Pauline Marois ne veut pas un pays. Elle veut le pouvoir.
Si elle voulait un pays, elle s'ouvrirait les yeux.
Les péquistes crient au complot contre les militants qui désertent et qui font part de leur désarroi devant la déconfiture annoncée du Parti québécois et de sa chef, Pauline Marois. Ils s’en prennent à ceux qui tentent par tous les moyens de les ramener sur terre. Ils les traitent inlassablement de pisse-vinaigre. C’est qu’il n’est pas de pire aveugle qu'un péquiste qui ne veut pas voir, ni de pire sourd que celui q...