Ma dernière réplique
La fin de mes objections à la pensée unique de M. Barberis-Gervais
Cher Barberis-Gervais, Il y a une expression toute québécoise qui résume à elle seule toute cette histoire que vous ne cessez de radoter tel un ménate en cage : « Plus fou que çà tu meurs », « Plus fou que ça tu meurs ». « Plus fou que ça tu meurs ». En fait, mon ami, vous agissez comme un emmerdeur de première classe, tentant de provoquer pour garder le haut du pavé et jouir de l’espace que vous vous êtes si bi...