du Québec se poursuit dans l'indifférence généralisée
Un des rares magazines francophones à traiter de cinéma au Québec ferme ses portes et sa direction torontoise n’a pas daigné s’adresser en français à ses employés.
La fierté de parler français se perd : demain le Québec sera-t-il l'Acadie ?
Ainsi, la Cheese Week s’amène à Québec. Les gourmands se réjouissent : qu’une vie sans fromage serait triste ! Vaudrait-elle même la peine d’être vécue ?
Le français demeure une langue de deuxième ordre dans le Canada du XXIe siècle
La Cour fédérale a entamé mardi l’audience finale d’une cause aux accents linguistiques qui sera déterminante pour l’ensemble des employés fédéraux au Canada. L’issue de la bataille judiciaire menée par un fonctionnaire fédéral basé à Montréal devrait permettre de savoir pour la première fois comment le gouvernement fédéral doit garantir à ses travailleurs le droit de travailler dans la langue officielle de leur choix.
Jean-Michel Delacomptée.
On entendait à la radio un chanteur marmonner des paroles incompréhensibles. Impossible de distinguer le moindre mot. « Mais pourquoi a-t-on si peur de se faire comprendre ? demande Jean-Michel Delacomptée. Comme si l’on avait honte de chanter en français. » À la terrasse du café Le Pierrot, à deux pas du métro aérien de La Motte-Picquet, ce spécialiste de Racine et de Saint-Simon parle de ce qu’il décrit comme un « aplatissement de la langue ».
Le français, langue étrangère au Canada
Des soumissionnaires ont remporté ces derniers mois des appels d'offres gouvernementaux pour des « Computers and Peripherals for the Department d'Affaires autochtones », des « générator - entretien », ainsi que des « XXXXXXXFRENCH HEREXXXXXXXX »
Le MQF à la défense de la langue nationale
La Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal, le Mouvement Québec françaiset les Partenaires pour un Québec français sont fiers de présenter « le spectacle qui donne envie de parler français ».
Défendre le fait français, coûte que coûte
Jeudi dernier, j’ai assisté à la première de La détresse et l’enchantementau Théâtre du Nouveau Monde. Marie-Thérèse Fortin y interprète des extraits des mémoires de Gabrielle Roy, l’auteure de Bonheur d’occasion. Et ça m’a frappée : en me rappelant à quel point cette Franco-Manitobaine vouait un amour inconditionnel à la langue française, je me suis demandé ce que Gabrielle Roy aurait pensé du Québec d’aujourd’hui. Selon moi, elle aurait été atterrée par ce qu’il s’y passe.
Macron : un mondialiste complètement soumis à l'Anglosphère
Parler l'anglais renforce la francophonie, a laissé entendre le président Emmanuel Macron, flanqué du premier ministre Philippe Couillard lundi au palais de l'Élysée, à Paris.
France-Québec : même combat contre l'américanisation du monde
En mars aura lieu, comme chaque année, la Semaine de la Francophonie. Le cru 2018 s’annonce prometteur. Après des décennies de silence relatif sur la question de la place et du rôle de la langue française dans le monde, l’État français semble accorder un intérêt inédit à la francophonie.
Le français, langue étrangère au Canada
Le gouvernement du Québec trouve insultante et surréaliste l’attitude de Hockey Canada, qui a demandé à l’annonceur de l’aréna de Gangneung d’angliciser le nom des francophones de l’équipe canadienne durant les Jeux de Pyeongchang.
Le français, langue minoritaire face à l'Empire anglo-américain
Depuis quelques mois, on assiste à l’émergence d’un étrange discours dans notre espace public : l’anglais serait menacé au Québec. Plus encore, la communauté anglophone serait en danger et il faudrait se porter à son secours. C’est notamment ce que pense Jean-Marc Fournier, qui parle au nom du gouvernement.
« Un vieux mépris du français perdure. Même chez des jeunes très scolarisés. »
Allons-nous un jour cesser de nous faire flageller et de nous autoflageller ? Quelle expérience à la fois déprimante et accablante que de lire dans Le Journal la perception des anglophones du Québec !
Houda-Pépin se trompe : il n'y a aucune « paix linguistique » à Montréal
Ce jour-là, je rencontrais un groupe de citoyens de la communauté noire anglophone, à Brossard. Nous sommes en septembre 1994 et j’en suis à ma première campagne électorale, à titre de candidate libérale dans le comté de La Pinière.
Sous le régime libéral, l'effondrement du fait français
S’il semble de plus en plus difficile d’imposer le français comme « la langue normale et habituelle du travail » dans le secteur privé, on était au moins en droit d’espérer qu’elle soit indiscutablement celle de l’État québécois.
Il faut arrêter le bilinguisme institutionnel de l'État québécois
Les employés de l’État québécois qui baragouinent l’anglais sont pénalisés, fait valoir le Syndicat de la fonction publique et parapublique du Québec (SFPQ).
« Notre propre gouvernement national se trouve à nuire à l’avenir de la langue française, notamment dans l’administration publique. »
Une coalition de partis politiques, de syndicats et de groupes de défense de la langue française exige l'application par le gouvernement Couillard de l'article 1 de la loi 104 qui stipule que Québec doit communiquer seulement en français avec les corporations et les personnes morales.
L'anglicisation de Montréal promue par l'administration Plante
La Ville de Montréal travaille à l'élaboration de son « Plan d'action municipal pour les personnes aînées 2018-2020 ». Pour ce faire, elle a signifié son intention de consulter le public, le but étant de faire de Montréal une ville plus accueillante pour les aînés.
Valérie Plante, une agente canadienne qui anglicise Montréal
Je vous écris tout simplement en tant que citoyen qui réfléchit à votre utilisation du bilinguisme automatique dans vos interventions publiques.